Jeveux n'ĂȘtre qu'Ă  toi JĂ©sus, je t'aime. Couplet Je veux porter et laver Ă  ta croix Les pensĂ©es de mon coeur dans le coeur de tes voies. Je veux n'ĂȘtre qu'Ă  toi JĂ©sus, je t'aime. Couplet Rien n'est plus beau que ton Nom. Rien n'est plus Saint que le Sang du pardon. Je veux n'ĂȘtre qu'Ă  toi (3x) JĂ©sus mon Roi. Quivoudrait ĂȘtre ton ami Si tu le veux tu n'as qu'Ă  lui rĂ©pondre oui Toi qui a besoin de confiance Toi qui ne vis que d'espĂ©rance C'est pour toi que je chante pour toi mon ami Un nouveau jour va se lever Hier n'est plus que du passĂ© Aujourd'hui vient te saluer c'est beau la vie Si tu regardes autour de toi Sous le soleil ou sous la pluie Tu verras que t'es pas si mal dans cette vie Ouvre VersioncorrigĂ©e : - © 1997 Chris Christensen et Thierry OstriniSite officiel : http://exo-worship.com/Partiti Couplet 1] Bb Gm Eb F Reçois de moi le parfum qui t'est dĂ», Gm Eb Bb F La beautĂ© de ton Nom en mon Ăąme Ă©perdue. Bb Gm Eb Je veux n'ĂȘtre qu'Ă  Toi F Bb Gm Eb F JĂ©sus, je t'aime. [Couplet 2] Bb Gm JEVEUX N'ÊTRE QU'À TOI - EXO - (version corrigĂ©e voir lien dans la description) Jeveux n'ĂȘtre qu'Ă  toi, JĂ©sus je t'aime. Reçois du peu que je trouve Ă  donner. Tout l'amour que mes yeux n'ont pas su te montrer. Je veux n'ĂȘtre qu'Ă  toi, JĂ©sus je t'aime. RĂ©f. Rien n'est plus beau que ton Nom. Rien n'est plus saint que le sang du pardon. Je veux n'ĂȘtre qu'Ă  toi, JĂ©sus mon Roi. Je ne veux rien que vouloir te louer. i3Hwuq2. ï»żPolyphonies et voix disponibles Partitions Voir la partition/tablature Cette partition est protĂ©gĂ©e, veuillez vous connecter. RĂ©fĂ©rences de la partition T C Christensen M T Orstrini Paroles Je veux n’ĂȘtre qu’à Toi 1- Reçois de moi le parfum qui t’est dĂ», la beautĂ© de ton Nom en mon Ăąme Ă©perdue. Je veux n’ĂȘtre qu’à toi. JĂ©sus, je t’aime. Reçois du peu que je trouve Ă  donner tout l’amour que mes yeux n’ont pas su te montrer. Je veux n’ĂȘtre qu’à toi. JĂ©sus, je t’aime. Rien n’est plus beau que ton Nom. Rien n’est plus Saint que le Sang du pardon. Je veux n’ĂȘtre qu’à toi, JĂ©sus mon Roi. 2- Je ne veux rien que vouloir te louer, adorer ton saint Nom et ta fidĂ©litĂ©. Je veux n’ĂȘtre qu’à toi. JĂ©sus, je t’aime. Je veux porter et laver Ă  ta croix les pensĂ©es de mon cƓur dans le cƓur de tes voies. Je veux n’ĂȘtre qu’à toi. JĂ©sus, je t’aime. Documentation Romains 613 Ne livrez pas vos membres au pĂ©chĂ©, comme des instruments d’iniquitĂ©; mais donnez-vous vous-mĂȘmes Ă  Dieu, comme Ă©tant vivants de morts que vous Ă©tiez, et offrez Ă  Dieu vos membres, comme des instruments de justice. C'est pour toi que je chante Songtext Der Songtext "C'est pour toi que je chante" von "Patrick Norman" darf aufgrund von lizenzrechtlichen GrĂŒnden nicht angezeigt werden. Auf Facebook teilenFacebook Songtext twitternTwitter Whatsapp LE POÈTE Le mal dont j'ai souffert s'est enfui comme un rĂȘve. Je n'en puis comparer le lointain souvenir Qu'Ă  ces brouillards lĂ©gers que l'aurore soulĂšve, Et qu'avec la rosĂ©e on voit s'Ă©vanouir. LA MUSE Qu'aviez-vous donc, ĂŽ mon poĂšte ! Et quelle est la peine secrĂšte Qui de moi vous a sĂ©parĂ© ? HĂ©las ! je m'en ressens encore. Quel est donc ce mal que j'ignore Et dont j'ai si longtemps pleurĂ© ? LE POÈTE C'Ă©tait un mal vulgaire et bien connu des hommes ; Mais, lorsque nous avons quelque ennui dans le coeur, Nous nous imaginons, pauvres fous que nous sommes, Que personne avant nous n'a senti la douleur. LA MUSE Il n'est de vulgaire chagrin Que celui d'une Ăąme vulgaire. Ami, que ce triste mystĂšre S'Ă©chappe aujourd'hui de ton sein. Crois-moi, parle avec confiance ; Le sĂ©vĂšre dieu du silence Est un des frĂšres de la Mort ; En se plaignant on se console, Et quelquefois une parole Nous a dĂ©livrĂ©s d'un remord. LE POÈTE S'il fallait maintenant parler de ma souffrance, Je ne sais trop quel nom elle devrait porter, Si c'est amour, folie, orgueil, expĂ©rience, Ni si personne au monde en pourrait profiter. Je veux bien toutefois t'en raconter l'histoire, Puisque nous voilĂ  seuls, assis prĂšs du foyer. Prends cette lyre, approche, et laisse ma mĂ©moire Au son de tes accords doucement s'Ă©veiller. LA MUSE Avant de me dire ta peine, Ô poĂšte ! en es-tu guĂ©ri ? Songe qu’il t’en faut aujourd’hui Parler sans amour et sans haine. S’il te souvient que j’ai reçu Le doux nom de consolatrice, Ne fais pas de moi la complice Des passions qui t’ont perdu, LE POÈTE Je suis si bien guĂ©ri de cette maladie, Que j’en doute parfois lorsque j’y veux songer ; Et quand je pense aux lieux oĂč j’ai risquĂ© ma vie, J’y crois voir Ă  ma place un visage Ă©tranger. Muse, sois donc sans crainte ; au souffle qui t’inspire Nous pouvons sans pĂ©ril tous deux nous confier. Il est doux de pleurer, il est doux de sourire Au souvenir des maux qu’on pourrait oublier. LA MUSE Comme une mĂšre vigilante Au berceau d’un fils bien-aimĂ©, Ainsi je me penche tremblante Sur ce coeur qui m’était fermĂ©. Parle, ami, – ma lyre attentive D’une note faible et plaintive Suit dĂ©jĂ  l’accent de ta voix, Et dans un rayon de lumiĂšre, Comme une vision lĂ©gĂšre, Passent les ombres d’autrefois. LE POÈTE Jours de travail ! seuls jours oĂč j’ai vĂ©cu ! Ô trois fois chĂšre solitude ! Dieu soit louĂ©, j’y suis donc revenu, À ce vieux cabinet d’étude ! Pauvre rĂ©duit, murs tant de fois dĂ©serts, Fauteuils poudreux, lampe fidĂšle, Ô mon palais, mon petit univers, Et toi, Muse, ĂŽ jeune immortelle, Dieu soit louĂ©, nous allons donc chanter ! Oui, je veux vous ouvrir mon Ăąme, Vous saurez tout, et je vais vous conter Le mal que peut faire une femme ; Car c’en est une, ĂŽ mes pauvres amis HĂ©las ! vous le saviez peut-ĂȘtre, C’est une femme Ă  qui je fus soumis, Comme le serf l’est Ă  son maĂźtre. Joug dĂ©testĂ© ! c’est par lĂ  que mon coeur Perdit sa force et sa jeunesse ; - Et cependant, auprĂšs de ma maĂźtresse, J’avais entrevu le bonheur. PrĂšs du ruisseau, quand nous marchions ensemble, Le soir, sur le sable argentin, Quand devant nous le blanc spectre du tremble De loin nous montrait le chemin ; Je vois encore, aux rayons de la lune, Ce beau corps plier dans mes bras
 N’en parlons plus
 – je ne prĂ©voyais pas OĂč me conduirait la Fortune. Sans doute alors la colĂšre des dieux Avait besoin d’une victime ; Car elle m’a puni comme d’un crime D’avoir essayĂ© d’ĂȘtre heureux. LA MUSE L’image d’un doux souvenir Vient de s’offrir Ă  ta pensĂ©e. Sur la trace qu’il a laissĂ©e Pourquoi crains-tu de revenir ? Est-ce faire un rĂ©cit fidĂšle Que de renier ses beaux jours ? Si ta fortune fut cruelle, Jeune homme, fais du moins comme elle, Souris Ă  tes premiers amours. LE POÈTE Non, – c’est Ă  mes malheurs que je prĂ©tends sourire. Muse, je te l’ai dit je veux, sans passion, Te conter mes ennuis, mes rĂȘves, mon dĂ©lire, Et t’en dire le temps, l’heure et l’occasion. C’était, il m’en souvient, par une nuit d’automne, Triste et froide, Ă  peu prĂšs semblable Ă  celle-ci ; Le murmure du vent, de son bruit monotone, Dans mon cerveau lassĂ© berçait mon noir souci. J’étais Ă  la fenĂȘtre, attendant ma maĂźtresse ; Et, tout en Ă©coutant dans cette obscuritĂ©, Je me sentais dans l’ñme une telle dĂ©tresse Qu’il me vint le soupçon d’une infidĂ©litĂ©. La rue oĂč je logeais Ă©tait sombre et dĂ©serte ; Quelques ombres passaient, un falot Ă  la main ; Quand la bise sifflait dans la porte entr’ouverte, On entendait de loin comme un soupir humain. Je ne sais, Ă  vrai dire, Ă  quel fĂącheux prĂ©sage Mon esprit inquiet alors s’abandonna. Je rappelais en vain un reste de courage, Et me sentis frĂ©mir lorsque l’heure sonna. Elle ne venait pas. Seul, la tĂȘte baissĂ©e, Je regardai longtemps les murs et le chemin, - Et je ne t’ai pas dit quelle ardeur insensĂ©e Cette inconstante femme allumait en mon sein ; Je n’aimais qu’elle au monde, et vivre un jour sans elle Me semblait un destin plus affreux que la mort. Je me souviens pourtant qu’en cette nuit cruelle Pour briser mon lien je fis un long effort. Je la nommai cent fois perfide et dĂ©loyale, Je comptai tous les maux qu’elle m’avait causĂ©s. HĂ©las ! au souvenir de sa beautĂ© fatale, Quels maux et quels chagrins n’étaient pas apaisĂ©s ! Le jour parut enfin. – Las d’une vaine attente, Sur le bord du balcon je m’étais assoupi ; Je rouvris la paupiĂšre Ă  l’aurore naissante, Et je laissai flotter mon regard Ă©bloui. Tout Ă  coup, au dĂ©tour de l’étroite ruelle, J’entends sur le gravier marcher Ă  petit bruit
 Grand Dieu ! prĂ©servez-moi ! je l’aperçois, c’est elle ; Elle entre. – D’oĂč viens-tu ? Qu’as-tu fait cette nuit ? RĂ©ponds, que me veux-tu ? qui t’amĂšne Ă  cette heure ? Ce beau corps, jusqu’au jour, oĂč s’est-il Ă©tendu ? Tandis qu’à ce balcon, seul, je veille et je pleure, En quel lieu, dans quel lit, Ă  qui souriais-tu ? Perfide ! audacieuse ! est-il encor possible Que tu viennes offrir ta bouche Ă  mes baisers ? Que demandes-tu donc ? par quelle soif horrible Oses-tu m’attirer dans tes bras Ă©puisĂ©s ? Va-t’en, retire-toi, spectre de ma maĂźtresse ! Rentre dans ton tombeau, si tu t’en es levĂ© ; Laisse-moi pour toujours oublier ma jeunesse, Et, quand je pense Ă  toi, croire que j’ai rĂȘvĂ© ! LA MUSE Apaise-toi, je t’en conjure ; Tes paroles m’ont fait frĂ©mir. Ô mon bien-aimĂ© ! ta blessure Est encor prĂȘte Ă  se rouvrir. HĂ©las ! elle est donc bien profonde ? Et les misĂšres de ce monde Sont si lentes Ă  s’effacer ! Oublie, enfant, et de ton Ăąme Chasse le nom de cette femme, Que je ne veux pas prononcer. LE POÈTE Honte Ă  toi qui la premiĂšre M’as appris la trahison, Et d’horreur et de colĂšre M’as fait perdre la raison ! Honte Ă  toi, femme Ă  l’oeil sombre, Dont les funestes amours Ont enseveli dans l’ombre Mon printemps et mes beaux jours ! C’est ta voix, c’est ton sourire, C’est ton regard corrupteur, Qui m’ont appris Ă  maudire Jusqu’au semblant du bonheur ; C’est ta jeunesse et tes charmes Qui m’ont fait dĂ©sespĂ©rer, Et si je doute des larmes, C’est que je t’ai vu pleurer. Honte Ă  toi, j’étais encore Aussi simple qu’un enfant ; Comme une fleur Ă  l’aurore, Mon coeur s’ouvrait en t’aimant. Certes, ce coeur sans dĂ©fense Put sans peine ĂȘtre abusĂ© ; Mais lui laisser l’innocence Était encor plus aisĂ©. Honte Ă  toi ! tu fus la mĂšre De mes premiĂšres douleurs, Et tu fis de ma paupiĂšre Jaillir la source des pleurs ! Elle coule, sois-en sĂ»re, Et rien ne la tarira ; Elle sort d’une blessure Qui jamais ne guĂ©rira ; Mais dans cette source amĂšre Du moins je me laverai, Et j’y laisserai, j’espĂšre, Ton souvenir abhorrĂ© ! LA MUSE PoĂšte, c’est assez. AuprĂšs d’une infidĂšle, Quand ton illusion n’aurait durĂ© qu’un jour, N’outrage pas ce jour lorsque tu parles d’elle ; Si tu veux ĂȘtre aimĂ©, respecte ton amour. Si l’effort est trop grand pour la faiblesse humaine De pardonner les maux qui nous viennent d’autrui, Épargne-toi du moins le tourment de la haine ; À dĂ©faut du pardon, laisse venir l’oubli. Les morts dorment en paix dans le sein de la terre Ainsi doivent dormir nos sentiments Ă©teints. Ces reliques du coeur ont aussi leur poussiĂšre ; Sur leurs restes sacrĂ©s ne portons pas les mains. Pourquoi, dans ce rĂ©cit d’une vive souffrance, Ne veux-tu voir qu’un rĂȘve et qu’un amour trompĂ© ? Est-ce donc sans motif qu’agit la Providence Et crois-tu donc distrait le Dieu qui t’a frappĂ© ? Le coup dont tu te plains t’a prĂ©servĂ© peut-ĂȘtre, Enfant ; car c’est par lĂ  que ton coeur s’est ouvert. L’homme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre, Et nul ne se connaĂźt tant qu’il n’a pas souffert. C’est une dure loi, mais une loi suprĂȘme, Vieille comme le monde et la fatalitĂ©, Qu’il nous faut du malheur recevoir le baptĂȘme, Et qu’à ce triste prix tout doit ĂȘtre achetĂ©. Les moissons pour mĂ»rir ont besoin de rosĂ©e ; Pour vivre et pour sentir l’homme a besoin des pleurs ; La joie a pour symbole une plante brisĂ©e, Humide encor de pluie et couverte de fleurs. Ne te disais-tu pas guĂ©ri de ta folie ? N’es-tu pas jeune, heureux, partout le bienvenu ? Et ces plaisirs lĂ©gers qui font aimer la vie, Si tu n’avais pleurĂ©, quel cas en ferais-tu ? Lorsqu’au dĂ©clin du jour, assis sur la bruyĂšre, Avec un vieil ami tu bois en libertĂ©, Dis-moi, d’aussi bon coeur lĂšverais-tu ton verre, Si tu n’avais senti le prix de la gaĂźtĂ© ? Aimerais-tu les fleurs, les prĂ©s et la verdure, Les sonnets de PĂ©trarque et le chant des oiseaux, Michel-Ange et les arts, Shakspeare et la nature, Si tu n’y retrouvais quelques anciens sanglots ? Comprendrais-tu des cieux l’ineffable harmonie, Le silence des nuits, le murmure des flots, Si quelque part lĂ -bas la fiĂšvre et l’insomnie Ne t’avaient fait songer Ă  l’éternel repos ? N’as-tu pas maintenant une belle maĂźtresse ? Et, lorsqu’en t’endormant tu lui serres la main, Le lointain souvenir des maux de ta jeunesse Ne rend-il pas plus doux son sourire divin ? N’allez-vous pas aussi vous promener ensemble Au fond des bois fleuris, sur le sable argentin ? Et, dans ce vert palais, le blanc spectre du tremble Ne sait-il plus, le soir, vous montrer le chemin ? Ne vois-tu pas alors, aux rayons de la lune, Plier comme autrefois un beau corps dans tes bras, Et si dans le sentier tu trouvais la Fortune, DerriĂšre elle, en chantant, ne marcherais-tu pas ? De quoi te plains-tu donc ? L’immortelle espĂ©rance S’est retrempĂ©e en toi sous la main du malheur. Pourquoi veux-tu haĂŻr ta jeune expĂ©rience, Et dĂ©tester un mal qui t’a rendu meilleur ? Ô mon enfant ! plains-la, cette belle infidĂšle, Qui fit couler jadis les larmes de tes yeux ; Plains-la ! c’est une femme, et Dieu t’a fait, prĂšs d’elle, Deviner, en souffrant, le secret des heureux. Sa tĂąche fut pĂ©nible ; elle t’aimait peut-ĂȘtre ; Mais le destin voulait qu’elle brisĂąt ton coeur. Elle savait la vie, et te l’a fait connaĂźtre ; Une autre a recueilli le fruit de ta douleur. Plains-la ! son triste amour a passĂ© comme un songe ; Elle a vu ta blessure et n’a pu la fermer. Dans ses larmes, crois-moi, tout n’était pas mensonge. Quand tout l’aurait Ă©tĂ©, plains-la ! tu sais aimer. LE POÈTE Tu dis vrai la haine est impie, Et c’est un frisson plein d’horreur Quand cette vipĂšre assoupie Se dĂ©roule dans notre coeur. Écoute-moi donc, ĂŽ dĂ©esse ! Et sois tĂ©moin de mon serment Par les yeux bleus de ma maĂźtresse, Et par l’azur du firmament ; Par cette Ă©tincelle brillante Qui de VĂ©nus porte le nom, Et, comme une perle tremblante, Scintille au loin sur l’horizon ; Par la grandeur de la nature, Par la bontĂ© du CrĂ©ateur, Par la clartĂ© tranquille et pure De l’astre cher au voyageur. Par les herbes de la prairie, Par les forĂȘts, par les prĂ©s verts, Par la puissance de la vie, Par la sĂšve de l’univers, Je te bannis de ma mĂ©moire, Reste d’un amour insensĂ©, MystĂ©rieuse et sombre histoire Qui dormiras dans le passĂ© ! Et toi qui, jadis, d’une amie Portas la forme et le doux nom, L’instant suprĂȘme oĂč je t’oublie Doit ĂȘtre celui du pardon. Pardonnons-nous ; – je romps le charme Qui nous unissait devant Dieu. Avec une derniĂšre larme Reçois un Ă©ternel adieu. - Et maintenant, blonde rĂȘveuse, Maintenant, Muse, Ă  nos amours ! Dis-moi quelque chanson joyeuse, Comme au premier temps des beaux jours. DĂ©jĂ  la pelouse embaumĂ©e Sent les approches du matin ; Viens Ă©veiller ma bien-aimĂ©e, Et cueillir les fleurs du jardin. Viens voir la nature immortelle Sortir des voiles du sommeil ; Nous allons renaĂźtre avec elle Au premier rayon du soleil ! ENTERREMENtCIMETIERE E. 09. CimetiĂšre, 2e chant, aprĂšs les lectures JE VIS EN TOI, MAÎTRE Herr Jesu, dir leb ich MĂ©lodie Herr Jesu, dir leb ich 1e formeJe vis en toi, MaĂźtre,Je meurs en toi, MaĂźtre,A toi je veux ĂȘtreEt m’en remettre. *Sauve-moi, bon MaĂźtre. Amen * Var 1 Vif ou mort, MaĂźtre 2e forme Je vis en toi, MaĂźtre,Je meurs en toi, MaĂźtre,A toi je veux, MaĂźtre,Vif ou mort, bon MaĂźtre. Amen. Texte Herr Jesu, dir leb ich Anonyme 1666 Bouxwiller 1736 et 1783 RA 545 fr. Yves KĂ©ler, MĂ©lodie Herr Jesu, dir leb ich Anonyme 1666 RA 545, Livre d’Orgue du RA, SupplĂ©ment Texte original Herr Jesu, dir leb ich,Herr Jesu, dir sterb ich,Herr Jesu, dein bin ich,Tod und lebendigMach mich ewig selig. Amen. jeudi 27 juillet 2017 Je veux n'ĂȘtre qu'Ă  Toi - Emmanuel Exo Eclat 1 Ă  juillet 27, 2017 Aucun commentaire Enregistrer un commentaire Article plus rĂ©cent Article plus ancien Accueil Inscription Ă  Publier les commentaires Atom ETUDE DES DIFFERENTS MINISTERES ET LES DONS SPIRITUELS DANS L’EGLISE 1ere partie DIEU PARLE ENCORE AUJOURD'HUI AUX HOMMES PAR SES PROPHETES C'est pourquoi ainsi parle l’Éternel Si tu te rattaches Ă  moi, je... L'Eschatologie Qu'est-ce que l'eschatologie ? La dĂ©finition courante rĂ©sulte de la thĂ©ologie l'eschatologie traite de la fin du monde, d... 7 Attitudes Ă  avoir pour garder et faire grandir l’onction 7 Attitudes Ă  avoir pour garder et faire grandir l’onction

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