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yFCvT4N. Angers Le château d'Angers. Blason Logo Administration Pays France Région Pays de la Loire Département Maine-et-Loire préfecture Arrondissement Angerschef-lieu Intercommunalité Commune urbaine CU Angers Loire Métropolesiège Maire Mandat Jean-Marc Verchère 2022-2026 Code postal 49000, 49100 Code commune 49007 Démographie Gentilé Angevins Populationmunicipale 155 850 hab. 2019 Densité 3 649 hab./km2 Population agglomération 242 613 hab. 2018 Géographie Coordonnées 47° 28′ 25″ nord, 0° 33′ 15″ ouest Altitude Min. 12 mMax. 64 m Superficie 42,71 km2 Type Commune urbaine Unité urbaine Angers ville-centre Aire d'attraction Angers commune-centre Élections Départementales Bureau centralisateur de sept cantons Législatives 1re, 2e, 6e et 7e circonscriptions Localisation Géolocalisation sur la carte Pays de la Loire Angers Géolocalisation sur la carte Maine-et-Loire Angers Géolocalisation sur la carte France Angers Géolocalisation sur la carte France Angers Liens Site web Angers prononcer / Écouter est une commune de l'Ouest de la France située au bord de la Maine, préfecture du département de Maine-et-Loire dans la région Pays de la Loire. Située sur l'axe Paris-Nantes, Angers est en 2019 la deuxième commune la plus peuplée de la région Pays de la Loire et la dix-huitième de France avec 155 850 habitants. En 2019, la ville est la commune-centre d'une aire d'attraction peuplée de 436 175 habitants, d'une unité urbaine de 245 093 habitants et d’une intercommunalité, la communauté urbaine Angers Loire Métropole ALM, comprenant 29 communes et 302 399 habitants. Capitale historique et place forte de l’Anjou, berceau de la dynastie des Plantagenêts, Angers est l'un des centres intellectuels de l'Europe au XVe siècle sous le règne du bon roi René ». La ville doit son développement comme son rôle politique et historique à sa position au niveau d’un point de convergence géologique, hydrographique, culturel et stratégique. Angers se distingue aujourd'hui par sa spécialisation dans le domaine du végétal Végépolys Valley est le premier pôle de compétitivité horticole européen, la ville abrite également le siège de l'office communautaire des variétés végétales. Ses universités, ses musées et son activité culturelle en font également un centre culturel important qui comprend notamment le château des ducs d'Anjou, construit au XIIIe siècle, qui abrite la tenture de l'Apocalypse, le plus grand ensemble de tapisseries médiévales connu. La richesse de son patrimoine lui vaut le label de ville d'art et d'histoire. Géographie Localisation La ville est située dans l'ouest de la France, au centre du département de Maine-et-Loire, sur l'axe de communication entre le bassin parisien et l'océan Atlantique. Elle est située dans l'ouest du Val de Loire, aux confluences de la Mayenne, du Loir et de la Sarthe. Ces deux dernières rivières forment ensuite la Maine — au niveau de l'île Saint-Aubin, au nord de la ville — qui se dirige au sud-ouest vers la Loire. C'est sur ces confluences de trois rivières et d'un fleuve, carrefour naturel des voies de communication sur un promontoire rocheux, que les premiers hommes à l'origine d'Angers se sont implantés[CP 1]. Elle est distante de 44 km de Saumur et de 52 km de Cholet, sous-préfectures du département ; de 80 km de Nantes, capitale régionale ; de 81 km du Mans, de 94 km de Tours et de 110 km de Rennes, communes de plus de 100 000 habitants des départements voisins ; enfin, de 265 km de Paris distances orthodromiques[1]. Angers se trouve à 123 km de l'océan Atlantique Pornic en Pays de la Loire et 143 km de la Manche Courtils en Normandie[1]. Avec une superficie de 4 270 hectares[2], Angers est moins étendue que les préfectures voisines que sont Nantes, Le Mans ou encore La Roche-sur-Yon mais davantage que Tours et a une surface équivalente à celle de Poitiers. Communes limitrophes Géologie et relief Le Maine-et-Loire est situé pour moitié sur le Massif armoricain et sur le Bassin parisien. Située au centre du département, Angers est à la jonction de ces deux grandes structures géologiques, granitique à l'ouest et sédimentaire à l'est[4]. La commune est principalement assise sur le Massif armoricain. Les terrains issus de ce dernier trouvent leurs origines du Briovérien supérieur et du Cambrien basal 600 millions d'années au Carbonifère supérieur 280 millions d'années, par ailleurs le bassin houiller de Basse Loire est situé à moins de 20 km des limites communales[5]. Angers et le quart nord-ouest du département ont un sous-sol principalement composé de gisements de fer, d’ardoises et de calcaire pour la chaux. De nombreux gisements ardoisiers se trouvaient sur la commune dans le quartier du Grand-Pigeon notamment ou à proximité, principalement à Trélazé. Les terrains ferrifères disparaissent au nord de la commune ; dans le quartier de Monplaisir se trouvait l’ancienne mine de fer du Pavillon. Quant aux calcaires du Massif armoricain, ils se concentrent en lentilles[Note 1] carbonatées que l’on retrouve par exemple dans le synclinal d’Angers. Ils sont exploités pour la fabrication de chaux — cette pratique se retrouve par exemple dans la toponymie rue des fours-à-chaux[B 1]. L'altitude de la commune est faible et varie entre 12 et 64 mètres[2], ce qui ne l'empêche pas d'être particulièrement vallonnée[B 2] la rive gauche est entaillée par plusieurs vallons perpendiculaires à la Maine — d'où s'écoulent parfois des ruisseaux[7] — alors que la rive droite voit s'élever notamment le plateau des Capucins et le bois de Mollières, point culminant de la commune[8]. Beaucoup d'escarpements schisteux apparaissent également dont le promontoire à partir duquel s'est développée la ville[B 3] et qui domine la rivière sur plus d'une vingtaine de mètres[9]. À l'inverse, d'autres quartiers sont à une très faible altitude au bord de la rivière et de ce fait vulnérables aux inondations notamment les quartiers Saint-Serge, Thiers-Boisnet et de la Doutre[A 1]. Angers est à cheval entre Massif armoricain et Bassin parisien. Hydrographie La Mayenne et la Sarthe, qui se rejoignent près de l'île Saint-Aubin, forment la Maine qui traverse la ville et rejoint la Loire à quelques kilomètres, à la Pointe[B 4]. Au niveau du centre-ville, elle s’écoule dans un étroit goulet d’étranglement lié d’une part au verrou rocheux à hauteur du château et d’autre part à l’artificialisation des berges et la construction de nombreux quais, principalement au XIXe siècle. À l’aval, la rivière retrouve un champ d’expansion des crues prairies de la Baumette et lac de Maine où un seuil a été érigé en 1994 afin de favoriser la navigation fluviale. Son débit moyen inter-annuel est d’environ 130 m3/s[10]. Au nord de la commune se rencontrent les basses vallées angevines principalement composées de prairies inondables[11]. Constituées le long de la Mayenne, de la Sarthe et du Loir, elles représentent une zone naturelle d’expansion » d’une superficie d’une centaine de km2. Leur capacité de stockage est d’environ 370 millions de mètres cubes, soit un minimum d’une quinzaine de jours d’écrêtement au niveau d’Angers[12]. Le secteur Angers – val d’Authion – Saumur » a été identifié comme un territoire à risque important TRI la commune est en effet concernée par un important risque d’inondation[12]. Compte tenu de la faible longueur de son cours 11 km, la Maine est fortement dépendante de l’activité hydrologique de la Loire et de ses affluents[10] et elle connait schématiquement trois types de crues[12] elles peuvent tout d’abord être dues à la crue d’une ou plusieurs des trois rivières en amont ; elles peuvent s’expliquer également par une crue de la Loire celle-ci limite l’écoulement de la Maine et provoque un stockage des eaux en amont ; un scénario de crue extrême prévoit la concomitance entre deux crues centennales — crue de la Loire à Saumur et crue de la Maine à Angers —, mais la période de retour d’un tel événement est évaluée à plus de 500 ans. La cote d'alerte de la Maine est fixée à 4 m[10]. La crue de janvier 2000 a été retenue comme représentative d’une crue fréquente crue décennale sur Angers et les basses vallées hauteur d'eau de 6 m au pont de la Basse-Chaîne. Lors de la crue centennale de 1995 — les trois rivières amont étaient alors elles-mêmes en crue —, la Maine a atteint une hauteur historique de 6,66 m le 31 janvier 1995 au repère de crue situé au pont de Verdun et un débit de 1 800 m3/s[12]. Angers est également parcourue par le Brionneau, qui prend sa source dans le Haut-Anjou et dont les eaux sont retenues dans l'étang Saint-Nicolas à l'ouest de la ville[B 4]. Ce dernier serpente dans un vallon, séparant deux quartiers de la ville. D'autres ruisseaux s'écoulent depuis les vallons de la rive gauche, perpendiculaires à la Maine, comme celui du vallon du ruisseau, au sud. L'ancien ruisseau de l'Esvière — qui empruntait le vallon entre le promontoire du même nom et celui du château, actuel boulevard du Roi-René — a quant à lui disparu sous l'effet de l'urbanisation[7]. Un lac artificiel, le lac de Maine, vaste plan d'eau de 110 hectares, fut aménagé à la fin des années 1970 en parc de loisirs ouvert à tous[13]. Situé sur les anciennes prairies inondables d'Aloyau, le lac provient de l'exploitation par la ville de carrières de grave[A 2]. Le Brionneau, parc de Balzac. Cliquez sur une vignette pour l’agrandir. Climat Le climat angevin est un climat de transition où s'exercent l'influence océanique de la façade atlantique et l'influence plus continentale de la Touraine[B 5], assez éloigné des côtes de l'Océan pour échapper à l'action brûlante des vents de mer, et assez rapproché pour ressentir l'influence d'un climat marin doux, tempéré, humide, un peu brumeux »[B 6]. Il est plus précisément à la conjonction de trois nuances du climat océanique présents en Maine-et-Loire climat océanique humide, climat océanique à été sec et climat océanique à nuance continentale. La Loire favorise des flux océaniques doux en hiver comme en été, diminuant l'amplitude thermique annuelle ; par leur altitude, les Mauges au sud-ouest du département retiennent une partie des précipitations des flux dominants, asséchant relativement le climat angevin[4]. Celui-ci est par conséquent doux avec 14 °C d'amplitude annuelle moyenne, moyennement humide mais les hivers sont généralement pluvieux, les gelées y sont rares température minimale moyenne positive les mois d'hiver et les étés ensoleillés. Selon les prévisionnistes de Météo-France, Angers connait très peu de phénomènes extrêmes orages, chutes de neige, tempêtes, vents violents[14]. C'est la douceur angevine popularisée par Joachim du Bellay. Angers bénéficie en moyenne de 194 jours d'ensoleillement dont 60 de fort ensoleillement. Les précipitations annuelles, inférieures à la moyenne nationale, sont réparties sur 111 jours[15]. Si les jours de brouillard y sont fréquents, l'enneigement y est très faible. Les records de température sont établis respectivement à –15,4 °C et +40,7 °C. La station, ouverte le 1er janvier 1921, est située sur le territoire de la commune voisine de Beaucouzé, à 50 m d'altitude. Statistiques 1981-2010 et records — Station BEAUCOUZÉ 49 47° 28′ 42″ N, 0° 36′ 48″ O Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne °C 2,8 2,5 4,4 6 9,5 12,3 14,2 14,1 11,5 9,1 5,3 3 7,9 Température moyenne °C 5,5 5,9 8,6 10,8 14,5 17,7 19,8 19,7 16,8 13,2 8,5 5,8 12,3 Température maximale moyenne °C 8,3 9,4 12,8 15,6 19,4 23,1 25,3 25,4 22,1 17,3 11,7 8,6 16,6 Record de froid °Cdate du record −15, −12, −10, −3, −1, 2, 4, 5, 2, −3, − −13, −15,41987 Record de chaleur °Cdate du record 17, 21, 24, 29, 32, 40, 40, 38, 35, 29, 22, 40,72019 Ensoleillement h 68,9 92,8 136,5 171,5 194,5 227,4 227,8 223,7 185,9 120,2 80,7 68,8 1 798,5 Précipitations mm 69,2 54,8 51,6 56,6 57,9 43,2 52,1 41,3 55 71,8 67,8 72 693,3 dont nombre de jours avec précipitations ≥ 1 mm 11,6 9 9,8 10,1 10,1 6,7 6,3 6,3 7,8 10,7 11,2 11,5 111,1 dont nombre de jours avec précipitations ≥ 5 mm 4,6 4 3,4 4,2 3,8 2,7 2,7 2,5 3,4 4,8 4,8 5 46 dont nombre de jours avec précipitations ≥ 10 mm 2 1,7 1,4 1,2 1,6 1,2 1,7 1,2 1,6 2,3 1,7 2,1 19,7 Nombre de jours avec neige 1,9 2,5 0,7 0,2 0 0 0 0 0 0 0,3 1,2 6,7 Nombre de jours avec grêle 0,2 0,1 0,4 0,4 0,3 0,1 0,2 0,1 0 0,1 0,1 0 2 Nombre de jours d'orage 0,3 0,2 0,7 1,4 3 2,5 3 2,6 1,4 1 0,5 0,2 16,9 Nombre de jours avec brouillard 4,4 3,4 2,6 2,2 1,9 1,4 1,3 1,5 3,1 4,9 5 5,2 37 Source [MétéoFrance] Fiche 49020001 », sur edité le 06/05/2021 dans l'état de la base Comparaison des données météorologiques de Angers avec les données nationales Ville Ensoleillement h/an Pluie mm/an Pluie j/an Neige j/an Orage j/an Brouillard j/an Médiane nationale 1 852 835 Non connu 16 25 50 Angers 1798 693 111 7 17 37 Paris 1 662 637 111 12 17 8 Nice 2 724 733 61 1 27 1 Strasbourg 1 693 665 114 26 28 51 Brest 1 530 1 210 159 7 12 76 Bordeaux 2 035 944 124 3 31 69 Milieux naturels et biodiversité Angers se situe à la périphérie immédiate du site du Val de Loire classé au patrimoine mondial de l’Unesco[16]. La ville est également l'une des deux villes-portes du parc naturel régional Loire-Anjou-Touraine avec Tours en Indre-et-Loire[17]. L'île Saint-Aubin, à l'extrémité des basses vallées angevines. Au nord, les basses vallées angevines », grande zone humide de plus de 6 000 hectares, intègrent la ville au niveau de l’île Saint-Aubin. Celles-ci correspondent aux rives de la Mayenne, de la Sarthe et du Loir, principalement constituées de prairies inondables, bocages, mares et haies ; elles sont un refuge de biodiversité important, notamment ornithologique et abrite une flore et une faune typiques du Val de Loire[18]. Les basses vallées angevines » sont protégées par le réseau Natura 2000 au titre des directives Habitat » et Oiseaux » et relèvent également de la Convention de Ramsar, traité international visant à la conservation et à l’utilisation durable des zones humides[4]. L’île angevine de Saint-Aubin représente près de 10 % de ces espaces naturels et environ 15 % du territoire de la ville, c’est dire son importance, tant au niveau de la biodiversité locale que des espaces naturels communaux. Elle joue de surcroît le rôle important d’écrêteur de crues » pour la ville située à son aval immédiat. Aujourd’hui, l’île, inhabitée, est toujours exploitée par les agriculteurs et offre un cadre naturel apprécié des habitants. L’ancienne ferme a été rénovée par la municipalité qui y a installé la Maison de l’île, lieu de détente et d’exposition[H 1]. La commune compte deux sites naturels classés, le site de la Baumette depuis 1935 ainsi que l’étang Saint-Nicolas et ses rives depuis 1936. La ville est également incluse dans un troisième site naturel classé, celui de la confluence Maine-Loire et des coteaux angevins, depuis 2010[19]. Ce dernier site est marqué par l’entrée de la Loire au cœur du Massif armoricain et ses roches schisteuses, résistantes. Le lit du fleuve se resserre autour d’une rive droite escarpée et d’une rive gauche offrant de grandes zones inondables. Les paysages traditionnels y sont néanmoins toujours présents îles, bancs de sable, prairies inondables et autres promontoires rocheux. À Angers, le site du rocher de la Baumette — où se trouve l’ancien couvent du même nom — est à l’origine du classement[20]. Urbanisme Occupation des sols Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 CLC. L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover CLC, est marquée par l'importance des territoires artificialisés 73 % en 2018, en augmentation par rapport à 1990 66,9 %. La répartition détaillée en 2018 est la suivante zones urbanisées 49,5 %, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication 17,7 %, prairies 15,6 %, espaces verts artificialisés, non agricoles 5,8 %, eaux continentales[Note 2] 5,6 %, zones agricoles hétérogènes 4,4 %, forêts 1,4 %, cultures permanentes 0,1 %[21]. L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune ou de territoires à des échelles différentes. Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes la carte de Cassini XVIIIe siècle, la carte d'état-major 1820-1866 et la période actuelle 1950 à aujourd'hui[22]. Morphologie urbaine Tissu urbain Plan schématique des quartiers d'Angers selon le tissu urbain. Centre historique Faubourgs urbanisés au XIXe siècle Quartiers urbanisés au XXe siècle Quartiers urbanisés au XXIe siècle Limites des quartiers administratifs Le centre-ville d’Angers est en rive gauche de la Maine. Composé principalement de petites artères, commerçantes pour la plupart, il est en grande partie piétonnier. On y rencontre la plupart des institutions hôtel de ville, hôtel du département, bibliothèque ou encore la quasi-totalité des musées. Au sud-ouest de cet hyper-centre contemporain se trouve la Cité, petit ensemble médiéval perché sur un promontoire rocheux, organisé autour du château et de la cathédrale. C’est le quartier le plus ancien de la ville, structuré en petites ruelles et comprenant nombre d’hôtels particuliers et autres maisons médiévales. En rive droite se trouve le vieux quartier de La Doutre d’outre Maine. On y trouve des maisons anciennes à colombages, un dédale de ruelles ainsi que l'ancien hôpital Saint-Jean, le théâtre du Quai et le port fluvial d'Angers. Ces trois quartiers constituent l’ancienne ville intra-muros. Cet ensemble historique est encore bien visible aujourd’hui puisqu’au début du XIXe siècle, les anciennes fortifications ont laissé place à une ceinture de boulevards[H 2]. Les anciens faubourgs sont aujourd’hui devenus les quartiers périphériques de ce centre-ville historique. Leur urbanisation prend forme avant le XVIIe siècle faubourgs de Reculée, Bressigny, Saint-Serge Saint-Samson, Saint-Jacques, Saint-Laud et Esvière[CC 1]. Certains d'entre eux se développeront ensuite considérablement au cours du XIXe siècle car situés le long des grands axes de communication anciennes routes de Paris, de Tours et de Nantes[IN 1] ce sont les actuels quartiers Saint-Serge au nord ; Madeleine et Saint-Léonard au sud-est ; Saint-Jacques à l’ouest. Ce sont des quartiers essentiellement résidentiels à l’exception toutefois du quartier Saint-Serge abritant un campus de l’université d'Angers ainsi que le marché d'intérêt national[A 3]. En périphérie actuelle de la commune se concentrent les nouveaux quartiers résidentiels, qu’ils soient pavillonnaires ou constitués de grands ensembles collectifs. Vers l’ouest se trouvent ainsi les quartiers de Belle-Beille premier quartier suburbain constitué de grands ensembles[H 3] et du Lac de Maine petits collectifs et logements individuels. Ces quartiers occidentaux sont séparés du reste de la ville par de grands espaces verts, d’une part le parc de l’étang Saint-Nicolas et d’autre part le parc de Balzac et dans son prolongement la base de loisirs du Lac de Maine, en bordure de la rivière. À l’est se rencontrent ensuite les quartiers de Monplaisir habitat collectif et des Banchais habitat mixte ; au sud, le quartier de La Roseraie est à dominante collective, c'est aujourd’hui le quartier le plus habité de la ville[A 4]. Les horticulteurs et pépiniéristes, encore nombreux jusque dans les années 1980 dans la partie sud de la ville ont été progressivement évincés et ne subsistent principalement plus qu’en périphérie sud du quartier de la Roseraie[A 5]. Au début du XXIe siècle, l’urbanisation s’étend au sud de l’île Saint-Aubin, non urbanisée, sur les plateaux de la Mayenne et des Capucins c’est le développement du quartier des Hauts-de-Saint-Aubin, au nord de la ville[A 6]. Aujourd’hui, le Loir, la Mayenne, la Sarthe au nord et la Loire au sud poussent l’espace métropolitain à se développer à l’est Saint-Barthélemy-d’Anjou, Trélazé et à l’ouest Avrillé, Beaucouzé. Occupation des sols en 2006. Type d’occupation Pourcentage Territoires artificialisés 70 % Territoires agricoles 23 % Forêts et milieux semi-naturels 1 % Zones humides 0 % Surfaces en eau 6 % Source Agence d’urbanisme de la région angevine AURA[23] Quartiers Plan des quartiers administratifs de la ville. Angers est composée de dix quartiers administratifs regroupant eux-mêmes plusieurs véritables quartiers tels qu'identifiés par les habitants. Il est possible de dénombrer une trentaine de quartiers au sein du territoire de la ville. La plupart font référence à la rue ou la place autour de laquelle ils se sont formés comme la rue Bressigny ou la place de la Visitation ou de lieux-dits Orgemont par exemple. L'île Saint-Aubin bien que non habitée fait également partie d'une division territoriale de la commune. Logements En 2018, le nombre total de logements à Angers était de 89 937, alors qu'il était de 85 829 en 2013. Parmi ces logements, 90,8 % étaient des résidences principales, 2,7 % des résidences secondaires et 6,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 21,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 76,6 % des appartements[Insee 1]. La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 32,4 %, stable par rapport à 2013 31,9 %. La part de logements HLM loués vides était de 28,6 % contre 30,1 % en 2013, leur nombre étant néanmoins en légère hausse 23 392 contre 23 319[Insee 2]. En 2018, 14,6 % des résidences principales ont été construites avant 1946, 57,4 % de 1946 à 1990 et 28,1 % depuis 1991[Insee 3]. Architecture Exemple de bâtiments du centre ville le long de la montée Saint-Maurice. L'architecture de la ville peut se résumer à ses matériaux, le schiste et le tuffeau, qui font d'Angers alternativement une ville noire ou blanche[24] monuments médiévaux en schiste, toitures d’ardoises, demeures Renaissance ou XIXe siècle ayant célébré la pierre de tuffeau, etc. Elle est parfaitement résumée par Armand Lanoux[Note 3] Du chemin de ronde du château, on voit s'étaler la ville, si caractéristique avec ses cheminées de briques sur le fond bleu des toits, la ville qui mêle maintenant au matériau le plus tendre, le tuffeau, l'un des plus résistants, le schiste. » L'ancienne ville intra-muros voit se concentrer la majorité des édifices historiques la Cité est le quartier le plus ancien de la ville, structuré en petites ruelles comprenant nombre de maisons du Moyen Âge ; le quartier de La Doutre en rive droite est le plus riche en constructions médiévales et Renaissance ; le centre-ville compte quant à lui de nombreuses demeures érigées de la fin du Moyen Âge au XIXe siècle. Il comprend d'ailleurs une majorité d’édifices du XIXe siècle, notamment des immeubles de rapport, parfois de style haussmannien. En dehors des boulevards ceinturant l’hyper-centre se rencontrent également des immeubles de rapport, notamment près des places. L’architecture des faubourgs consiste néanmoins principalement en maisons de ville à un étage sous combles. Elles présentent parfois un aspect d'architecture en série. L’architecture récente est le plus souvent celle de zones pavillonnaires ou d’ensembles collectifs, parfois en contradiction avec l’ensemble ancien voir par exemple l’immeuble sis 16-26 boulevard du Maréchal-Foch[CC 1]. Projets d'aménagements Le développement de la ville s'appuie sur plusieurs grands projets urbains, parmi lesquels Réhabilitation des berges de la Maine La mise en service du contournement autoroutier permet à la ville d’envisager de réaffecter la voie rapide Paris-Nantes qui traverse la ville au bord de la Maine. Ancienne rocade en milieu urbain datant des années 1960, les voies sur berges étaient considérées comme une séparation entre les deux rives, empêchant notamment les habitants de profiter de la rivière. Le premier projet de réhabilitation des berges de Maine Rives nouvelles » a été abandonné à la suite du changement de municipalité en 2014. Un second Angers cœur de Maine », plus modeste, est cependant mis en place dans cette optique. Il prévoit notamment la couverture d’une partie des voies sur berges, du château à la place Molière, avec aménagement d’espaces publics et paysagers et passage du tramway[A 8]. Le deuxième volet concerne le quartier Saint-Serge. Les anciens locaux EDF et de la gare de marchandises seront réaffectés y seront notamment construits la nouvelle patinoire, des logements, la chambre des métiers et son centre de formation[25]. Deuxième ligne de tramway En octobre 2014, les élus communautaires ont approuvé le projet de deuxième ligne de tramway pour relier les quartiers de Belle-Beille, à l’ouest, et de Monplaisir, à l’est. D’une longueur de 9,9 km, la ligne partirait du campus pour rejoindre le cœur du quartier de Monplaisir place de l’Europe via la Doutre. Le tramway desservirait notamment les berges de la Maine, le campus de Saint-Serge et le Centre des Congrès. Près de 50 000 habitants habitent à moins de 500 m des stations projetées. En sus, un tronçon de quelques centaines de mètres entre l'actuelle station Foch-Maison bleue et la place Mendès-France permettra de faire fonctionner une troisième ligne en maillage, entre Belle-Beille et la Roseraie[CC 2]. Les travaux ont démarré à l'été 2017 avec la mise en chantier du pont des Arts et Métiers, les travaux de voirie ayant démarré quant à eux à l'été 2018 pour une mise en service attendue au plus tôt fin 2022[CC 3]. Gare+, quartier d’affaires à proximité de la gare d'Angers Saint-Laud Ce projet vise à construire 70 000 m2 de bureaux et 25 000 m2 de logements et commerces sur les anciennes friches industrielles situées au sud de la gare TGV ainsi que les anciens entrepôts de la Sernam. Près de 3 000 emplois sont attendus sur le site au cours des prochaines années[26]. Coulée verte et végétalisation » du centre-ville La municipalité souhaite végétaliser » le centre-ville en créant notamment une coulée verte de l’avenue Jeanne d’Arc ainsi rénovée, à la promenade du Bout du Monde réaménagée près du château. Elle devrait passer par la place Lorraine, l’ancien hôtel de ville, la place du Ralliement d’ici 2019[27]. Voies de communication et transports Réseau routier Réseau routier d'Angers Boulevards historiques Voies radiales Rocade » sud de substitution Voies sur berges Autoroutes Angers est située au croisement de trois axes autoroutiers l'A11 entre Paris et Nantes axe majeur au niveau national, l'A87 vers La Roche-sur-Yon via Cholet et l'A85 vers Tours. La ville de Rennes, préfecture de la région Bretagne, et, dans une moindre mesure, le département de la Mayenne sont accessibles par la voie expresse RD 775, pratiquement intégralement à 4 voies[28]. La RD 761 relie, quant à elle, Angers à Poitiers, préfecture de la région Poitou-Charentes, et Niort, dans les Deux-Sèvres. Jusqu'en 2008, Angers était traversée par les voies sur berges de l'autoroute A11, celles-ci formant le lien routier entre les tronçons autoroutiers Angers-Nantes et Angers-Paris. La construction de l'autoroute est achevée lors de la mise en service du contournement nord de la ville, via une tranchée couverte de 1 700 mètres[A 9], permettant de compléter la rocade d'Angers. Mais les berges de Maine sont toujours occupées par la RD 323, séparant de fait la ville en deux. La ville compte 1 515 voies[A 10]. Le réseau routier principal se compose de trois grands types de voies. Premièrement, les boulevards historiques qui ceinturent l'hypercentre ; deuxièmement, les voies radiales en direction de la périphérie, comme les avenues Pasteur vers le nord-est, Patton vers l’ouest ou De Lattre-de-Tassigny vers le sud ; dernièrement, les axes au sud de la ville faisant office de rocade » de substitution, à savoir le boulevard Sud d'une part et les boulevards d’Arbrissel et Blanchoin d'autre part[29]. En 2012, on dénombre environ 500 000 déplacements par jour dans la commune[30]. Ponts La physionomie du réseau routier a été conditionnée par la topographie. Ainsi, la largeur de la Maine a limité les franchissements malgré son rétrécissement au XVIIIe siècle. Angers compte neufs ponts au-dessus de la rivière dont deux ponts ferroviaires. On trouve du nord au sud le pont de Segré, ancien pont ferroviaire de l’ancienne ligne de chemin de fer d’Angers à Segré réaménagé pour accueillir un itinéraire cyclable[31] ; le viaduc de la Maine permet le contournement nord de la ville par l’A11, depuis 2008[A 9] ; le pont Jean-Moulin relie le plateau des Capucins au quartier Saint-Serge, depuis septembre 1989[A 11] ; le pont Confluences relie le CHU et le cinéma Pathé depuis 2010[AM 1] ; il est réservé aux tramways, piétons, vélos et aux véhicules d'urgence ; le pont de la Haute-Chaîne relie les boulevards historiques à la rive droite, depuis 1838 ; il est reconstruit en 1951[CP 2] ; le pont des Arts et Métiers relie depuis juin 2019 les places Molière et La Rochefoucauld ; il est réservé aux piétons et cyclistes et accueillera en 2022 la ligne B du tramway[CC 4] ; le pont de Verdun, plus vieux passage d’une rive à l’autre, relie le centre-ville à La Doutre, depuis le XIe siècle[CP 3] ; le pont de la Basse-Chaîne, terminé en 1962, près du château[CP 3] ; le pont de l'Atlantique, prolongement des voies sur berges, permet de relier le centre de la ville aux quartiers du Lac de Maine, de Belle-Beille et de l'ouest de l'agglomération, depuis 1973[A 12]. À l’échelle de l’agglomération, la Loire limite également les possibilités de franchissement et la circulation des flux cinq ponts sur une quarantaine de kilomètres, de Chalonnes-sur-Loire à Saint-Mathurin-sur-Loire[29]. Le pont Confluences. Les voies sur berges et le pont de Verdun. Le pont de Verdun. Cliquez sur une vignette pour l’agrandir. Réseau ferroviaire La gare Saint-Laud. Angers est à la jonction des lignes ferroviaires de Tours à Saint-Nazaire et du Mans à Angers-Maître-École. La gare d'Angers-Saint-Laud est la principale gare mise en service en 1853 par la Compagnie du chemin de fer de Tours à Nantes[MR 1], elle fut rénovée en 2001[A 13]. Le TGV permet de rejoindre Paris-Montparnasse en 1 h 30 min et l'aéroport Roissy-Charles de Gaulle en 2 h 25 min. Le temps de parcours vers les villes voisines de Nantes et du Mans est de 40 min. Angers est également bien reliée aux principales villes françaises Lille Europe 3 h 25 min, Lyon Part-Dieu 3 h 45 min, Strasbourg 4 h 35 min ou encore Marseille et Montpellier 5 h 45 min[Note 4]. Le réseau des TER Pays de la Loire permet de relier Angers à Cholet en 40 min, Saumur en 25 min, ou encore Nantes, Le Mans ou Tours. L'Interloire, ligne TER commune aux régions Pays de la Loire et Centre-Val de Loire, permet de rejoindre Blois en 1 h 30 ou Orléans en 2 h[32]. La virgule ferroviaire de Sablé, mise en service en 2017, permet de relier Angers à Laval en 50 min au lieu de 1 h 30 min et Rennes en 1 h 35 min au lieu de 2 h 10 min[33]. La ligne Intercités Nantes – Lyon relie Angers aux villes de Bourges, Nevers, Moulins et Roanne avec un aller-retour les jours de fin de semaine[34]. La gare de la Maître-École, située à l'est de la ville, est une halte ferroviaire desservie quotidiennement par quelques TER Pays de la Loire circulant entre Le Mans et Angers Saint-Laud[32]. Elle fut mise en service par la compagnie des chemins de fer de l'Ouest lors de l'ouverture du trafic sur la voie ferrée de Sablé à Angers[B 7]. La gare Saint-Serge est une ancienne gare fermée au transport de voyageurs à la fin de la Seconde Guerre mondiale[MR 2]. Il ne subsiste plus désormais qu'une gare réservée au fret du marché d'intérêt national du Val de Loire ouvert en 1961[A 14]. Réseau aérien Un aéroport international est situé sur le territoire de la commune de Marcé, à vingt-cinq kilomètres au nord-est d'Angers à la bifurcation de l'A11 et de l'A85. Ouvert en 1998 et propriété de la communauté d'agglomération d'Angers, il est ouvert au trafic commercial, aux avions privés et il est utilisé pour les besoins sanitaires du CHU d'Angers. S’il peut théoriquement recevoir 50 000 passagers par an[35], la fréquentation maximale fut atteinte dès 1999 avec 17 780 passagers et descendit à seulement 986 passagers en 2009. Les clubs de voltige aérienne, de vol moteur et de vol à voile représentent la majorité du trafic[36]. En 2003, la Cour des comptes considère d'ailleurs que l'aéroport tient, dans l'ensemble du trafic commercial des aéroports du Grand Ouest[Note 5], une place sans corrélation avec sa population »[37]. L'aéroport héberge également le musée régional de l'air d'Angers-Marcé qui regroupe de très nombreux avions légers anciens[38]. Début janvier 2017, la décision est prise par le conseil de communauté de supprimer les vols réguliers qui desservent l'aéroport[39]. Réseau fluvial Le port fluvial, cale de la Savatte. La ville est située à la confluence de quatre cours d'eau. Cette situation a été avantageuse la circulation fluviale de Nantes à Angers fut longtemps très importante, tant pour le transport de marchandises[40] que de voyageurs. Ainsi les paquebots de Loire » au XIXe siècle transportaient les voyageurs de Nantes à Orléans via Angers. Cependant, l’arrivée du chemin de fer et plus encore du transport routier provoqua son déclin dans le courant de l’entre-deux-guerres[MR 3]. Néanmoins, la redynamisation du trafic fluvial en Loire est à l’étude. Le quai pétrolier de Bouchemaine, les installations du Génie et le port lourd d’Angers, tous deux situés à la Baumette, sont les principales infrastructures existantes[40]. Le port fluvial d’Angers, situé Cale de la Savatte et géré par l’office de tourisme de la communauté d’agglomération, accueille les navires de plaisance à l’année, en hivernage ou pour quelques jours en saison[41]. En haute saison, la Maine accueille des navettes fluviales à destination de la Mayenne jusqu’à Feneu, de la Sarthe jusqu’à Cheffes et de la Loire en direction de Béhuard ou des Ponts-de-Cé. Celles-ci s'effectuent à bord de gabares traditionnelles[42]. La Maine est navigable sur la totalité de son parcours. Il est possible de gagner vers l’ouest l’estuaire de la Loire la Loire n'est d'ailleurs navigable qu'à partir du bec de Maine. Vers le nord, si le Loir n’est pas navigable, la Sarthe l’est jusqu’au-delà du Mans et la Mayenne au-delà de la ville homonyme. À noter que l’Oudon, principal affluent de la Mayenne, est navigable jusqu’à Segré[43]. Un bac permet la traversée de la Mayenne vers l’Île Saint-Aubin. Il est accessible aux piétons et aux cyclistes du printemps à l'automne, lorsque l'île n'est pas inondée[A 15]. Réseau cyclable En 2012, le vélo représente 3,9 % des déplacements quotidiens à l'échelle de la commune[30]. En juin 2013, le réseau cyclable comprend 142 km d’aménagements cyclables[CC 5] d'après les données de la communauté urbaine Angers Loire Métropole, dont des pistes ou bandes cyclables[A 16], des couloirs de bus — parfois étroits — et des plateaux piétonniers[29]. En juin 2012, selon un conservateur des Archives d'Angers, les usagers du vélo disposent de 83 km d’espaces cyclables, dont 12,3 km de pistes spécifiques[H 4]. Depuis 2004, la municipalité a mis en place un service de prêt gratuit nommé VéloCité. La ville prête gratuitement l'une de ses 3 000 bicyclettes[44] aux personnes qui habitent ou travaillent à Angers pour une durée maximale d'un an[AM 2]. La commune a également institué une vélo-école » afin de sensibiliser à l’usage de la route[AM 2]. L'EuroVelo 6, également connue comme Eurovéloroute des Fleuves »[45], est une véloroute qui traverse Angers en reliant Saint-Brevin-les-Pins à Constanța. Elle traverse l'Europe d'ouest en est, de l'océan Atlantique à la mer Noire en passant par dix pays et suit l'itinéraire de trois des plus grands fleuves européens la Loire, le Rhin et le Danube[46]. En Maine-et-Loire, cette véloroute emprunte en réalité l'itinéraire de La Loire à Vélo[47]. À l'est de la ville, une variante de celle-ci emmène les cyclistes depuis La Daguenière vers Angers via les ardoisières de Trélazé. Vers l’ouest, la ville a aménagé la Boucle verte permettant de relier les basses vallées angevines au nord et la Loire au sud[29]. Cette dernière traverse le parc de Balzac et les bords du lac de Maine jusqu'à Bouchemaine où elle rejoint le parcours principal de La Loire à Vélo et de l'EuroVelo 6[48]. Réseau de transports en commun Le tramway électrique fait son apparition à Angers en 1896[H 5]. Cependant, cet ancien réseau est incohérent, mal équipé et mal desservi. Julien Gracq en parle en ces termes Petits, malingres, hauts sur roues, desservant un réseau peu fourni, je n'ai jamais pu faire grand cas des tramways angevins […]. ». Dès 1934, des autobus font leur apparition et la dernière ligne de tramway est abandonnée en 1949[H 6]. Le service public de transports en commun angevins, Irigo, est organisé par la communauté d'agglomération d'Angers Loire Métropole et géré par la société RD Angers, filiale du groupe RATP. Son réseau couvre le territoire de l’intercommunalité[49]. Le tramway d'Angers à la gare Saint-Laud. Le réseau se compose d’une ligne de tramway, treize lignes urbaines de bus et autant de lignes suburbaines[50]. Quatre lignes assurent le modeste[51] service de soirée de 20 h 30 à 1 h du matin — auxquelles s'ajoute une unique ligne nocturne circulaire du jeudi au samedi[52] — et cinq lignes assurant la desserte des dimanches et jours fériés[53]. En 2012, 9,3 % des déplacements quotidiens à l’échelle de la ville provenaient du réseau de transports en commun[30]. En 2014, celui-ci a enregistré plus de 34,7 millions de voyages, dont 8,55 millions pour la seule ligne de tramway[54]. Inauguré en 2011[AM 3], le tramway d'Angers compte une ligne unique reliant la commune dAvrillé au quartier de la Roseraie. Des sections utilisant la technologie APS permettent d’éviter l'utilisation de caténaires et préservent ainsi le centre historique de la ville[A 17]. Une deuxième ligne de tramway est prévue à l’horizon 2020 entre le quartier de Monplaisir et le campus de Belle-Beille[CC 6]. Les lignes départementales sont prises en charge par la régie des transports des Pays de la loire, Aléop. Une vingtaine de lignes partent de la gare routière, située à proximité immédiate de la gare d'Angers-Saint-Laud[55]. La gare routière offre également des correspondances régionales autocars TER Pays de la Loire en direction de Châteaubriant et Laval[56] et nationales. Les compagnies BlaBlaBus[57], et Isilines[58] permettent de rejoindre Paris, Brest via les villes du sud de la Bretagne, Lyon et Grenoble via Tours et Bourges. Les destinations européennes sont effectuées par la compagnie Eurolines[59]. Risques naturels et technologiques Angers est concernée par six risques majeurs[60] l'inondation, la sismicité risque faible[61], le retrait-gonflement des argiles risque faible[62], le transport de matières dangereuses[63], l’effondrement minier[64] et la tempête. Risque d'inondation Quai des Carmes, dans la Doutre. Le risque d'inondation est lié aux crues de la Maine et de ses affluents, mais aussi de la Loire, plus en aval. La faible longueur du cours de la Maine, court exutoire d’un vaste bassin hydrographique composé des trois rivières principales que sont le Loir, la Sarthe et la Mayenne, provoque une très forte dépendance hydrologique entre Loire, Maine et section aval de ses affluents[10]. Les berges de la rivière ayant été urbanisées, notamment depuis le XIXe siècle, de nombreux quartiers sont sensibles aux crues principalement la Doutre, Thiers-Boisnet et Saint-Serge. Le nombre d’habitants concernés a été évalué[10]. À l’échelle de la commune, ce chiffre est faible. Si elles ne touchent que peu d’habitants, les crues fréquentes ont en revanche des conséquences importantes en termes d’infrastructures de transport fermeture des voies sur berges et paralysie du tramway[12]. Sur le plan urbanistique, Angers est concerné par deux plans de prévention du risque inondation PPRI qui s'imposent au plan local d'urbanisme le PPRI Confluence de la Maine », en amont du pont de la Basse-Chaîne, approuvé en 2009, avec prescription de travaux à réaliser sur les constructions et habitations existantes dans les zones les plus vulnérables, et le PPRI Val du Louet-Confluence de la Maine et de la Loire » approuvé en 2002, sans mesures obligatoires sur les constructions et habitations déjà existantes[65]. Toponymie Juliomagus, le nom antique Le nom de la cité est mentionné pour la première fois vers l'an 150 par Ptolémée dans son ouvrage Géographie sous la forme Ιουλιομάγο Juliomagus[B 8],[B 9]. On retrouve la mention sur la table de Peutinger, sous la dénomination de Iuliomago. Il s'agit d'un composé de l'anthroponyme latin Julius, vraisemblablement une dédicace à un ou plusieurs membres illustres de la famille des Julio-Claudiens, et du mot celtique magos champ, plaine, campagne »[B 10]. Les dédicaces des civitas à des empereurs romains étaient fréquentes en Gaule romaine, cependant ces toponymes conservent généralement un élément gaulois[CR 1]. On note également l'attestation plus tardive de Juliomagus Andecavorum. Le déterminant Andecavorum fait référence au peuple gaulois des Andecavii Andécaves ou Andégaves, dont elle était la cité[CR 2]. Le nom d'Angers L'appellation actuelle de la ville est issue de l'élément Andecavorum. Vers l'an 400, la forme primitive Juliomagus s'efface ; elle est remplacée par le terme civitas, comme en témoigne le nom civitas Andecavorum[B 11]. Ce changement est attesté dès le IVe siècle ailleurs en Gaule au Bas-Empire[CR 3] — par exemple, les villes de Paris ou Tours ont adopté le nom du peuple dont elles étaient la capitale[B 11]. Par la suite, Angers est mentionnée au Moyen Âge sous les formes Andecava civitas au VIe siècle et Andecavis en 769[B 8], Andegavis entre 861 et 882, Angieus en 1127, Angeus en 1205 et Angiers dès le XIIe siècle[B 11]. L'évolution phonétique Andecavis en Angeus est régulière et s'explique par la lénition des consonnes intervocaliques, le -s final étant celui de l'ablatif-locatif latin. L'évolution est comparable à Pictavis en Peiteus aux XIe et XIIe siècles donnant Poitiers. La variante Andecavum explique le nom d'Anjou in Andecavo en 797[B 11]. Celui d'angevin est un dérivé semi-savant. Le doublet Angers, Anjou est également comparable à celui de Poitiers, Poitou. Surnoms Plusieurs surnoms ont servi à désigner Angers Ville des fleurs » La renommée de ses pépinières horticoles mais aussi de son vignoble ou de son arboriculture lui vaut ce surnom dès le Second Empire[B 12], tel que le rapportait Élisée Reclus[B 13]. Sa spécialisation dans le domaine du végétal et le soin accordé à ses espaces verts remettent ce surnom au goût du jour[H 7]. Angers la Blanche » ou Angers la Noire » Angers fut pendant longtemps une ville noire, en référence à ses maisons en schiste ou à pans de bois pour les plus anciennes et ses toits en ardoise, avant de devenir une ville blanche au XIXe siècle lorsque furent édifiés un certain nombre de bâtiments en tuffeau[24]. Athènes de l’Ouest » La paternité de ce surnom flatteur revient à Monseigneur Freppel, évêque d'Angers, lors de l'inauguration de l'Université catholique de l'Ouest en 1875. Néanmoins, de nombreuses écoles ouvrent à la fin du XIXe siècle écoles des Beaux-Arts, de notariat ou d'agriculture ; plusieurs sociétés savantes sont créées ; le Grand-Cercle accueille de grands compositeurs comme Camille Saint-Saëns, etc[A 18]. Histoire La plus ancienne trace d’occupation humaine remonte à 400 000 ans av. et a été découverte rue de Frémur[66]. Le site est occupé dès le néolithique vers 4500-3000 av. puisqu’un cairn a été retrouvé sur le site actuel du château. Des rejets de silex ont également été découverts sous le logis royal[9]. Antiquité Au Ve siècle av. le peuple celte des Andes ou Andécaves s’établit dans la région d’Angers, surtout au nord de la Loire, et lui donne son nom[A 19]. Après la conquête de la Gaule par les armées de César, la ville se romanise. Cependant, le nom gallo-romain de Juliomagus le marché / le champ de Julius » n’est attesté qu’au IIe siècle[B 8]. Juliomagus est délimitée à l'ouest par la Maine et à l'est par un amphithéâtre. C'était une petite ville qui ne dépassait pas les 80 ha dans son extension maximale[67], à comparer aux 200 ha de Nemausus Nîmes et aux 220 ha d'Augustudunum Autun et devait compter environ 3 000 habitants[67]. À proximité immédiate de l’actuelle rue des Arènes s’élevait autrefois l'amphithéâtre de Growan ou Grohan pouvant accueillir environ 6 000 spectateurs[CP 4]. La présence d’un amphithéâtre était à l’époque un privilège impérial dont seules jouissaient Angers et Tours dans la région[68]. Les invasions barbares des années 275-276 ont provoqué un repli des habitants vers le promontoire de la cité. Ainsi, au tournant des IIIe et IVe siècles est édifiée une muraille ne délimitant plus qu’une petite superficie d’environ 9 ha l’actuelle cité[A 19]. L’enceinte, de forme ovale, mesure environ 1 250 m, elle est percée aux quatre points cardinaux de portes, dont la principale durant l’Antiquité est l’Orientale devenue par la suite Porte Saint-Aubin. L’épaisseur du mur atteint par endroits 4 à 5 mètres. Ce sont aujourd'hui les principaux vestiges de l’époque gallo-romaine l'appareillage, de moellons et de briques, d'une partie de ce mur est encore visible, rue Toussaint[69]. Les tours Villebon et de l'Évêché en sont deux autres témoignages, quoique largement remaniées[IN 2]. Le christianisme se développe à Angers et le premier évêque est mentionné en 372 nommé Defensor — ce n'est qu'un titre, l'évêque étant alors le premier défenseur de la ville, lors de l’élection de Martin à l’évêché de Tours[CP 5]. Moyen Âge La ville prend au tournant du Ve siècle le nom du peuple gaulois qui l’habitait civitas Andecavorum, ou Andecavis, à l’origine du nom Angers[B 11]. Des incursions scandinaves et bretonnes à l'Empire Plantagenêt Le château, édifié à partir du XIIIe siècle. Le milieu du IXe siècle voit apparaître des temps troublés. Tant les Bretons que les Vikings font d’incessantes incursions en Anjou et la ville est pillée par le chef nordique Hasting en 845, puis à nouveau en 852[B 14]. Après la bataille de Jengland, Charles le Chauve, roi des Francs, et Erispoë, chef breton, s'y rencontrent en septembre 851 pour signer le traité d'Angers qui donne à la Bretagne les pays rennais, nantais et de Retz, fixant ainsi les limites frontalières de la Bretagne[70]. En 853, Charles le Chauve décide d’établir une marche autour des territoires de l'Anjou, de la Touraine, du Maine et du pays de Sées. Cependant, en 872, les Scandinaves prennent la ville et s’y installent pendant près d’un an[70]. En 873, Charles le Chauve vient lui-même aux côtés de Salomon de Bretagne assiéger la ville. Les Annales de Saint-Bertin font mention de l'utilisation de machines nouvelles et raffinées » pour en déloger les Normands[71]. Le roi de Bretagne détourne alors la Maine, ce qui met les bateaux viking à sec et ôte une protection au château[B 15]. Ce détournement est à l'origine du canal de la tannerie, comblé seulement au XIXe siècle[IN 3]. Les derniers Carolingiens, rois des Francs et comtes d’Anjou, délèguent la gestion du comté à des vicomtes à partir de la fin du IXe siècle. L’un d’entre eux, Foulques le Roux, deviendra Foulques Ier d'Anjou en 929 et fondera ainsi la première dynastie des comtes d’Anjou. La région s’apaise et le rôle militaire d’Angers aux marches du Royaume disparait pour plusieurs siècles[A 20]. Le calme retrouvé, la ville se développe par le biais de nombreux bourgs et faubourgs. Au XIe siècle, Foulques Nerra, comte d’Anjou, laisse à Angers une empreinte considérable. Il fait restaurer l’église Saint-Martin, le plus vieux monument actuel de la ville ; favorise la fondation d’abbayes bénédictines ; fait édifier le premier pont de pierre à l’emplacement du pont de Verdun[A 21] ; et fait creuser l’étang Saint-Nicolas sur le Brionneau[A 22]. Ces installations en rive droite de la Maine sont à l’origine du quartier de la Doutre. À partir de 1060, la dynastie Plantagenêt prend le titre comtal avec Geoffroy III le barbu, petit-fils de Foulques Nerra. Ceux-ci vont progressivement être à la tête d’un empire éphémère s’étendant des Pyrénées à l’Irlande. Au XIIe siècle, un historien anglais, Raoul de Diceto, vante la magnificence des édifices romans angevins[Note 6]. Ceux-ci, notamment les abbayes Saint-Aubin, Saint-Nicolas, ou encore le palais comtal, ont disparu, à l’exception du palais épiscopal et d’une partie du cloître de l’abbaye Saint-Aubin. L'empire s'écroule en 1205[72] et Jean sans Terre ne conserve plus en France que le duché d'Aquitaine. Le coup est toutefois sévère car le roi d'Angleterre a perdu le fleuron de son empire, la Normandie, et son berceau, l'Anjou. Angers est dès lors rattachée au royaume de France et son rôle militaire au sein des marches du domaine royal réapparaît. Blanche de Castille fait construire une forteresse et une nouvelle enceinte de 3 800 m de long, sur les deux rives de la rivière[A 23]. L’enceinte du Bas-Empire devient quant à elle à partir du XIIIe siècle une clôture canoniale, faisant de la Cité un bastion dans la ville interdit aux laïcs[69]. L'âge d'or de la cité et du duché d'Anjou Le cheval livide et la mort, Tenture de l'Apocalypse. En 1360, le comté est érigé en duché. Louis Ier, le premier duc d’Anjou, établit un droit de péage sur les marchandises traversant le duché afin d’entretenir les fortifications de la ville. Cette taxe, la cloison », en sera la principale ressource[A 23]. Il établit également formellement l'université d'Angers en 1364 qui sera définitivement constituée en 1432 avec ses quatre facultés droit, médecine, théologie et arts[73]. Il commande également à un lissier parisien, Nicolas Bataille, la tenture de l'Apocalypse, d'après les cartons du peintre Hennequin de Bruges[CP 6]. En 1429, lors de la guerre de Cent Ans, Yolande d’Aragon fait renforcer les défenses de la ville ; le duc de Bedford — nommé par les Anglais régent du Royaume de France et duc d’Anjou —, désireux de marcher sur Angers, détourne alors ses troupes vers Orléans[CP 7]. René d'Anjou. L’année 1434 voit le commencement du règne du bon roi René ». Né en 1409, fils cadet du duc Louis II et de Yolande d'Aragon, il devient d'abord duc de Bar en 1430 comme successeur de son grand-oncle le cardinal-duc Louis Ier de Bar auquel titre s'ajoute en 1431 celui de duc de Lorraine par son mariage avec la duchesse Isabelle Ire, enfin en 1434 à la mort de son frère aîné Louis III d'Anjou, duc d'Anjou, comte de Provence, roi de Naples et de Jérusalem. Beau-frère du roi Louis XI, il contribue à la relance de l'économie locale, très affectée au début du XVe siècle par les séquelles de la peste 1347-1350 et par les conflits incessants, dont la guerre de Cent Ans. Homme d'une grande culture et d'une grande générosité, il fait d'Angers un centre culturel et politique important où il entretient une cour littéraire et savante. Il aménage les douves du château en ménagerie, créé des lieux de promenades et des jardins fleuris[B 16]. Il fait également construire près d’Angers trois manoirs de campagne Haute-Folie, Reculée et Chanzé, près de la Baumette où il fonde en 1451 le couvent des Cordeliers. Il lègue à sa mort la tenture de l’Apocalypse à la cathédrale[A 23]. François Villon, dans son œuvre de jeunesse Le Lais de 1457, cite Angers comme refuge après sa fuite de Paris en raison de ses larcins Pour obvier à ces dangers, Mon mieulx est, ce croy, departir. Adieu! Je m'en vois à Angers. » Remise de la charte aux bourgeois par Louis XI Jules Dauban, 1901.En 1474, Louis XI manœuvre contre le bon roi René, dont il désire annexer le domaine angevin. Le roi de France se rend à Angers avec son armée, sous couvert d'une visite de courtoisie. Il installe aussitôt une garnison dans le château d'Angers et en confie le commandement à Guillaume de Cerisay. À soixante-cinq ans, le roi René ne veut pas commencer une guerre avec son neveu le roi de France. René lui cède son duché sans combattre. L'Anjou cesse dès lors d'être un apanage et entre définitivement dans le domaine royal[B 16]. Louis XI cherche alors à se concilier la bourgeoisie locale. Il accorde ainsi en 1475 une grande charte communale qui crée la mairie. Le premier maire, Guillaume de Cerisay, est imposé par le roi. La ville est exemptée de taille, de gabelle et de service armé et bénéficie de droits de police et justice. Elle utilise en guise de sceau les armoiries actuelles écu chargé d'une clef en pal, accostée en chef de deux fleurs de lys[A 24]. La ville s’illustre par sa vie intellectuelle et universitaire Angers voit s'installer dès 1476 une imprimerie ; l'université forme plusieurs personnalités de premier plan, comme Guillaume Poyet, futur chancelier de François Ier et auteur de l'ordonnance de Villers-Cotterêts ; Ambroise Paré fait une partie de ses études à la faculté de médecine[A 24]. Située entre les villégiatures royales de Touraine et une Bretagne qui ne désarme pas, Angers accueille fréquemment les rois de France[H 8]. Temps modernes La prospérité s’installe et en 1538, Angers apparaît comme l’une des seize plus importantes villes du royaume. Dès 1509, le diocèse procure à la ville un établissement préparatoire à l'université, le collège d'Anjou[74] dit aussi Collège Neuf ». Les marchands angevins expédient vers Paris et les grands ports de l'Atlantique les produits du duché toiles, vins, ardoises, tuffeau. Cette prospérité s’accompagne de l’édification de riches bâtisses en pierre, dans une ville où les constructions sont majoritairement en bois logis Barrault, hôtel des Pénitentes ou encore logis Pincé[A 24]. Afin de faciliter le commerce fluvial, le port Ayrault est creusé en 1556[IN 1]. Un premier plan de la ville est par ailleurs établi par Adam Vandelant en 1576[A 24]. Vues d'Angers Vue d'Angers depuis le plateau des Capucins, Hougfnaglius, 1561. Plan de la ville d'Adam Vandelant, 1576. La réforme protestante est bien accueillie dans la région — une église apparaît dès 1555[A 24]. En 1560, a lieu la journée des mouchoirs l’élection des délégués aux États généraux dégénère après la razzia protestante au sein des représentants de la noblesse[75]. Les protestants parviennent cependant à se rendre maîtres de la ville entre avril et mai 1562. La répression sera sanglante 50 exécutions et 244 condamnations à mort par contumace[A 24]. Le 29 août 1572 soit cinq jours après la Saint-Barthélemy, les échevins arrêtent un massacre organisé par le gouverneur de Saumur, le comte de Montsoreau, alors que des huguenots sont précipités dans la Mayenne[B 17]. En 1598, Henri IV séjourne à Angers pendant l’élaboration de l’Édit de Nantes et arrive ainsi à convertir les plus réticents catholiques[A 24]. En 1619, Louis XIII autorise Marie de Médicis à résider avec sa cour à Angers. Elle s'installe dans le Logis Barrault avec son aumônier Richelieu[76]. En août 1620 a lieu la bataille des Ponts-de-Cé — connue également sous le nom de drôlerie des Ponts-de-Cé » — entre les partisans du roi et ceux de sa mère. Le 10 août le traité d'Angers est signé le roi accepte le retour de sa mère à la cour de France[B 18]. Le XVIIe siècle est marqué par une grave épidémie de peste en 1626 et de grandes famines, autour des années 1630 et 1661[A 24]. En 1649, face aux famines, épidémies et à une pression fiscale de plus en plus agressive, les Angevins se révoltent c'est le commencement de la Fronde angevine. La répression par les troupes royales est évitée de justesse grâce à l'intervention de l'évêque Henri Arnauld[CP 8]. La ville est néanmoins sanctionnée par le pouvoir royal et perd son privilège de libre élection du conseil de ville. L’époque est difficile et la population diminue drastiquement il faudra attendre le début du XIXe siècle pour qu’Angers retrouve sa population de 1650 32 000 habitants. Un recensement est effectué en 1769 et la ville compte alors 25 044 habitants au sein de 4 116 maisons[A 24]. En 1651 et 1711, la commune est victime de crues très importantes la Maine semble avoir dépassé les 7 m, soit des hauteurs d’eau supérieures à la crue historique de 1995[12]. Au XVIIIe siècle, l’économie de la ville est morose malgré le développement d’industries textile, sucrière et ardoisière. La ville évolue peu et ne se modernise pas les échevins n’ont pas de projet urbanistique comme leurs voisins nantais. Le maintien des vieilles fortifications, archaïques, s’explique par exemple par le besoin de prélever l’octroi. À l’inverse, la vie culturelle ne faiblit pas une académie royale des Sciences et Belles-Lettres est créée en 1685 sur le modèle de l'Académie française ; un théâtre est ouvert en 1763 ; un premier hebdomadaire, les Affiches d'Angers, apparaît en 1773 ; une société de concerts est constituée ; un jardin botanique est créé rue Bressigny[A 24]. Révolution française et Empire Lors de la Révolution, un parti patriote émerge à Angers autour notamment de Volney et La Révellière-Lépeaux. En 1790, est créé le département de Maine-et-Loire le nom de Mayenne-et-Loire apparaît cependant quelquefois[B 19] dont le siège est fixé à Angers il reprend en grande partie les anciens territoires de l’Anjou[IN 4]. La nouvelle commune d'Angers absorbe celles voisines de Saint-Augustin, Saint-Léonard et Saint-Samson[77] — trois communes dont les appellations révolutionnaires étaient respectivement Peu-de-Fonds[78], Fruits-Sucrés[79] et Gaie-Vallée[80]. La ville atteint dès lors sa superficie actuelle et compte 33 900 habitants[A 18]. La Constitution civile du clergé fait apparaître les premières tensions. En effet, seuls 22 % des ecclésiastiques prêtent serment. La guerre de Vendée va ensuite marquer profondément la cité. Les affrontements entre Républicains et Vendéens sont incessants en 1793. La Terreur s’installe en octobre de la même année et deux mille personnes sont fusillées au champ des Martyrs lors des fusillades d'Avrillé[A 18]. Une guillotine est installée pendant un an entre 1793 et 1794, sur l'actuelle place du Ralliement[H 9]. La physionomie de la ville commence à changer à la même époque. En 1791, la place du Ralliement est aménagée à la suite de la destruction de trois églises dont la collégiale Saint-Pierre[CP 9]. Mais surtout, en 1807, Napoléon autorise par un décret impérial la destruction des fortifications médiévales de la ville qu'il visite l'année suivante[CP 10]. Époque contemporaine Le réveil de la ville au XIXe siècle Le pont des Treilles, détruit au XIXe siècle Angers on the Loire, George C. Stanfield, vers 1859. Le XIXe siècle voit se poursuivre ces profondes modifications du paysage urbain. Dans la foulée du décret napoléonien, la ceinture de boulevard est achevée vers 1850-1860 et des ponts sont construits dans son prolongement[A 25]. En 1850, le pont de la Basse-Chaîne s’effondre lors d’une revue et provoque la mort de 223 personnes, principalement des soldats du 11e régiment d'infanterie légère[IN 5]. Le pont des Treilles, en ruine depuis 1711, est quant à lui définitivement démoli en 1855 puis 1890[IN 6] alors que le Grand pont » — actuel pont de Verdun —, le plus ancien de la ville, est reconstruit entre 1846 et 1848[IN 7]. Le quartier des Luisettes actuel quartier Thiers-Boisnet s’urbanise à compter de 1840. Jusqu’en 1623, il s’agissait d’une île faite de prairies inondables près de laquelle fut construit l’ancien port Ayrault, comblé à la fin des années 1860[H 10]. De la même manière, l’ancien canal des Tanneries est comblé en 1866 et laisse place à l’actuel boulevard Henri-Arnauld ; par conséquent, l’ancienne île des Carmes est rattachée à la Doutre[H 11]. Le port Ayrault et les Luisettes en 1848 Alfred Guesdon. Le Second Empire voit un accroissement de ces travaux d’urbanisation de nouvelles artères sont percées, notamment dans le centre-ville qui est totalement réaménagé autour d’immeubles de style haussmannien. Le chemin de fer fait son apparition en 1849 en présence de Louis-Napoléon Bonaparte et la gare Saint-Laud est inaugurée en 1853[MR 4]. En parallèle, la ville reste un centre culturel et intellectuel. Plusieurs sociétés savantes sont créées et le Grand-Cercle accueille de grands compositeurs comme Charles Gounod, Léo Delibes ou Camille Saint-Saëns. et de nombreuses écoles s’y installent. Surtout, une nouvelle université apparaît en 1875, l’université catholique de l'Ouest[A 25]. Première faculté libre » de France, elle succède à l’université médiévale disparue sous la Révolution. Lors de ses échanges épistolaires avec son homologue d’Angers, l’évêque de Quimper donne une image de la ville des plus étonnantes Angers est une des villes les plus dangereuses pour la jeunesse. C’est une ville de plaisirs plutôt que d’études. La vie y est fort légère »[H 12]. L'horticulture est l'un des principaux secteurs d'activité de l'économie angevine comme l'atteste cet extrait d'un document de 1865 Si la Touraine a été appelée à juste titre le jardin de la France, on a pu dire avec non moins de raison que l'Anjou en est la pépinière. […] un concours heureux de circonstances naturelles ou économiques [a] beaucoup contribué à étendre et à propager dans ce beau pays un genre de culture dont l'importance s'accroît tous les jours. »[B 6] André Leroy possède à cette époque la plus grande pépinière d’Europe. La vie économique s’organise autour de ces activités agricoles mais également dans le domaine de la distillerie, de l’extraction ardoisière, du parapluie et du textile. En 1901, la Société anonyme des filatures, corderies et tissages Bessonneau emploie ainsi plus de cinq mille personnes[A 25]. Les nouveaux boulevards Angers vers 1850. Les nouveaux boulevards sont bien visibles. Le boulevard de Saumur, actuel boulevard Foch. Le pont de la Basse-Chaîne avant son effondrement. Le XXe siècle Cette euphorie s’arrête au lendemain de la Première Guerre mondiale. Si la ville n’a pas souffert directement de cette dernière, les conséquences démographiques sont importantes et la population stagne alors que l’économie est à bout de souffle[A 26]. L'escalier et la grande verrière Art Déco des Nouvelles Galeries. Au début du XXe siècle, la ville s’enrichit cependant au niveau universitaire et culturel en 1898 est fondée l’École supérieure d’agriculture et de viticulture et en 1909, l'École supérieure des sciences commerciales[CP 11]. Toujours au début du siècle, plusieurs bâtiments à l’architecture remarquable sont construits. Le music-hall Alcazar ouvre ses portes en 1902 dans un immeuble dans le plus pur style Art nouveau[H 13]. Les Nouvelles Galeries proposent des produits de luxe et exotiques sur le modèle des grands magasins parisiens dans leur nouvel immeuble Art déco construit à partir de 1926[H 14]. Entre 1927 et 1929, cette architecture s'épanouit avec l'édification de la Maison bleue » dont le nom vient de son décor de mosaïques[A 27]. L’hôtel des postes construit en 1929[IN 8] ainsi que le bâtiment de la Compagnie française d'aviation de 1938[IN 9] sont deux autres exemples majeurs de l'architecture de cette époque. Lorsque la Seconde Guerre mondiale éclate, la ville reçoit le gouvernement polonais en exil, au château de Pignerolle, devenant de facto capitale de la Pologne[CP 12]. À partir de 1941, les Allemands font d’Angers le siège de la Kommandantur de l’Ouest de la France, puis l’amiral Dönitz installe à Pignerolle son centre de communication sous-marin. Dès 1940, Victor Chatenay, futur maire de la commune, crée le premier mouvement de résistance angevin Honneur et Patrie ». En 1942, Angers devient le centre régional de la Gestapo[B 20]. Les rafles débutent 60 personnes sont fusillées sur le champ de tir de Belle Beille, 879 juifs sont déportés vers Auschwitz. En 1944, il ne reste plus que 22 juifs dans le département[A 28]. En mai 1944, les premiers bombardements alliés marquent le début des destructions liées à la guerre. Le bilan est lourd 418 morts, plus de 360 blessés, 7 000 sinistrés, 1 300 maisons détruites ou inhabitables[A 28]. Le 10 août 1944, lors de l’entrée des troupes du Général Patton, Michel Debré se présente à la préfecture et devient le commissaire de la République pour la région d’Angers jusqu’en avril 1945[81]. L’après-guerre voit l’élection du premier maire socialiste de l’histoire d’Angers puis, de 1947 à 1959, Victor Chatenay, ami du général de Gaulle, est premier magistrat. Le dynamisme revient la ville dépasse les 100 000 habitants en 1954 ce qui conduit à édifier de nouveaux ensembles de logements[A 26] le quartier de Belle-Beille et la Cité Verneau sont mis en chantier dès 1953[A 14]. La ville inaugure ainsi successivement quatre nouveaux quartiers périphériques suivent en effet les quartiers de Monplaisir et de La Roseraie, à compter respectivement de 1963 et 1966[A 29]. C’est également à la même époque que les habitations du quai Ligny sont détruites et que la voie rapide est construite sur les berges de la Maine[IN 10]. Alors que les Établissements Bessonneau, si prospères au début du siècle, ferment définitivement leurs portes en 1966, l’économie repart néanmoins grâce à l’arrivée de nouvelles entreprises telles que Thyssen en 1948, Thomson en 1957 ou Bull en 1961. Plus tard, c’est notamment le constructeur automobile suédois Scania qui installera son siège social français à Angers, en 1991[A 26]. Puis la ville se spécialise progressivement dans le domaine du végétal jusqu'à faire d'Angers le premier pôle horticole d’Europe[82]. En effet, la ville accueille un pôle de compétitivité à vocation mondiale spécialisé dans le végétal, Végépolys[83], plusieurs écoles spécialisées, des laboratoires de recherche et plusieurs institutions, dont l'office communautaire des variétés végétales[84]. Politique et administration Rattachements administratifs et électoraux Instances administratives Angers est le chef-lieu de l'arrondissement d'Angers et la ville-préfecture du Maine-et-Loire. À ce titre, elle concentre la plupart des activités liées à la représentation de l’État au niveau départemental. Angers accueille ainsi de nombreuses autres administrations, parmi lesquelles l'inspection académique, la chambre de commerce et d'industrie de Maine-et-Loire ou encore la chambre d'agriculture[85]. La ville accueille également le siège national de l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie ADEME[86], l'un des établissements de la direction des retraites et des solidarités de la Caisse des dépôts et consignations[87] ou encore une institution européenne, l'Office communautaire des variétés végétales OCVV[A 26]. La commune est le siège d'une circonscription de sécurité publique. À ce titre, elle dispose d'un hôtel de police commissariat central de la police nationale[88], de trois commissariats subdivisionnaires à Monplaisir[89], la Roseraie[90] et dans le quartier Saint-Jacques[91] ainsi que d'une brigade de proximité de gendarmerie à Belle-Beille[92]. Angers accueille également la direction départementale de la sécurité publique[93] et le service régional de police judiciaire[94]. Elle dispose d'une police municipale forte de 57 agents en 2015[AM 4]. En 2015, la municipalité devrait déployer cent caméras de vidéosurveillance, s'ajoutant aux 28 déjà en place[AM 4]. En 2009, Angers possède un taux de criminalité de 56,12 actes pour 1 000 habitants, nettement inférieur au taux moyen de 75,28 des villes françaises de 100 000 à 250 000 habitants et un taux semblable à la moyenne française de 56,39[95]. Circonscriptions électorales Pour l'élection des députés, la commune fait partie de quatre des sept circonscriptions législatives de Maine-et-Loire la première, la deuxième, la sixième et la septième. Depuis la réforme territoriale de 2014, elle est le bureau centralisateur de sept cantons[96] Angers-1, Angers-2, Angers-3, Angers-4, Angers-5, Angers-6 et Angers-7. Instances judiciaires La commune accueille l’ensemble des juridictions de l’ordre judiciaire tribunal judiciaire, cour d’assises, cour d'appel dont le ressort s’étend aux départements de la Mayenne et de la Sarthe, tribunal pour enfants, conseil de prud'hommes, tribunal de commerce, tribunal paritaire des baux ruraux et tribunal des pensions. Dans l’ordre administratif, le tribunal administratif et la cour administrative d'appel compétents sont ceux de Nantes[97]. Elle abrite une maison d'arrêt[98]. Intercommunalité La ville était le siège de la communauté d’agglomération du Grand Angers, un établissement public de coopération intercommunale EPCI à fiscalité propre, créée fin 2000 et qui prenait la suite du district urbain d'Angers créé en 1968 et qui, à l'origine, regroupait 10 communes rejointes progressivement par 20 autres. En 2005, l'intercommunalité intègre Soulaines-sur-Aubance et les Ponts-de-Cé et, tout en demeurant une communauté d'agglomération, prend le nom d'Angers Loire Métropole. En 2015, afin de bénéficier d'une plus importante dotation globale de fonctionnement, la communauté d'agglomération devient une communauté urbaine tout en gardant la même dénomination. Ce n'est pas une métropole au sens légal, comme son nom le laisse penser. Cette intercommunalité exerce de très nombreuses compétences qui lui ont été transférées par les 29 communes membres, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales et s'étend sur 55 000 hectares, principalement au nord de la Loire[CC 7]. Tendances politiques et résultats Angers a une longue tradition de centre droit. En effet, il faut attendre 1945 pour qu'un maire de gauche Auguste Allonneau soit élu pour la première fois[A 30]. De 1947 à 1977, ses successeurs sont soit gaullistes Victor Chatenay, RPF, Jacques Millot UNR, soit de centre-droit Jean Turc, CNIP[A 31], mais les choses changent à partir de 1977. Quelques mois avant les élections municipales, François Mitterrand a cette phrase devenue célèbre Quand Angers deviendra socialiste, c'est toute la France qui passera à gauche »[99], et, la même année, Jean Monnier, syndicaliste CFDT, est élu à la mairie à la suite des dissensions de la droite locale. Cependant, le retour au centre s'opère dès les élections de 1983 lorsque Jean Monnier écarte les communistes, ouverture au centre amplifiée lors des élections de 1989. Aux élections de 1995, la liste d'union de la gauche modérée et du centre remporte à nouveau nettement les élections[B 21]. Si le résultat des élections de 2008 est des plus serrés entre le maire sortant Jean-Claude Antonini et son opposant Christophe Béchu[100], une liste de droite redevient majoritaire pour la première fois depuis 1977 lors des élections de 2014[AM 5]. Lors du premier tour des élections municipales de 2020, la liste LR-LREM-MoDem-Agir-MR menée par le maire sortant Christophe Béchu remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 17 267 voix 57,82 %, 49 conseillers municipaux élus dont 35 conseillers communautaires, devançant très largement les autres listes. Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 65,75 % des électeurs se sont abstenus[101]. Au niveau législatif, cette tendance se vérifie également jusqu'en 2007, les députés de la Cinquième République appartiennent tous à la mouvance gaulliste — de Victor Chatenay 1951-1959[102] et Jean Foyer 1959-1988[103] à Roselyne Bachelot 1988-2012[104] — ou au centre-droit à partir des années 1980[105],[106]. La sociologie électorale montre, lors des élections nationales, un rééquilibrage vers le centre gauche au second tour des élections présidentielles, Nicolas Sarkozy accuse un retard de six points par rapport à la moyenne nationale, tant aux élections de 2007 47,2 % des voix[107] qu’aux élections de 2012 42,8 %[108]. Marc Goua PS devient quant à lui en 2007 le premier député socialiste élu au scrutin majoritaire de Maine-et-Loire, rejoint aux élections de 2012 par deux autres députés socialistes angevins[109]. De manière générale, le FN obtient à Angers des scores nettement plus faibles que dans le reste de la France, à l’inverse du centre et du centre-droit. Ainsi lors de l’élection présidentielle de 2002, Jean-Marie Le Pen obtient un score inférieur de 7,2 points au premier tour et de 8 points au second par rapport à la moyenne nationale, permettant ainsi à Jacques Chirac d’obtenir 90,2 % des voix[110]. De même lors de l’élection présidentielle de 2007 où le score du candidat FN est inférieur de 5,2 points à la moyenne nationale. À l’inverse, le candidat MoDem François Bayrou obtient 23,5 % des voix, soit un score de 5 points supérieur à la moyenne nationale[107]. En 2012, Marine Le Pen n’obtient que 10 % des voix, 8 points de moins qu’au niveau national[108]. Résultats des scrutins français, depuis 2000 Résultats pour la commune des scrutins français depuis 2000. Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours. Année Élu Battu Participation 2002 90,22 % Jacques Chirac RPR 9,78 % Jean-Marie Le Pen FN 79,44 % [111] 2007 47,26 % Nicolas Sarkozy UMP 52,74 % Ségolène Royal PS 84,49 % [112] 2012 57,23 % François Hollande PS 42,77 % Nicolas Sarkozy UMP 80,02 % [113] 2017 82,55 % Emmanuel Macron EM 17,45 % Marine Le Pen FN 72,96 % [114] 2022 % Emmanuel Macron LREM % Marine Le Pen RN % [115] Élections législatives. Angers est répartie sur plusieurs circonscriptions, cf. les résultats des première, deuxième, sixième et septième circonscriptions de Maine-et-Loire. 2022 % % % [116] Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores. Année Liste 1re Liste 2e Participation 2004 30,75 % Bernard Poignant PS 20,57 % Roselyne Bachelot UMP 44,96 % [117] 2009 33,53 % Christophe Béchu UMP 19,93 % Yannick Jadot Les Verts 41,58 % [118] 2014 20,41 % Alain Cadec UMP 17,71 % Isabelle Thomas PS 44,49 % [119] 2019 28,16 % Nathalie Loiseau LREM 18,88 % Yannick Jadot EELV 50,29 % [120] Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores. Année Liste 1re Liste 2e Participation 2004 57,11 % Jacques Auxiette PS 42,89 % François Fillon UMP 59,84 % [121] 2010 57,45 % Jacques Auxiette PS 42,55 % Christophe Béchu UMP 51,12 % [122] 2015 46,56 % Christophe Clergeau PS 40,71 % Bruno Retailleau LR 52,39 % [123] 2021 % % % [124] Élections cantonales Angers est répartie sur plusieurs cantons, cf. les résultats de ceux de Angers-Centre, Angers-Est, Angers-Nord, Angers-Nord-Est, Angers-Nord-Ouest, Angers-Sud et Angers-Trélazé. Élections départementales Angers est répartie sur plusieurs cantons, cf. les résultats de ceux de Angers-1, Angers-2, Angers-3, Angers-4, Angers-5, Angers-6 et Angers-7. Référendums. Année Oui national Non national Participation 1992 61,72 % 51,04 % 38,28 % 48,96 % 68,02 % [131] 2000 74,69 % 73,21 % 25,31 % 26,79 % 31,75 % [132] 2005 58,2 % 45,33 % 41,8 % 54,67 % 67,65 % [133] Administration municipale Christophe Béchu, maire d'Angers de 2014 à 2022. Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 100 000 et 149 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 55[134]. Liste des maires De 1475 à nos jours, de Guillaume de Cerisay à Jean-Marc Verchère, l’institution municipale a vu cent-soixante-treize maires se succéder à l’hôtel de ville[A 32],[A 33]. Finances locales Le compte des finances communales fait apparaître en 2014 les informations suivantes[142]. La commune disposait d’un budget de 313 410 000 € dont 226 524 000 € de fonctionnement et 86 886 000 € d'investissement, en augmentation de 13,68 % par rapport à 2005. Le budget de fonctionnement était financé à hauteur de 41,69 % par les impôts locaux, 5,75 % par d'autres impôts et taxes et 23,13 % par la dotation globale de fonctionnement. Ces indicateurs étaient pour les communes de la même strate, de plus de 100 000 habitants, respectivement de 41,56 %, 7,29 % et 18,50 %. Les taux d’imposition fixés par la commune étaient de 17,7 % pour la taxe d'habitation, de 32,98 % pour la taxe foncière sur le bâti et 38,57 % pour la taxe foncière sur le non-bâti. Les taux de la strate des communes de plus de 100 000 habitants étaient respectivement de 21,01 %, 23,07 % et 35,33 %. La dette cumulée de la commune s’élevait à 84 721 000 €, soit 553 € par habitant, soit une multiplication par 27 environ depuis 2005 jusqu'en 2009, la dette cumulée de la commune était particulièrement faible. La dette moyenne par habitant de la strate des communes de plus de 100 000 habitants s'élevait quant à elle en 2014 à 1 176 €. Politique de développement durable Dès 1992, la ville est présente avec la délégation française au sommet sur la Terre de Rio de Janeiro, et adopte, la même année, une charte pour l’écologie urbaine. En 1996, elle adhère également à la charte d'Aalborg des villes européennes durables. La ville lance sa démarche d'Agenda 21 en 1998[143] et le premier agenda 21 local est élaboré en 2000[A 34]. En 2010, la ville organise les Rencontres nationales du développement durable RIO+10, l’après Johannesburg »[A 34]. La commune a mis en place plusieurs initiatives en vue de sauvegarder la biodiversité locale avec le concours de la Ligue pour la protection des oiseaux LPO, plusieurs dizaines de nichoirs ont été installés dans les parcs et jardins de la commune ; de même, cinq ruches ont été implantées dans le parc de l’arboretum afin de favoriser la pollinisation[A 35] ; un objectif de suppression totale de l'usage des pesticides a été décidé à moyen terme, la ville utilisant alors des techniques alternatives désherbage thermique, pièges à phéromones, recours aux insectes comme prédateurs naturels, etc.[AM 6]. La municipalité encourage également la végétalisation » de l'espace public les mini-jardins » sont de petits espaces prélevés sur les trottoirs où les habitants volontaires entretiennent un espace fleuri ou potager, avec les plantes et les conseils des jardiniers municipaux[144]. En 2014, Angers est la ville de France la plus verte selon un palmarès établi par l'Union nationale des entrepreneurs du paysage UNEP, avec notamment 5 % de son budget consacré aux espaces naturels, parcs et jardins et grâce à la plus grande concentration d’espaces verts de France[145]. Depuis 2013, la problématique de la pollution lumineuse fait l'objet d'une réglementation stricte l’éclairage des magasins est majoritairement éteint avant 23 h, les façades des bâtiments le sont au plus tard à 1 h du matin et les bureaux une heure après la fin de l’activité[A 36],[146]. En matière de traitement des déchets, l’agglomération angevine a décidé la fermeture de son usine d’incinération de la Roseraie afin de la remplacer par une toute nouvelle usine de traitement mécano-biologique, Biopole », inaugurée en 2011[147]. Cependant, les problèmes liés à la qualité du recyclage et aux conditions de travail ont conduit dès 2015 à sa fermeture. Dès lors, les ordures de la région angevine sont incinérées à Lasse ou enfouies à Changé, dans l’attente d’un nouveau projet communautaire[AM 7]. L’ancienne usine d’incinération a été transformée en 2011 en chaufferie à bois, Biowatts », desservant 14 000 équivalents logements[AM 8],[AM 9]. Jumelages La ville d'Angers a instauré dès 1967 aux côtés de Haarlem et Osnabrück un système d'échange de jeunes. Ces ambassadeurs » travaillent pendant une année pour le service relations internationales des villes partenaires[A 37]. Ce système unique a valu en 2012 à la ville le label Ville euro-citoyenne » décerné par le ministère des Affaires étrangères[A 38]. En 2015, d'après la base de données officielle du ministère des Affaires étrangères, Angers est jumelée avec Haarlem Pays-Bas depuis 1964, Osnabrück Allemagne depuis 1964, Wigan Angleterre depuis 1988 et Yantai Chine depuis 2006[148]. Angers a également signé des contrats de partenariat avec les communes de Bamako Mali en 1974, Pise Italie en 1982 et Södertälje Suède en 1999. Le site de la mairie cite également un partenariat avec Toruń Pologne depuis 2011 et avec Austin États-Unis depuis 2012[A 38]. Équipements et services publics Espaces publics Parcs et jardins Angers compte dix-huit parcs et jardins publics. La ville est, en 2014, la ville de France où la concentration en espaces verts est la plus importante[145]. Les principaux jardins publics de la ville sont le jardin des plantes, un jardin à l'anglaise autour d'un petit ruisseau, bordé d’allées sinueuses et de statues ; le jardin du Mail, vaste promenade agrémentée d’un modèle de fontaine présenté à l’Exposition universelle de 1855 et d'un jardin à la française permanent de fleurs créé par André Leroy[A 39] ; et le parc de l’arboretum comprenant cinq jardins différents — de par les variétés utilisées, l’aménagement ou les finalités botaniques — et 1 500 espèces et 4 300 spécimens[A 40]. Esquissé à partir de 1989, le parc de Balzac prend place sur le site de prairies inondables — les prairies d’Aloyau — traversées par le Brionneau. De par sa position, le parc permet de relier d’une part celui de l’étang Saint-Nicolas et d’autre part celui du Lac de Maine. D’une superficie de 46 hectares, il comprend plusieurs espaces, notamment un marais », tantôt paysage sec, tantôt traversé de canaux, tantôt inondé ; une pâture pour vaches highlands, ânes du Cotentin ou baudets du Poitou ; et une zone de dunes » végétales. Le parc est une importante réserve de biodiversité[A 41]. Le parc de l’étang Saint-Nicolas se compose de plusieurs espaces semi-naturels parcs de Belle-Beille, de la Garenne, des Carrières et de la Haye. D’une superficie de 112 hectares, son origine est beaucoup plus ancienne puisque remontant au Xe siècle lorsque Foulques Nerra, comte d’Anjou, décide le creusement du Brionneau afin d’installer carrières et moulins. Le relief varié du parc permet à différents biotopes de s’épanouir aquatiques et rivulaires, combes, lande, coteaux nord et sud. La végétation y est donc diversifiée[A 42]. Parcs et jardins à Angers La fontaine du jardin du Mail. Les dunes » du parc de Balzac. Les douves du château. Cliquez sur une vignette pour l’agrandir. Enseignement En 2012, la ville compte 47 001 personnes scolarisées[Insee 4]. L'enseignement privé tient une part importante dans le système éducatif angevin, de l'école maternelle à l'enseignement supérieur. Enseignement primaire et secondaire Les établissements éducatifs de la commune relèvent de l'académie de Nantes. En 2015, la ville compte 115 établissements relevant du primaire et du secondaire. Parmi les établissements de l’enseignement primaire, on compte 25 écoles maternelles et 35 écoles élémentaires publiques, 17 écoles privées sous contrat. Dans l'enseignement secondaire, on compte 19 collèges dont 11 publics et 19 lycées dont 10 publics. Parmi ces derniers, la ville compte cinq lycées publics et quatre lycées privés d’enseignement général, deux lycées publics polyvalents, huit lycées professionnels dont deux lycées agricoles[149]. Le lycée David-d'Angers est par ailleurs le lycée le plus ancien, fondé en 1806[CP 13]. Enseignement supérieur La ville d'Angers compte environ 35 000 étudiants[150] soit près de 25 % de sa population municipale. On y trouve notamment une université publique l'université d'Angers et une université privée l'université catholique de l'Ouest. Depuis 2008, l'université d'Angers, le centre hospitalier universitaire, Agrocampus Ouest et l'École supérieure d'agriculture forment, avec d'autres universités et écoles des Pays de la Loire, un pôle de recherche et d'enseignement supérieur PRES l'université Nantes Angers Le Mans[151]. Universités Les origines de l’université d'Angers remontent à 1337 lorsqu’est établie la faculté de droit. En 1432, sont mises en place les facultés de médecine, d’arts et de théologie ; elles comptaient 1 000 étudiants à la fin du XVe siècle. Le Collège d'Anjou, fondé en 1509 et animé depuis 1629 par les Oratoriens, servait d'établissement préparatoire pour l'université. Mais celle-ci est supprimée sous la Révolution française, et il faudra attendre l’Après-guerre pour voir renaître un centre d’étude universitaire public dans la ville. C’est en 1971 que l’actuelle université d’Angers est officiellement créée[152]. Elle s’organise à Angers autour de trois campus. Le campus de Belle-Beille regroupe l'unité de formation et de recherche UFR de lettres, langues et sciences humaines et de sciences ainsi qu’une école d’ingénieurs, Polytech Angers ex-ISTIA. Le campus de Saint-Serge regroupe quant à lui l'UFR de droit, d'économie et de gestion et l’ESTHUA, le centre de recherche sur le tourisme. Le campus de médecine et pharmacie se trouve près du centre hospitalier universitaire, dans le quartier des Capucins Hauts-de-Saint-Aubin[153]. Un Institut universitaire de technologie IUT est aussi présent à Belle-Beille. Il forme les étudiants en génie biologique, génie électrique, gestion des entreprises et des administrations et en techniques de commercialisation[154]. En 2015, l’université compte 22 000 étudiants dont 2 700 étrangers de 116 nationalités et délivre 402 diplômes différents[155]. Le campus historique d’Angers correspond à celui de l’université catholique de l'Ouest UCO, fondée en 1875 par Charles-Émile Freppel, évêque d'Angers. Il comprend les cinq facultés de l’université, à savoir facultés d’éducation, des humanités, de théologie et sciences religieuses, de sciences et de sciences humaines et sociales[156]. Elle accueille environ 9 000 étudiants en 2015[157]. Depuis la rentrée 2009, l'UCO a créé avec l'université américaine de St. Edward's un campus américain. Les étudiants peuvent y préparer en un an un cursus universitaire américain avant de continuer leurs études à Austin[158]. Autres établissements d'enseignement supérieur Fondée par les Jésuites en 1898, l’École supérieure d'agriculture d'Angers ESA accueille environ 3 000 étudiants[159] ce qui en fait le premier centre de formation supérieure agricole privé. Elle propose des formations notamment dans les domaines de l’industrie agroalimentaire, de l’environnement, du commerce ou de l’aménagement paysager[160]. L’École supérieure des sciences commerciales d'Angers ESSCA est créée en 1909 par le doyen de l’université catholique de l’Ouest[161]. Elle accueille 3 000 étudiants en finance, marketing et management[162]. Troisième établissement créé par un ecclésiastique, l’École supérieure d'électronique de l'Ouest ESEO est une école d'ingénieurs en sciences et technologies de l'information et de la communication fondée en 1956[163]. L’école Arts et métiers ParisTech est transférée de Beaupréau à Angers en 1815 par le duc de La Rochefoucauld-Liancourt[164]. Elle forme des ingénieurs en génie mécanique, génie énergétique et génie industriel et productique[165]. Depuis 2008, le campus angevin de l’Institut supérieur des sciences agronomiques, agroalimentaires, horticoles et du paysage, Agrocampus Ouest, propose des formations dans le domaine de l’horticulture et du paysage[166]. Plusieurs autres établissements d’enseignement supérieur se trouvent à Angers. Parmi ceux-ci, une école supérieure du professorat et de l'éducation ESPE, le Conservatoire national des arts et métiers CNAM, l'école du génie EG, l'Institut des métiers du notariat IMN, l’École supérieure d’optique de l’Ouest ESOO, l’École technique supérieure de chimie de l’Ouest ETSCO, l'école de sages-femmes René-Rouchy, l'École supérieure angevine en informatique et productique ESAIP, l'École supérieure des Pays de la Loire ESPL, l'Institut de comptabilité et de gestion des Pays de la Loire ICOGES et un institut de formation en soins infirmiers IFSI[167]. La ville comprend également plusieurs écoles à vocation artistique, comme l’École supérieure d'art et de design TALM-Angers[168] et le conservatoire à rayonnement régional d'Angers[A 43]. La commune accueille, de 1972 à 1978, le premier Centre chorégraphique et lyrique national, autour du Ballet Théâtre Contemporain BTC et du Théâtre musical d’Angers TMA. Le BTC ouvre la voie à l'actuel Centre national de danse contemporaine CNDC créé en juin 1978 avec le New-Yorkais Alwin Nikolais, figure importante de la danse moderne[H 15]. ÉSA. ESSCA. Santé L’activité hospitalière remonte à Angers au XIIe siècle lorsqu’Étienne de Marsai, sénéchal d’Henri II Plantagenêt fonde l’hôpital Saint-Jean. Un autre hôpital ouvre en 1615 pour les mendiants, les vagabonds et les personnes âgées alors qu’en 1745, dans l’actuel parc du Haras, est ouvert un troisième lieu d’accueil des malades. Ces trois structures seront transférées vers l’actuel site du centre hospitalier universitaire à partir de 1849[169]. Le rôle de formation médicale du centre hospitalier universitaire d'Angers est très important. Il comprend en effet, outre la faculté de médecine un institut de formation en soins infirmiers, un institut de formation d’aides-soignants, une école de puériculture, une école de sages-femmes, un institut de formation des cadres de santé, un institut de formation ambulancier et un centre d'enseignement de soins d’urgence[170]. La ville compte également quatre cliniques la clinique de l’Anjou dans le quartier Orgemont, la clinique Saint-Sauveur dans le quartier de l’Esvière et à Trélazé, le centre de la main et le village santé Angers Loire issu du regroupement de plusieurs cliniques angevines[A 44]. Il existe également un centre régional de lutte contre le cancer le centre Paul Papin[A 45]. Population et société Démographie Évolution démographique L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[171],[Note 7] En 2019, la commune comptait 155 850 habitants[Note 8], en augmentation de 3,81 % par rapport à 2013 Maine-et-Loire +2,26 %, France hors Mayotte +2,17 %. Évolution de la population [ modifier ] 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 33 90033 00029 18729 87332 74335 90139 88444 78146 599 Évolution de la population [ modifier ], suite 1 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 50 72651 79754 79158 46456 84668 04973 04472 66977 164 Évolution de la population [ modifier ], suite 2 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 82 39882 93583 78686 15886 26085 60287 98894 408102 142 Évolution de la population [ modifier ], suite 3 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 115 252128 533137 591136 038141 404151 279152 337148 803151 229 Évolution de la population [ modifier ], suite 4 2019 - - - - - - - - 155 850- Histogramme de l'évolution démographique Angers intra-muros est en 2016 la troisième commune la plus peuplée du Grand Ouest[Note 5] après Nantes et Rennes, la deuxième de la région Pays de la Loire après Nantes et la dix-huitième commune la plus peuplée de France. Angers est en 2016 au centre d'une aire urbaine peuplée de 419 633 habitants[I 1], d'une unité urbaine de 226 322 habitants[I 1] et d’une intercommunalité, Angers Loire Métropole, comprenant 29 communes et 293 701 habitants[I 2]. Pyramide des âges et répartition par sexe La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 45,9 %[Insee 5], soit très largement au-dessus de la moyenne nationale 35,5 %[I 3] ou départementale 37,2 %[I 4]. À l'inverse, le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans 22,4 %[Insee 5] est inférieur au taux national 25,9 %[I 3] et au taux départemental 25,6 %[I 4]. À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux 53,8 % en 2018[Insee 6] est supérieur de plus de deux points au taux national 51,6 %[I 3]. Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[Insee 6]HommesClasse d’âgeFemmes1,0 90 ou + 2,4 5,8 75-89 ans 9,2 11,9 60-74 ans 13,9 15,0 45-59 ans 15,1 18,0 30-44 ans 15,6 31,0 15-29 ans 29,7 17,2 0-14 ans 14,2 Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2018 en pourcentage[173]HommesClasse d’âgeFemmes0,8 90 ou + 2 6,9 75-89 ans 9,5 15,5 60-74 ans 16,3 19,4 45-59 ans 18,8 18,6 30-44 ans 17,7 18,6 15-29 ans 17,5 20,2 0-14 ans 18,2 Manifestations culturelles et festivités Angers accueille chaque année plusieurs festivals et compagnies culturelles, dans des domaines aussi variés que le théâtre, le cinéma, la littérature, la bande dessinée ou les arts du cirque. Scène théâtrale Le festival d'Anjou est le deuxième festival de théâtre de France après celui d’Avignon. Après la Seconde Guerre mondiale, la décentralisation culturelle nécessita la création de plusieurs théâtres et centres nationaux en région. En 1953, Albert Camus devient directeur du festival et celui-ci acquiert une audience nationale. Le festival accueille en moyenne 23 000 spectateurs chaque été[174]. Organisé par la ville d'Angers, le festival des Accroche-Cœurs s’articule autour de spectacles de théâtre de rue et de festivités artistiques et culturelles en plein air. Créée en 1999, cette manifestation propose chaque année un thème autour duquel se déclinent une partie des représentations et la décoration urbaine tout en encourageant les spectateurs à se déguiser. Les thèmes retenus sont variés Angers-sur-Mer en 2002, La vie en rose en 2006 ou Anges et démons en 2009. Le festival accueille en moyenne plus de 200 000 spectateurs, environ 220 000 en 2015[175]. En dehors de ces événements limités dans le temps, le théâtre angevin comprend le centre dramatique national des Pays de la Loire Nouveau théâtre d'Angers, NTA mais aussi de nombreuses plus petites troupes parmi lesquelles la compagnie des Arthurs ou la compagnie GAÏA d’improvisation théâtrale[A 46]. Le Nouveau théâtre d'Angers NTA est fondé en 1986 par l’association du Centre Dramatique national dirigé par Claude Yersin et de la Maison de la Culture[176]. Le premier est chargé de la création théâtrale, la seconde de la programmation pluridisciplinaire théâtre, danse, musiques improvisées, arts plastiques. Scène musicale La scène musicale angevine s’appuie sur le dynamisme du Chabada, la principale salle de concert de la ville. Historiquement, la scène rock a profité de la popularité du groupe Les Thugs[177] dans les années 1980 et 1990. Plus récemment, plusieurs groupes aux influences variées ont connu le succès en dehors des frontières locales. Il en va ainsi de La Ruda[AM 10] ou Pony Pony Run Run[178] rock, Zenzile[177] dub, La Phaze[179] drum’n bass, Nouvel’R[AM 11] hip-hop ou encore Lo'jo et Titi Robin world music[177]. Par ailleurs, Angers héberge de nombreux orchestres symphoniques ou d'harmonie, notamment Angers-Nantes Opéra ou l’orchestre national des Pays de la Loire ONPL, créé en 1971 et composé d’une centaine de musiciens encadrés par John Axelrod[A 46]. Autres festivals et scènes culturelles Le festival Premiers Plans est un festival de cinéma créé en 1989 qui a la particularité de ne présenter que des jeunes réalisateurs européens une centaine chaque année. De nombreux cinéastes y ont été découverts, parmi lesquels Fatih Akın, Arnaud Desplechin ou Nick Park. Le festival organise également des rétrospectives, des lectures publiques de scénarios et des leçons de cinéma. Jérôme Clément est président du festival et Jeanne Moreau en a longtemps été sa marraine. En 2014, le festival a présenté 255 films dont 92 premières œuvres, de 24 pays européens, et accueilli 800 professionnels et 73 000 spectateurs[180]. Angers et sa région compte plusieurs auteurs éminents du 9e art, parmi lesquels Étienne Davodeau Rural ! ; Les Ignorants ; Pascal Rabaté Ibicus, Alph'art du meilleur album ; Les Petits Ruisseaux ou encore Marc-Antoine Mathieu créateur de la série Julius Corentin Acquefacques[177]. Créé en 1999, le festival Angers-BD accueille le temps d’un week-end de nombreux auteurs du 9e art. Il s’agit du premier festival de bande dessinée des Pays de la Loire en nombre d’entrées payantes. Il propose notamment le Prix Première Bulle récompensant un auteur pour sa première œuvre[181]. Calendrier des manifestations culturelles janvier Festival Premiers Plans. février Festival Cirque[S]. avril Festival Cinémas d’Afrique bisannuel. printemps Salon ImaJn'ère salon littéraire et graphique autour du roman policier et de science-fiction. mai Gypsy Swing Festival bisannuel festival accueillant les meilleures formations musicales roms, gitanes et manouches. juin - juillet Festival d'Anjou. juillet - août Festival Tempo Rives festival gratuit de musiques actuelles. septembre Accroche-Cœurs. septembre Festival Levitation festival musical mêlant rock, pop psyché, garage rock et musiques électronique et instrumentale. Il s'inscrit dans le cadre du Austin Psych Fest et du festival South by Southwest. décembre Festival Angers-BD. Musées Le musée des beaux-arts d'Angers, hébergé dans le logis Barrault, propose deux parcours muséographiques le premier sur l’histoire de la ville, le second sur les beaux-arts[A 47]. Située dans l’ancienne église abbatiale de l’abbaye Toussaint, la galerie David d'Angers présente une part importante de l’œuvre de Pierre-Jean David, dit David d’Angers. La collection se compose notamment de la quasi-totalité des modèles d’atelier en plâtre du sculpteur, de 23 statues monumentales exposées dans la nef représentations de Jean Bart, Gutenberg, etc., de la maquette du fronton du Panthéon, de statuettes et dessins préparatoires, etc[A 48]. Située au cœur du château, la galerie de l’Apocalypse expose la tenture de l'Apocalypse. Commandée par Louis Ier, duc d’Anjou, à la fin du XIVe siècle, elle retrace l’Apocalypse selon saint Jean mais illustre également le contexte sociopolitique de la France pendant la Guerre de Cent Ans. Son ancienneté et ses dimensions 106 m conservés sur plus de 140 m à l’origine en font un témoignage rare de l’art médiéval[A 49]. Le musée Jean-Lurçat et de la tapisserie contemporaine est double. D’une part, l’ancienne salle des malades de l’hôpital Saint-Jean expose le Chant du monde », chef-d’œuvre du peintre et lissier Jean Lurçat. Réalisé à partir de 1957, le Chant du Monde » est une suite de dix tapisseries monumentales sur la destinée humaine, tout en étant un hommage à la Tapisserie de l’Apocalypse[A 50]. D’autre part, le musée de la Tapisserie contemporaine expose de nombreuses réalisations textiles et picturales de lissiers du XXe siècle[A 51]. La ville compte également le muséum des sciences naturelles d’Angers[A 52] et depuis 2009 le musée du Génie militaire vise à présenter l’histoire et le patrimoine de cette arme[182]. Musées d'Angers La Tapisserie de l'Apocalypse. Le Chant du Monde ». La Galerie David d'Angers. Cliquez sur une vignette pour l’agrandir. Bibliothèques et organismes de prêt La médiathèque Toussaint est la principale bibliothèque de la ville. Elle conserve près de 250 000 documents patrimoniaux[A 53] dont un psautier carolingien du milieu du IXe siècle[A 54]. Elle possède également 117 incunables, dont un exemplaire du Psautier de Mayence. Cet ouvrage, dont il ne reste que dix exemplaires dans le monde, est le premier livre imprimé après la Bible de Gutenberg, le 14 août 1457. Il se caractérise par son impression en trois couleurs — bleu, rouge et noir —, prouesse technique ignorée de Gutenberg et des imprimeurs qui se répandent en Europe à partir de 1460[A 55]. La bibliothèque municipale d'Angers gère également depuis 1997 le dépôt légal des imprimeurs des Pays de la Loire. Celle-ci étant la plus importante région d’imprimerie de France, la collection augmente de 200 m à 250 m linéaires par an[A 56]. Huit autres bibliothèques de quartier sont réparties sur le territoire communal aux côtés des six bibliothèques universitaires ouvertes au grand public[A 57]. Les archives départementales de Maine-et-Loire sont également installées sur la commune[183]. La ville possède également cinq ludothèques mettant gratuitement à disposition des habitants jeux et jouets[A 58] et une artothèque comprenant plus d’un millier d’œuvres de 400 artistes différents[184]. Centres culturels La ville d’Angers accueille une bibliothèque anglophone regroupant près de 28 000 ouvrages[A 57]. Elle propose en outre de nombreuses activités parmi lesquelles des ateliers de pratique linguistique ou des clubs de lecture et cinéma[185]. De même, l’institut Confucius des Pays de la Loire propose des cours de mandarin, de calligraphie ou de peinture, organise des conférences, des projections cinématographiques ou des expositions tout en possédant une bibliothèque de 1 500 ouvrages[186]. Théâtres et salles de spectacles Le théâtre du Quai est le plus important équipement culturel de la ville. Il accueille depuis 2007 de nombreuses manifestations culturelles, notamment dans le domaine des arts vivants théâtre, danse, cirque, musique, etc.. Il héberge le Centre national de danse contemporaine CNDC et le Centre dramatique national des Pays de la Loire nouveau théâtre d'Angers, NTA. Ses deux salles peuvent accueillir 400 ou 975 spectateurs[187]. D'autres théâtres et salles de spectacles enrichissent l'offre culturelle le Grand théâtre à l'italienne qui accueille notamment des représentations du Angers-Nantes Opéra, du Théâtre régional des Pays de la Loire ou encore des concerts de musique classique ; les théâtres de Chanzy, du Champ de Bataille[A 59] ou de La Comédie, théâtre de la compagnie des Arthurs[A 46]. Salles de concerts et équipements musicaux Plusieurs salles de concerts coexistent à Angers, chacune ayant ses propres orientations musicales[A 59] le Chabada, salle de concert dédiée aux musiques actuelles ; l'auditorium du centre des congrès qui accueille notamment les concerts de l’orchestre national des Pays de la Loire ONPL ; la salle Amphitea du parc des expositions d'Angers héberge les concerts les plus importants de l’agglomération ; la chapelle des Ursulines est utilisée dans le cadre de concerts de musique baroque. Créée en 1973 à l’occasion du Festival d'automne de Paris, la Galerie Sonore est itinérante avant de s'installer en 1980 à Angers au château du Pin. Riche d’une collection de plus de deux mille instruments du monde entier, elle propose tant la découverte des patrimoines musicaux de chaque région que des activités de création musicale. À ses côtés, l'association Musique et Mouvement propose depuis 1988 un enseignement musical fondé sur le plaisir et non sur la performance, accessible aux jeunes enfants[A 60]. Cinémas Depuis la fermeture du cinéma Gaumont Variétés en 2013, Angers ne compte plus que deux cinémas[AM 12]. Dans le quartier Saint-Serge se trouve tout d’abord un cinéma Gaumont multiplexe de douze salles et 2 250 places. Un cinéma d'art et essai de sept salles 801 places, Les 400 Coups », propose quant à lui une programmation éclectique de films en version originale, des rétrospectives, des films jeune public ainsi que des rencontres avec les réalisateurs, notamment lors du festival Premiers Plans[189]. Sports La ville compte près de 36 000 licenciés et plus de 150 clubs[A 61] dans une grande variété de disciplines sports de combat aïkido, Ju-jitsu, Vovinam Viet Vo Dao, kung fu, boxe anglaise ou encore savate, cyclisme, équitation, football américain, escrime, haltérophilie, hockey sur gazon et sur glace, parapente, water-polo, etc. À proximité de la ville se trouve un golf et un aérodrome pour la pratique du vol à voile par exemple[190]. Le sport traditionnel angevin demeure la boule de fort, jeu de boule traditionnel du Val de Loire. Malgré la désaffection qu'il subit depuis le début du XXe siècle, il reste néanmoins pratiqué dans la ville dans l'un des boulodromes ou cercles existants[CP 14]. La ville organise plusieurs compétitions sportives. En premier lieu, chaque année se déroule l’événement Tout Angers bouge » visant à favoriser la pratique sportive. Plusieurs épreuves pour amateurs sont au programme course de fond de 38 km, trails de 8 à 20 km, marche nordique de 14 km, courses de jeunes, etc., le tout en grande partie dans le centre historique d’Angers[A 62]. De même, sont organisés chaque année la descente de la Maine en nage libre distances de 1 à 5 km[191], le triathlon d’Angers[192] et chaque 11 novembre le cross du Courrier de l’Ouest à Pignerolle, commune de Saint-Barthélemy-d’Anjou[193]. Infrastructures sportives Angers propose de nombreux équipements sportifs. La ville compte ainsi cinq piscines dont la piscine Jean Bouin qui dispose d'un bassin de 50 m et de 3 plongeoirs de 1 m, 3 m, 5 m, ainsi que la piscine AquaVita qui intègre un bassin nordique, deux patinoires la patinoire du Haras de 770 places et Angers IceParc pouvant accueillir de 3520 — en configuration match de hockey — à 5000 spectateurs et dont l'ouverture est prévue en septembre 2019[A 63], 42 terrains de football dont le stade Raymond-Kopa d’une capacité de plus de 18 000 places, un skatepark, 8 boulodromes, un centre de tir sportif jusqu’à 50 m, un vélodrome, un centre régional de judo, un centre régional de canoë-kayak, une base d’aviron ou encore un plan d’eau de 90 ha avec équipement de kayak, terrains de sports de plage, terrain de bosses pour VTT et esplanade de char à voile[A 64]. La commune voisine de Trélazé possède quant à elle depuis 2013 un important complexe omnisport, l'Arena Loire[AM 13]. Clubs professionnels Clubs sportifs professionnels à Angers Équipe Sport Fondé en Ligue saison 2018-2019 Stade Angers SCO Football 1919 Ligue 1 première division[194] Stade Raymond-Kopa Angers SCO Handball Handball 1988 Nationale 1 troisième division[195] Salle Jean Bouin UFAB 49 Basket-ball 2004 LFB première division Salle Jean Bouin Étoile Angers Basket Basket-ball 1982 NM1 troisième division Salle Jean Bouin Ducs d'Angers Hockey sur glace 1982 Ligue Magnus première division[196] Angers IceParc Les Loups d'Angers Tennis de table 1973 Pro A première division[197] Salle Jean-Moulin Hawks Angers Rollers Roller hockey 1996 Ligue Élite première division[198] Salle Claude-Debussy Médias Télévisions Angers possède une chaîne de télévision locale, viàAngers[199]. Elle commence à émettre le 21 février 2013 sous le nom d'Angers Télé[AM 14]. C'est en décembre 1988 qu'Angers se dote d'une chaîne câblée TV10 Angers qui diffusera jusqu'en juin 2007, date à laquelle elle est remplacée par Angers 7[200]. Celle-ci arrête sa diffusion en mai 2010 à la suite de difficultés financières[201]. La chaîne France 3 émet un décrochage local qui propose les journaux télévisés de France 3 Pays de la Loire[202]. France 3 possède également une agence à Angers[203]. Radios Trois radios émettent localement à Angers, et des radios régionales ou nationales y font des décrochages locaux. Toutes émettent en modulation de fréquence. Radio G ! 101,5 MHz est la plus ancienne des radios locales encore en activité. Créée dès 1981 sous le nom de Radio Gribouille, cette radio associative est entièrement animée par des bénévoles[204]. Radio Campus Angers 103,0 MHz a été créée par les étudiants de l'université d'Angers. Elle existe depuis 2003 et est diffusée en FM depuis 2007. Ses locaux se trouvent sur le campus de l'université catholique de l'Ouest[205]. RCF Anjou 88,1 MHz est la radio locale chrétienne du Diocèse d'Angers[206]. Les radios régionales diffusant des programmes locaux sont Alouette 99,1 MHz, France Bleu Loire Océan 88,5 MHz depuis 2013[207], Hit West 100,9 MHz, Ouest FM programme Forum 98,7 MHz, qui diffuse le programme de Forum depuis 2012[208], et Vibration 102,1 MHz. Les radios nationales diffusant des programmes locaux sont Chérie FM Angers 105,1 MHz[209], NRJ 98,0 MHz, Radio Nova 89,6 MHz depuis 1998[210], et Virgin Radio 94,8 MHz[211]. Presse écrite La presse écrite locale est principalement dominée par le groupe Ouest-France et ses éditions Ouest-France et Le Courrier de l'Ouest dont Angers est le siège[212]. Des journaux locaux dont la diffusion est plus modeste sont également publiés dont Angers Mag, le magazine mensuel papier édité par le site internet d'informations du même nom et distribué sur l'ensemble de l'agglomération[AM 15]. La mairie d'Angers édite depuis avril 1977 le journal municipal Vivre à Angers[A 65]. Mensuel, il publie des informations sur l'avancement des projets urbains, l'économie locale, les activités sportives, culturelles et festives ainsi que les échanges avec les villes étrangères jumelées à Angers. La revue donne une place importante aux reportages à travers les quartiers. La communauté d'agglomération d'Angers Loire Métropole publie Métropole, un journal d’information trimestriel et gratuit, édité à 130 000 exemplaires[CC 8]. Cultes Les Angevins disposent en 2015 de lieux de culte chrétien, bouddhique, israélite et musulman. Christianisme Le temple protestant. La grande majorité des lieux de culte d'Angers sont liés au culte catholique comme l'atteste la présence de la cathédrale Saint-Maurice qui domine la ville depuis le XIIe siècle[IN 11]. L'évêché, siège du diocèse d'Angers, se trouve à proximité, rue du Parvis-Saint-Maurice[213] ; la commune est structurée en trois doyennés et dix paroisses, chacune centrée sur une ou plusieurs églises[214]. Angers accueille en outre 21 communautés religieuses seize communautés de femmes et cinq d'hommes[215]. Parmi celles-ci, la congrégation du Bon Pasteur créée à Angers en 1835 ou le couvent des Servantes des pauvres, ordre d'oblates créé en 1872 et dont le couvent d'Angers est la maison-mère[CP 15]. Elles ont également à leur charge le Saint-Sépulcre d'Angers[216], une des trois répliques — qui est un mémorial et non une église puisque ce monument n'est pas consacré[217] — du Saint-Sépulcre de Jérusalem . La paroisse orthodoxe de l’Annonciation dispose d'un lieu de culte, la chapelle de la Brisepotière. Elle dépend de l'archevêché des églises orthodoxes russes en Europe occidentale[218],[219]. La communauté orthodoxe Saint-Dimitri-de-Paris, rattachée au vicariat de tradition russe auprès de la métropole orthodoxe grecque de France[220], dispose également d'un lieu de culte, le prieuré Saint-Augustin[221]. D'autre part, la métropole orthodoxe roumaine d'Europe occidentale et méridionale dispose d'une mission à Angers[222]. Plusieurs communautés protestantes disposent de lieux de culte dans la commune le temple protestant d'Angers de l'Église protestante unie de France, rue du Musée[223] ; les temples de l'Église évangélique, rue de Bretagne et avenue des Hauts de Saint-Aubin[224],[225] ; le temple de l'Église protestante baptiste, rue du Colombier, où le culte arménien est également célébré[226] ; le temple de l'Église adventiste du septième jour, avenue Turpin de Crissée[A 66]. Les Églises millénaristes américaines possèdent deux lieux de culte l'Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours, rue de Létanduère les Mormons[A 67] ; la salle du royaume des Témoins de Jéhovah, rue du Maine[227]. Autres cultes Le culte bouddhiste est présent via un dojo Zen dans le quartier Monplaisir. Il est affilié à l'association Zen Internationale, fondée par Taisen Deshimaru[228]. Un centre d'étude et de méditation KTT, placé sous l'autorité spirituelle de la congrégation Dharma Chakra, est situé près de la Doutre. Il est affilié au Dhagpo Kagyu Ling basé en Dordogne[229]. Enfin, un Sangha, rattaché au Village des pruniers fondé par Thích Nhất Hạnh, est également actif sur la commune. La communauté musulmane pratiquante est estimée à 7 000 personnes principalement d’origine marocaine[231]. Elle dispose de trois lieux de cultes la mosquée Abou Bakr Sidik ; la mosquée turque Aksemseddin ; et la salle de prière de la Roseraie. La mosquée turque dispose également d’un centre culturel[AM 16]. Une mosquée est en cours de construction. Financée par l’association des musulmans d’Angers, elle devrait ouvrir à l’horizon 2017 boulevard Lucie-et-Raymond-Aubrac, dans le quartier des Hauts-de-Saint-Aubin. Elle pourra accueillir environ 2 400 fidèles et devrait disposer, à plus long terme, d’un centre culturel[231]. Administrée par le consistoire central israélite de France, la communauté israélite dispose de la Synagogue d'Angers, rue Gay Lussac, située dans l'ancienne église Saint-Laurent[232]. Cimetières La commune compte trois cimetières le cimetière de l’Est rue Larevellière, le cimetière Saint-Léonard rue Saint-Léonard et le cimetière de l’Ouest rue de la Meignanne[A 68]. Le cimetière de l’Est, d’une superficie de treize hectares, est parfois désigné comme le Père-Lachaise angevin » compte tenu des nombreuses personnalités locales qui y sont inhumées, ainsi que des tombes remarquables que l’on y trouve. Ouvert en 1847, le cimetière est agencé autour de huit rectangles entrelacés d’allées sinueuses. La tombe du premier inhumé, un meunier du nom de René Bougère, est toujours présente. Les grands noms de l’histoire locale que l’on rencontre sont notamment la famille Cointreau, Rémy Mondain l’un des créateurs du premier grand magasin d’Angers, le peintre Jules Lenepveu à qui l’on doit notamment les plafonds de l’Opéra Garnier et du Grand théâtre d'Angers, l’horticulteur André Leroy, l’industriel Julien Bessonneau ou encore plusieurs maires de la ville. D’un point de vue artistique, plusieurs tombes sont remarquables, qu’elles soient de style Art nouveau tombe de Jean Clamens, maître verrier, néo-Renaissance chapelle Laurent, d’inspiration médiévale gisant de Grégoire-René Lecoindre, curé de Saint-Laud, en mosaïque caveau des De Guisti, mosaïstes ou réalisée par David d’Angers figure de la religion sur la tombe d’Anselme-François Papiau de La Verrie, maire. D’autres tombes sont intéressantes celle de Pierre-Théophile Berton ornée d’un moulin à vent lui-même a inventé un système d’ailes de moulins ou celle de la famille de Saint-Pern en forme de calvaire breton, en granit[A 69]. Vie militaire Insigne du 6e régiment du génie. En 2015, la ville accueille le 6e régiment du génie et l’école du génie, tous deux depuis leur création en 1894. Angers est depuis longtemps une ville de garnison, en tant qu’ancienne place forte militaire. En 1873, est créé le 135e régiment d’infanterie dissous en 1928 et en 1878 le 2e régiment d’artillerie-pontonniers. Celui-ci est remplacé dès 1894 par deux nouveaux régiments dont l’un, le 6e, s’installe à Angers. En 1946, il prend place au sein de la caserne Verneau. Par ailleurs, la cathédrale et le château d’Angers figurent sur l’insigne du 6e régiment du génie[H 16]. En 1894, est également créée l’école du génie. Son rôle est d’apprendre aux recrues terrassements, maniement d’explosifs ou encore construction de ponts de bateaux. Angers est choisie notamment pour sa proximité avec les écoles de Coëtquidan, de Saumur arme blindée et Tours train ainsi que par la présence de deux écoles » de ponts au débit différent, la Maine et la Loire. Elle possède également depuis 1974 une annexe en bord de Maine caserne Berthezène[233]. En 2011, est créé sur la commune voisine de Montreuil-Juigné le pôle interarmées MUNEX dont le rôle est de neutraliser, enlever et détruire les engins explosifs. Il se trouve sous le commandement hiérarchique de l’école du génie[234]. Le musée du génie à proximité de la caserne Éblé, qui accueille l’école, s’est ouvert le 14 juillet 2009[AM 17]. Économie La seconde moitié du XXe siècle voit les activités traditionnelles reculer horticulture, extraction d’ardoise, distillerie et industrie textile et de nouvelles entreprises s’installer Thyssen en 1948, Thomson en 1957, Bull en 1961 puis Scania en 1991 et Nec en 1994[A 26]. Cependant, la filière industrielle s’effondre en grande partie à partir des années 2000 fermeture de l’usine Thomson-Technicolor en 2012[235], de l’usine Nec entre 2009[236] et 2013[237], plan social chez Thyssen en 2015[AM 18], Bull ne compte plus que 230 salariés contre 3 000 au cours des années 1970[238] – plus généralement, de 2002 à 2012, le secteur de la fabrication de produits informatiques, électroniques et optiques dans l’agglomération a perdu 76 % de ses emplois[239]. Angers se spécialise dorénavant d’une part dans la filière végétale et d’autre part dans l’électronique. L'importance de l'horticulture s’est ainsi renforcée jusqu'à faire d'Angers le premier pôle horticole d’Europe[82]. En effet, le territoire compte dans ce domaine près de 30 000 emplois, 2 500 étudiants et 4 000 entreprises. La ville accueille en outre un pôle de compétitivité à vocation mondiale spécialisé dans le végétal – Végépolys – regroupant 450 chercheurs[83]. Celui-ci s'appuie d'une part sur le haut niveau de formation et d'études supérieures dispensé à Angers et d'autre part sur la forte concentration de laboratoires de recherche. On y rencontre ainsi plusieurs écoles spécialisées notamment l'École supérieure d'agriculture ESA et Agrocampus Ouest, des laboratoires du CNRS, l’INRA mais aussi la Station nationale d'essais de semences ou encore Plantes&Cité le centre technique national sur les espaces verts et le paysage urbain. Le Campus du Végétal, à Belle-Beille, regroupe depuis 2015 d’une part la Maison de la Recherche et ses 250 ingénieurs et chercheurs de l'université d'Angers, d'Agrocampus Ouest, de l'INRA et de l'ESA et d’autre part la Maison du Végétal regroupant Végépolys et Plantes&Cité[AM 19]. Angers abrite le siège de l'Office communautaire des variétés végétales dont le rôle est de protéger les nouvelles variétés végétales au sein de l'Union européenne[A 26]. Malgré la déliquescence de l’industrie électronique grand public angevine depuis les années 2000, la ville se spécialise également dans l’électronique de pointe. Outre la présence de l’usine Bull et de l'École supérieure d'électronique de l'Ouest ESEO, la ville accueille depuis juin 2015 la Cité de l'objet connecté »[240]. Celle-ci propose sur son site de Saint-Sylvain-d'Anjou, au nord de la ville, des compétences en électronique, logiciel, plasturgie, mécanique, design, financement, etc[241]. Cette société s’appuie sur un important réseau de PME spécialisées installées sur le territoire angevin. Ainsi, le 24 juin 2015, la ville s'est vue décerner le label French Tech dans le sillage de l’inauguration de la Cité de l’objet connecté[CC 9]. Revenus de la population et fiscalité En 2012, le revenu disponible médian par unité de consommation UC est de 18 372 € et 59,3 % des ménages fiscaux sont imposés[Insee 7]. À titre de comparaison, le revenu disponible médian en France métropolitaine est en 2012 de 19 786 € et 64 % des ménages fiscaux sont imposés. Les revenus de la population d’Angers sont ainsi plus faibles que la moyenne nationale[I 5]. Les disparités de revenus sont mesurées et très légèrement plus importantes que la moyenne nationale le rapport interdécile entre les 10 % de revenus disponibles les plus élevés 35 520 € par UC et les 10 % de revenus disponibles les plus faibles 9 560 € par UC atteint 3,7[Insee 7] contre 3,5 pour l'ensemble de la France métropolitaine[I 6]. En 2013, la ville compte 574 contribuables redevables à l’Impôt de solidarité sur la fortune ISF pour un patrimoine moyen de 2 371 760 € ; parmi les communes de plus de 20 000 habitants comptant au moins 50 contribuables redevables à l’ISF, Angers se classe 179e sur 367[242]. Le salaire net horaire moyen est en 2012 de 12,5 €, inégalement réparti entre hommes 13,3 € et femmes 11,4 €[Insee 8]. Emploi En 2012, la population âgée de 15 à 64 ans s’élève à 102 635 personnes, parmi lesquelles on compte 66,6 % d’actifs, 54,3 % ayant un emploi et 12,3 % étant au chômage[Insee 9]. À titre de comparaison, la France métropolitaine compte 73 % d’actifs, 63,7 % ayant un emploi et 9,3 % étant au chômage[I 7]. On y compte 81 534 emplois, contre 83 250 en 2007. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 56 111, l'indicateur de concentration d'emploi est de 145,3 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre près de trois emplois pour deux habitants actifs[Insee 10]. Selon la catégorie socioprofessionnelle, les ouvriers sont nettement moins nombreux que les employés, ces derniers et les professions intermédiaires représentant près de 63 % des emplois[Insee 11]. À titre de comparaison, les professions intermédiaires et les employés représentent 53,7 % des emplois au niveau national, les ouvriers 21,1 %[I 7]. Emplois par catégorie socioprofessionnelle en 2012[Insee 11] Catégorie socioprofessionnelle 2012 Agriculteurs exploitants 0,1 % Artisans, commerçants, chefs d’entreprise 3,9 % Cadres et professions intellectuelles supérieures 19,6 % Professions intermédiaires 30,2 % Employés 33,0 % Ouvriers 13,2 % Selon le secteur d’activité, les emplois industriels sont peu nombreux et en nette régression de 2007 à 2012, à la différence des emplois tertiaires et administratifs Angers étant préfecture et chef-lieu de département 90,7 % des emplois totaux[Insee 12]. Emplois selon le secteur d’activité en %[Insee 12] Secteur d'activité 2012 2007 Commerce, transports et service divers 46,9 % 47,4 % Administration publique, enseignement, santé et action sociale 43,8 % 40,8 % Construction 3,5 % 3,8 % Industrie 5,5 % 7,3 % Agriculture 0,3 % 0,7 % 55,5 % des emplois sont occupés par des femmes[Insee 12], contre 48 % au niveau national[I 7] et 50,1 % au niveau de l’agglomération[I 2]. À l’échelle de cette dernière, la population âgée de 15 à 64 ans s’élève à 178 937 personnes, parmi lesquelles on compte 69,7 % d’actifs, 59,5 % ayant un emploi et 10,2 % étant au chômage. La part des actifs y compris occupés y est donc plus importante qu’à l’échelle de la seule ville d’Angers. On y compte 133 608 emplois en 2012[I 8]. Entreprises et commerces Au 31 décembre 2012, Angers compte 12 772 établissements 53 dans l’agriculture, 473 dans l'industrie, 624 dans la construction, 9 145 dans le secteur tertiaire et 2 477 dans le secteur administratif. Le secteur tertiaire représente ainsi 71,6 % des établissements de la commune. Par ailleurs, 66,4 % de ces établissements ne comptent aucun salarié ; 26 % de 1 à 9 salariés et 7,6 % plus de 10 salariés dont 1,7 % plus de 50 salariés[Insee 13]. En 2013, 1 086 entreprises ont été créées à Angers[Insee 14], à 76,4 % des entreprises individuelles[Insee 15]. Répartition des établissements actifs par secteur au 31 décembre 2012 Secteur Angers[Insee 13] France[I 9] Commerce, transports et service divers 71,6 % 61,9 % Administration publique, enseignement, santé et action sociale 19,4 % 12,6 % Construction 4,9 % 9,7 % Industrie 3,7 % 5,1 % Agriculture 0,4 % 10,6 % Tourisme En 2014, l'agglomération angevine a connu 602 000 nuitées clientèle d’affaires à 66 % et accueilli, sur 17 sites touristiques dont 8 sur Angers[Note 9], 699 339 visiteurs[243]. En 2015, la commune elle-même compte 31 hôtels et résidences pour près de 3 000 lits et un camping de 163 emplacements[Insee 16]. Le parc à thème dédié au végétal Terra Botanica, inauguré en 2010, se veut la locomotive touristique d'Angers et sa région[AM 20]. Culture locale et patrimoine Lieux et monuments La cathédrale Saint-Maurice. Angers compte 2 892 lieux et monuments inscrits à l’inventaire général du patrimoine culturel[IN 12] et 100 monuments répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[IN 13]. La ville est par ailleurs labellisée Ville d’Art et d’Histoire[244]. Les nombreux travaux d'urbanisme entrepris au XIXe siècle ont profondément transformé la ville et détruit de nombreux édifices anciens, médiévaux pour une part, comme le raconte en 1910 le chanoine Urseau Angers a bien changé d’aspect depuis cinquante ans. La ville a perdu une partie de sa grâce pittoresque. Ils ont disparu en effet presque tous ces logis en colombage, bariolés de vives couleurs, ces boutiques abritées par des auvents sculptés, ces vieilles maisons à oriels de pierre, à pignons pointus » — Charles-Théodore Urseau[CP 16] Le centre-ville voit se concentrer la majorité des monuments médiévaux et des hôtels particuliers, érigés de la Renaissance au XIXe siècle, même si le quartier de La Doutre en rive droite est riche en constructions médiévales. Le centre-ville comprend cependant une majorité d’édifices du XIXe siècle, notamment des immeubles de rapport, parfois de style haussmannien. L’architecture des faubourgs urbanisés notamment au XIXe siècle consiste principalement en maisons de ville à un étage sous combles. On trouve assez peu d’exemples de constructions présentant une architecture XXe siècle originale l’architecture récente est le plus souvent celle de zones pavillonnaires ou d’ensembles collectifs, parfois en contradiction avec l’ensemble ancien[CC 1]. La maison d'Adam. La commune compte plusieurs témoignages remarquables de l'architecture médiévale. Le palais épiscopal d’Angers ou Palais du Tau, attesté depuis le IXe siècle au chevet de la cathédrale, est un témoin de l’architecture romane. En appui du mur d’enceinte gallo-romain du IIIe siècle dont il conserve une tour, il est à rapprocher de l’archevêché de Reims dont il reprend le plan en tau. Les nombreuses modifications qui y ont été apportées en font un témoignage de huit siècles d’histoire architecturale. On y trouve en effet la salle synodale romane, la cheminée gothique de la bibliothèque, l’escalier d’honneur Renaissance ou encore un appartement d’honneur du XIXe siècle[IN 14]. L'hôpital Saint-Jean d'Angers est quant à lui un remarquable témoignage de l’architecture hospitalière. Situé dans La Doutre, sa construction remonte à 1180 environ. Il possède une salle des malades qui est un exemple majeur du gothique angevin[A 70]. Bâti au point le plus resserré de la rivière, sur un promontoire de schiste, le château d'Angers voit sa construction débuter en 1232 sous l’impulsion de Blanche de Castille, concomitamment avec l’édification d’une enceinte fortifiée actuels boulevards du centre-ville. La seule enceinte du château mesure 800 m de long, elle est composée de 17 tours d’une douzaine de mètres de diamètre[A 49] et d’une trentaine de mètres de haut[IN 15]. La maison d'Adam est probablement la plus belle des maisons médiévales à pans de bois d’Angers. Bâtie après 1491, elle possède deux façades majestueuses de dix mètres chacune sur six niveaux. Situé à proximité de la cathédrale, ce chef-d’œuvre de charpenterie tire son nom des figures d’Adam et Ève qui y sont sculptées. L’ensemble de ses décorations en font la renommée, notamment ses personnages et animaux. De nombreuses autres maisons à pans de bois furent édifiées à Angers jusqu’à la fin du XVIe siècle. Cette architecture médiévale tardive, en pleine Renaissance, est assez surprenante par ailleurs[A 71]. Architecture médiévale à Angers Le palais du Tau. Le château de nuit. Le père Tricouillard » maison d'Adam. Cliquez sur une vignette pour l’agrandir. La Première Renaissance ne fait son apparition à Angers dans l’architecture urbaine qu’au milieu du XVIe siècle. La Seconde Renaissance française quant à elle offre de rares exemples d’architecture en bois, dans un style maniériste au décor proliférant et aux figures anthropomorphes ». La maison de Simon Poisson dans la Doutre en est le plus bel exemple[A 71]. Édifié à la fin du XVe siècle dans le quartier de la Doutre, l’hôtel des Pénitentes présente un ensemble architectural hétérogène, du gothique flamboyant de la fin du XVe siècle à la Première et à la Seconde Renaissance[A 72]. Le logis Barrault est un exemple majeur de l’architecture des débuts de la Renaissance[IN 16]. Il s’agit de l’un des premiers hôtels entre cour et jardin » remarquable par la magnificence de ses façades[A 73]. Quant au logis Pincé, c'est un exemple très représentatif de la Première Renaissance. Il comprend deux corps de logis autour d’une tour d’escalier et possède de nombreuses similitudes avec le logis Barrault. L’aile droite est l’œuvre de l’architecte angevin Jean Delespine et comprend notamment une trompe d’angle conique[A 74]. Architecture Renaissance à Angers Hôtel des Pénitentes. Logis Barrault. Hôtel de Pincé. Cliquez sur une vignette pour l’agrandir. Porte d'entrée de la Maison bleue. L'architecture moderne se concentre principalement dans le centre-ville. Inauguré en 1871, le Grand théâtre, place du Ralliement, est l’édifice emblématique de la ville hausmannienne et des transformations du Second Empire et un exemple de l’éclectisme[A 75]. La commune compte peu d'édifices à l'architecture contemporaine remarquable. Toutefois, l'architecture Art nouveau est représentée par l'Alcazar, un cabaret édifié en 1902. Sa façade de tuffeau possède un décor végétal et six bustes de femmes nues encadrant la porte d’entrée et la corniche ainsi que des arabesques[IN 17]. L'architecture Art déco est quant à elle mieux représentée. La Maison bleue en est un exemple majeur. Son originalité réside dans sa conception un immeuble à gradins intégralement recouvert de mosaïques d'Isidore Odorico. Sobre et à dominante jaune au rez-de-chaussée, cette dernière monte en puissance et en bleu à mesure que s’élève l’immeuble[A 27]. Autre témoignage d’importance de cette architecture, le bâtiment de la Poste centrale possède une façade typique des années 1930 et de nombreux bas-reliefs. Ceux-ci sont consacrés aux nouveaux modes de transports et à ceux du passé ou aux monuments historiques d’Angers[IN 8]. Le bâtiment de la Compagnie française d'aviation est quant à lui un témoignage de l’architecture moderne à l’œuvre au cours des années 1930. La valeur artistique du bâtiment revient entre autres à Isidore Odorico qui conçoit notamment la mosaïque du hall d’entrée, ainsi qu’à René Guilleux qui réalise la statue du porche représentant un aviateur tenant une hélice d’avion[A 76]. En 1956, Pierre Bourineau, architecte baulois, dessine la maison du 3, rue de la Pyramide dans un style balnéaire ; cet édifice du quartier Justices est versé à l’Inventaire général du patrimoine culturel en 2004[IN 18],[A 77]. Édifiés entre 1972 et 1975, les immeubles Kalouguine présentent une architecture unique faite de formes biomorphiques[IN 19]. Architecture moderne et contemporaine à Angers Le Grand théâtre. L'Alcazar. La Maison bleue. Cliquez sur une vignette pour l’agrandir. L'architecture religieuse à Angers est essentiellement médiévale. L'église abbatiale de l’ancienne abbaye du Ronceray est une œuvre majeure de l’art roman. Sa nef du XIe siècle, parfaitement conservée, et ses chapiteaux participent à l’intérêt de l’édifice ils sont ornés de motifs végétaux, animaliers ou de scènes figuratives[A 78]. Située dans la Cité, la cathédrale Saint-Maurice est érigée au début du XIe siècle et présente une architecture intermédiaire entre roman et gothique angevin. Sa large nef, couverte de trois grandes voûtes d’ogives bombées entreprises à l’initiative de l’évêque Normand de Doué 1149-1152, préfigure l’architecture gothique angevine. La façade, qui domine la montée Saint-Maurice et la Maine, est ornée d’un portail inspiré de celui de la cathédrale de Chartres. Elle possède également une importante collection de tapisseries exposée dans l'édifice de la Saint-Jean à la Saint-Maurice[A 79]. L'église abbatiale de l'ancienne abbaye Saint-Serge est un témoignage majeur du gothique angevin, notamment son chœur[A 80]. La tour Saint-Aubin est une ancienne tour-clocher isolée, un vestige de l'abbatiale de l’ancienne abbaye Saint-Aubin[IN 20]. L'église Notre-Dame-des-Victoires est une réalisation moderne. Édifiée à partir de 1899, elle est un rare exemple à Angers d'architecture romano-byzantine ; elle se caractérise en outre par sa luminosité et son esthétique intérieures[CP 17]. Architecture religieuse à Angers Nef de la Cathédrale. Tour Saint-Aubin. Église Notre-Dame-des-Victoires. Cliquez sur une vignette pour l’agrandir. Patrimoine culturel Gastronomie La cuisine angevine est décrite par Curnonsky comme le paradis de la digestion paisible »[245] [Elle] n’offre point, sans doute, la richesse de la cuisine bourguignonne, la science raffinée de la cuisine bressane, ni la splendeur de la cuisine périgourdine ; […] elle est raisonnable, sincère, et, si l’on peut dire, bon enfant ». C’est essentiellement une cuisine paisible et mijotée, une cuisine de cordons bleus. » — Curnonsky[B 22] Une bouteille de Cointreau. Les spécialités locales concernent principalement les plats à base de poissons de rivière, comme le brochet et le sandre à l’oseille[246] ou au beurre blanc, l’alose braisée au vin blanc, la bouilleture d’anguille une matelote d’anguilles aux pruneaux ; mais aussi cul de veau piqué, fricassée de poulet à l’angevine vin blanc, crème et champignons[B 22]. Les fouées ou fouaces, petits pains cuits au four, se consomment en en-cas, sucrés ou salés. Ils sont agrémentés de rillauds dés de poitrine rissolés au four et servis tièdes, fromage, mogettes ou encore confiture[B 23]. Concernant les spécialités sucrées, il faut noter la bijane mélange de pain, de vin rouge et de sucre, souvent accompagné de fruits comme des fraises[B 23], le pâté aux prunes une tourte de pâte sablée aux reines-claudes[246] ou encore le crémet d'Anjou de la crème fraiche sucrée et mélangée à des œufs en neige[H 17]. La Doyenné du Comice est une variété de poire angevine[246]. Le Quernon d'ardoise est la confiserie locale par excellence. Créé en 1966 par La petite marquise, il s’agit d’une nougatine enrobée de chocolat blanc bleuté, en hommage aux ardoises qui ont fait la renommée de la région[B 23]. Si Angers elle-même possède des vignes, au château et à l’abbaye Saint-Nicolas[AM 21], la ville est davantage renommée pour la qualité de ses alcools le guignolet à base de cerises, la menthe-pastille de Giffard et le Cointreau, liqueur d'écorces d'oranges amères mondialement célèbre[CP 18]. Une autre spécialité, la soupe angevine », est très appréciée il s’agit d’un mélange, à la louche d’où son nom de soupe », de Crémant de Loire, de jus de citron, de sucre de canne et de Cointreau[246]. La commune est située sur l'aire géographique de 14 appellations d'origine contrôlée AOC ou protégée AOP — cabernet d'Anjou ou bœuf de race Rouge des prés — et sur l'aire géographique de 15 indications géographiques protégées IGP — cidre breton, oie d’anjou ou volaille de Loué[247]. Angers compte en 2018 deux restaurant étoilé par le Guide Michelin[248]. Personnalités liées à la commune De nombreuses personnalités ont eu un attachement particulier à la ville d’Angers, notamment celles appartenant à la liste ci-après classement par année de naissance Jean Bodin 1529-1596, jurisconsulte, économiste, philosophe et théoricien politique, est né à Angers. Pierre-Jean David d'Angers dit "David d'Angers" 1788-1856, sculpteur et graveur-médailleur, est né à Angers où se trouve exposée une part importante de ses œuvres. Maurice Sailland, dit Curnonsky 1872-1956, gastronome, humoriste et critique culinaire, est né à Angers. Hervé Bazin 1911-1996, écrivain et poète, est né et a grandi à Angers. Il a notamment décrit son enfance dans son roman Vipère au poing. Joseph Wresinski 1917-1988, fondateur du Mouvement des Droits de l'homme ATD Quart Monde est né et a grandi à Angers. Jeanne Moreau 1928-2017, actrice, chanteuse et réalisatrice, a été la marraine du festival Premiers Plans. Raymond Kopa 1931-2017, footballeur international et joueur du SCO Angers, il est revenu vivre à Angers après sa retraite sportive. Jean-Claude Brialy 1933-2007, acteur, réalisateur, scénariste et écrivain, a passé son enfance à Angers. Il a également été le directeur artistique du festival d'Anjou. Danièle Sallenave 1940-, écrivaine et membre de l'Académie française née à Angers. Roselyne Bachelot 1946-, femme politique et animatrice de télévision, a passé son enfance à Angers. Elle a également été députée de la première circonscription de Maine-et-Loire, située majoritairement sur la commune. Marc-Antoine Mathieu 1959-, dessinateur et scénariste de bande dessinée, a grandi et travaille à Angers. Pascal Rabaté 1961-, auteur de bande dessinée et réalisateur, a étudié la gravure à l'École des Beaux-Arts d'Angers où il réside. Anthony Lambert 1977-, humoriste, acteur, metteur en scène et animateur de télévision français né à Angers. Nicolas Mahut 1982-, joueur de tennis, est né à Angers. Jessica Houara-d'Hommeaux 1987-, ancienne joueuse de l'équipe de France féminine de football, consultante sportive à la télévision, est née à Angers. Héraldique, logotype et devise Les armes d’Angers se blasonnent ainsi De gueules à une clef d’argent, au chef cousu d’azur chargé de deux fleurs de lys d’or. La ville d’Angers porte les armes des comtes et ducs d’Anjou, apanagistes, de sang royal, comme l’indiquent les deux fleurs de lys. La clef évoque la place forte face à la Bretagne. Le blasonnement de la ville est décrit dans un rapport au maire en décembre 1816 où il est signalé que ces armes étaient présentes sur une ancienne monnaie frappée à Angers au coin de Charles Ier de Sicile 1246-1285. En 1499, lors de l’arrivée de Louis XII, la ville se qualifie par l’acrostiche suivant[A 81] Antique clef de France, Necteté de souffrance, Garant contre ennemys, Estappe d’asseurance, Recours de secourance, Seccurité d’amys. Angers reçoit la croix de Guerre avec palme le 27 mars 1949 par le général de Monsabert, la décoration est alors placée entre les deux fleurs de lys[A 82]. Pendant le Premier Empire, Angers fut au nombre des bonnes villes et autorisée à ce titre à demander des armoiries au nouveau pouvoir. Elles devenaient De gueules à la clef d'argent, au chef de gueules chargé de trois abeilles d'or, qui est des bonnes villes de l'Empire »[A 81]. En 1987, le logotype de la ville reprend les couleurs du blason selon l’ordre de préséance héraldique le bleu du chef en haut et le rouge du champ en bas. Le A » stylisé doit symboliser à la fois la force et la légèreté ». La ville a également eu une devise, de 1987 à 1998 Angers, la qualité »[A 83]. Pour approfondir Bibliographie document utilisé comme source pour la rédaction de cet article. Collectif, Angers, Paris, Hachette et Cie, coll. Guides Joanne », [1886-1887], 120 p. lire en ligne Célestin Port, Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, Angers, H. Siraudeau et Cie, 1965, 2e éd. 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ISBN 978-2-84768-280-9 Stéphanie Vitard-Gibiat dir., Angers musées, architectures, paysages, Editions du Patrimoine Centre des monuments nationaux, coll. Le Guide », 2013, 151 p. ISBN 978-2-7577-0268-0 Articles connexes Liste des communes de Maine-et-Loire Angers Loire Métropole Maine-et-Loire Pays de la Loire Liens externes Notices d'autorité Fichier d’autorité international virtuel International Standard Name Identifier Bibliothèque nationale de France données Système universitaire de documentation Bibliothèque du Congrès Gemeinsame Normdatei Bibliothèque nationale d’Israël Bibliothèque nationale tchèque WorldCat Ressources relatives à la géographie Insee communes Ldh/EHESS/Cassini Ressource relative à la santé Fichier national des établissements sanitaires et sociaux Ressource relative aux beaux-arts en Grove Art Online Ressource relative à la musique en MusicBrainz Ressource relative aux organisations SIREN Site de la mairie Site de l’office de tourisme d’Angers Loire Métropole Notes et références Notes ↑ Dépôt ou amas de faible épaisseur, s'amincissant sur les bords »[6]. ↑ Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres. ↑ Armand Lanoux, Le voyageur de la Loire, 1965[A 7]. ↑ Les temps de parcours indiqués ont été consultés sur le site de la SNCF le 2 avril 2015. ↑ a et b Le Grand Ouest est ici entendu par la réunion des régions Bretagne et Pays de la Loire et ancienne région Basse-Normandie. ↑ Dans un ouvrage de 1152 intitulé Description d’Angers sous les Plantagenêts. ↑ Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes. ↑ Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique 1er janvier 2019. ↑ Les sites communaux retenus sont le château, le musée des beaux-arts, le musée Jean-Lurçat et de la tapisserie contemporaine, la galerie David d'Angers, le muséum des sciences naturelles, le parc à thème Terra Botanica, le musée du Génie et la collégiale Saint-Martin. 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Retour à la liste Centre Funéraire de Kerlétu Lorient 8 mai 2017 Adresse Rue René Lote, 56100 Lorient Téléphone 02 97 37 51 52
Chère famille, chers amis,C'est avec une grande tristesse que nous vous annonçons le décès de Philippe MOULIN survenu vendredi 01 juillet 2022 à Lorient. Cet espace privé est destiné à recueillir vos condoléances ou le souvenir d’un moment pour vos pensées.
Quéven La chapelle de la Trinité. Administration Pays France Région Bretagne Département Morbihan Arrondissement Lorient Intercommunalité Lorient Agglomération Maire Mandat Marc Boutruche 2020-2026 Code postal 56530 Code commune 56185 Démographie Gentilé Quévenois, Quévenoise Populationmunicipale 8 770 hab. 2019 Densité 366 hab./km2 Population agglomération 184 853 hab. Géographie Coordonnées 47° 47′ 22″ nord, 3° 24′ 50″ ouest Altitude 50 mMin. 2 mMax. 66 m Superficie 23,93 km2 Type Commune urbaine et littorale Unité urbaine Lorient banlieue Aire d'attraction Lorient commune de la couronne Élections Départementales Canton de Plœmeur Législatives Sixième circonscription Localisation Géolocalisation sur la carte Bretagne Quéven Géolocalisation sur la carte Morbihan Quéven Géolocalisation sur la carte France Quéven Géolocalisation sur la carte France Quéven Liens Site web Site officiel de la commune Quéven [kevɛ̃] est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne. Historiquement, elle fait partie du Pays vannetais et du Kemenet-Héboé. Géographie Localisation Carte de la commune de Quéven. Hydrographie La commune est bordée à l'est par la ria du Scorff, un fleuve côtier breton et au nord par le Scave, un affluent de rive droite du Scorff, qui se jette dans ce dernier au niveau de sa ria ; le Ruisseau du Moulin de Kerrousseau, affluent de rive droite du Scave sert de limite avec Gestel. Au sud le Ter, un petit fleuve côtier, et son affluent le Laër, séparent Quéven de Lorient pour le premier cité, et de Ploemeur pour le second ; à l'ouest la partie amont de la Saudraye, un autre petit fleuve côtier, sert un temps de limite aec Guidel. La ria du Scorff La ria du Scorff vue depuis la rive droite à gauche de la photographie, la rive gauche côté Caudan et ses roselières à hauteur du hameau du Stumo. La ria du Scorff vue depuis la rive droite à gauche de la photographie, la rive gauche côté Caudan à hauteur du hameau de Keradelys. La ria du Scorff vue depuis la rive de Caudan avec les ruines du "Pont Brûlé" à l'ouest de Kerfléau. La ria du Scorff vue vers l'aval depuis le "Pont Brûlé" schorre au premier plan ; à l'arrière-plan les poudrières de Mentec en Quéven et au fond le pont du Sac'h RN 165. Cliquez sur une vignette pour l’agrandir. Le "Pont Brûlé" est un pont en bois construit par les Allemands en 1940 il fut utilisé par les civils pendant l'Occupation pour passer entre Caudan et Quéven. Il fût brûlé par les Allemands au début du mois d'août 1944. Relief Roselières des deux rives de la ria du Scorff à hauteur de la chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours. Le finage de Quéven est constitué pour l'essentiel d'un plateau en pente douce vers le sud-est, qui culmine à 68 mètres au niveau de la chapelle de la Trinité, mais situé pour l'essentiel entre 60 et 30 mètres d'altitude le bourg est vers 50 mètres et l'essentiel de la base aéronavale, d'une platitude remarquable, vers 45 mètres. Ce plateau est troué par les vallées des cours d'eau précités, souvent encaissées d'une vingatine de mètres, voire plus par endroits, par rapport au plateau, dont l'altitude atteint, pour celle du Scorff le niveau de la mer au niveau de son estuaire, bordé de paluds au niveau de la confluence avec le Scave, ainsi que plus au sud à proximité de la chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours et, encore plus en aval, au niveau du lieu-dit "Les Paluds" le Pont Brûlé. Climat Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique, répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2]. Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après. Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1] Moyenne annuelle de température 11,8 °C Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C 0,7 j Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C 1,4 j Amplitude thermique annuelle[Note 2] 11,3 °C Cumuls annuels de précipitation[Note 3] 959 mm Nombre de jours de précipitation en janvier 14,5 j Nombre de jours de précipitation en juillet 7,2 j Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1952 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[7]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après. La température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[8], à 12 °C pour 1981-2010[9], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[10]. Statistiques 1981-2010 et records LORIENT-LANN BIHOUE 56 - alt 45 m 47° 45′ 42″ N, 3° 26′ 06″ ORecords établis sur la période du 01-01-1952 au 04-01-2022 Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne °C 3,8 3,4 4,9 6,1 9,4 11,7 13,6 13,4 11,6 9,5 6,2 4,1 8,2 Température moyenne °C 6,6 6,7 8,6 10,3 13,5 16,1 18 18 16,1 13,1 9,4 7,1 12 Température maximale moyenne °C 9,5 9,9 12,3 14,4 17,7 20,6 22,5 22,6 20,5 16,6 12,6 10 15,8 Record de froid °Cdate du record −13, − −7, −4, −1, 1, 3, 4, −1, − −8, −13,11963 Record de chaleur °Cdate du record 16, 18, 23, 27, 29, 35, 34, 37, 27, 19, 16, 37,52003 Ensoleillement h 70,1 95,1 137,6 182,5 204,9 230,1 223 215,9 192,6 115,8 84,9 74,8 1 827,2 Précipitations mm 108,3 82,6 72,9 67,2 74,6 50,4 56 49,3 70,5 104,4 103 111,7 950,9 Source Fiche 56185001 » [PDF], sur édité le 06/01/2022 dans l'état de la base Paysages et habitat Quéven présentait traditionnellement un paysage de bocage et un habitat rural dispersé par exemple les hameaux de Kerdual et Sach Quéven[11], situés aux portes de Lorient ; mais ce paysage traditionnel a été profondément modifié par l'urbanisation de nombreux lotissements ont été construits depuis la Seconde Guerre mondiale aux alentours du bourg, qui a considérablement grossi, devenant une ville. Le reste du teritoire communal a été relativement préservé de l'urbanisation, conservant donc un aspect rural bocage et habitat dispersé sauf au sud-est hameaux de Stang Kergolan, Kergavalan, Kerdual et Sac'h Quéven en raison de la proximité de la ville de Lorient et pour partie en raison de la présence de la base aéronavale pour la partie sud-ouest de la commune. Transports L'ancienne gare de Quéven. La commune de Quéven est traversée par la voie express RN 165 et desservie par l'Échangeur de Caudan, à proximité duquel se sont développées les zones artisanles et industrielles du Mourillon et de Beg Runio côté nord, et la zone commerciale de Lann Roze magasin Leroy-Merlin côté sud. L'ancienne RN 165, devenue une simple route départementale D 765 passe un peu plus au sud, traversant aussi le territoire communal en direction de Guidel vers l'ouest et de Lorient vers l'est. Le bourg, situé au nord de ces deux routes, est desservi principalement par la D 6, axe sud-nord venant de Lorient et se poursuivant en direction de Pont-Scorff. La commune est aussi traversée par la voie ferrée venant de Lorient en direction de Quimper dénommée initialement Ligne de Savenay à Landerneau , ligne empruntée notamment par des TGV Atlantique venant de Paris-Montparnasse en direction de Quimper, ainsi que par des TER en direction de Rennes TER Bretagne et Nantes ; mais la commune n'est plus desservie par une gare, les plus proches étant celles de Gestel et principalement de Lorient. L'aéroport de Lorient-Bretagne-Sud, qui cohabite avec la Base d'aéronautique navale de Lann-Bihoué, est en partie situé sur la commune de Quéven. Transports en commun La commune de Quéven est desservie par le réseau CTRL[12] Ligne T4 Quéven - Bel Air ↔ Ploemeur - Pen Palud Ligne 10 Guidel - Plages ↔ Quéven ↔ Ploemeur - Kerbernès Ligne 30 Pont-Scorff - Ninijo ↔ Quéven ↔ Guidel - des Cinq chemins Urbanisme Typologie Quéven est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lorient, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[16] et 121 543 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[17],[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lorient dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 31 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20]. La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du 3 janvier 1986, dite loi littoral[21]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[22],[23]. Occupation des sols Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 CLC. Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover CLC. Occupation des sols en 2018 Type d’occupation Pourcentage Superficie en hectares Tissu urbain discontinu 13,8 % 327 Zones industrielles ou commerciales et installations publiques 8,7 % 207 Aéroports 5,8 % 138 Équipements sportifs et de loisirs 2,6 % 61 Terres arables hors périmètres d'irrigation 13,4 % 318 Prairies et autres surfaces toujours en herbe 1,3 % 32 Systèmes culturaux et parcellaires complexes 27,2 % 648 Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 9,8 % 233 Forêts de feuillus 15,8 % 375 Forêt et végétation arbustive en mutation 1,3 % 31 Marais intérieurs 0,3 % 6 Estuaires 0,1 % 2 Source Corine Land Cover[24] Toponymie Le nom de la localité est attesté sous les formes Quetguen en 1387[25], Qaez ven en 1466[26], Queven en 1793, Quesven en 1801[27]. Son nom breton est Kewenn, prononcé localement [ˈcəɥən]. Koad, ar c'hoad, le bois, la forêt. On peut voir dans la seconde syllabe l'adjectif guen blanc »[26], ici, au sens de sacré. Le toponyme du lieu-dit "Moustoir-Flamm" indique la présence d'un ancien monastère. Histoire Préhistoire Quéven possède plusieurs monuments mégalithiques datant du néolithique le tumulus et les dolmens de Kerroc'h, l'allée couverte de Kerscant, dit le dolmen du Triono, le menhir de Kerdehoret, le dolmen christianisé de Moustoir Flamm. Une stèle funéraire gauloise se trouve à Kermérien. Antiquité De l'époque romaine il n'existe à Quéven aucun vestige connu, même si la région a été occupée par les Romains[28]. Moyen-Âge Un texte daté du 14 avril 1380 indique que le duc de Bretagne Jean IV fait alors don à la famille de Rohan du fief de La Roche-Moysan en Arzano et de la paroisse de Bihoué[29]. Bihoué dont l'église était dédiée à saint Bieuzy, auquel Bihoué devant aussi son nom aurait été le centre de la paroisse qui englobait aussi Gestel[Note 6] jusqu'au XVe siècle avant de devenir une simple trève de Quéven, qui devint le siège de la paroisse au XVIIe siècle. La paroisse de Quéven faisait partie de la seigneurie de Kéménet-Héboé et du doyenné des Bois[30]. À Quéven, le linteau de la ferme de Kerlaren porte, écrite en lettres gothiques, la plus ancienne inscription connue en Bretagne sur une maison rurale L'AN MIL III cc IIII XX XIIII »l'an 1494 »[31]. Temps modernes En 1759 la paroisse de Quéven devait chaque année fournir 26 hommes pour servir de garde-côtes[32]. Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Quéven en 1778 Quéven ; sur une hauteur, à 11 lieues à l'Ouest-Nord-Ouest de Vannes, son évêché ; à 19 lieues de Rennes ; et à une lieue de l'Orient, sa subdélégation. Quéven ressortit à Hennebon et compte 1 500 communiants[Note 7]. La cure est à l'alternative. Des terres en labeur, des prairies, des arbres à fruits ; voilà ce que présente à la vue ce territoire, qui est très bien cultivé. On a fait un grand chemin qui conduit de la route de Quimperlé au bourg de Quéven[33]. » 65 hameaux sont recensés à Quéven juste avant la Révolution française. Le XIXe siècle A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Quéven en 1845 Quéven sous l'invocation de Saint Pierre commune formée par l'ancienne paroisse de ce nom, plus sa trève, Bayars [en fait Bihoué], qu'elle a absorbée ; aujourd'hui succursale ; chef-lieu de perception. ... Principaux villages Kerousseaux, Kerscant, Rustuel, Kercadoret, Mané, Rivalain, Kerlehoret, la Trinité, Bihoué, Kervilien, Tremerzin, Kerignan-Izel, Kerlanc, Kerouanet, Kerlanan, Kerdnale. Moulins de Hadenec, de Sac-Quéven, à eau. Outre l'église, qui est moderne et n'offre rien de remarquable, il y a en Quéven les quatre chapelles de la Trinitéde Saint-Nicodème, de Saint-Éloi et de Vrai-Secours, qui ne sont desservies qu'à la fête de leur patron. Le plus ancien fief de cette paroisse était Kerruisseaux, qui dépendait du prince de Rohan-Guémené. Le château actuel est une construction qui remonte à la fin du siècle dernier, et qui a due être bâtie avec les pierres de l'ancien manoir, dont on ne voit plus aucune trace. Près du village de Kerdehoret, situé à peu de distance de la grande route de Lorient à Quimperlé, est un moulin qui peut avoir 5 à 6 mètres de haut sur 2 m de large à sa base. Il y a aussi en Quéven plusieurs carrières de pierres de taille, qui ont fourni la majeure partie des matériaux employés au bassin et aux cales couvertes de Lorient. Une distillerie de résidus de cidre. Il y a foire le mercredi de Pâques et le mercredi après la Trinité. Géologie granite. On parle le breton[34]. » Le XXe siècle La Première Guerre mondiale Le monument aux morts de Quéven porte les noms de 58 soldats et marins morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale parmi eux 7 sont morts en Belgique dont 5 dès l'année 1914 dans les combats de Maissin et de Rossignol ; 1 Yves Le Nivonic est un marin mort en mer lors du naufrage du cuirassé Bouvet ; Michel Le Coroller est mort en captivité en Allemagne ; la plupart des autres sont morts sur le sol français dont 3 Jean Goulian, Georges Martin-Sané et Julien Pierre décorés de la Médaille militaire et de la Croix de guerre et Mathurin Portier de la Croix de guerre[35]. L'Entre-deux-guerres Le monument aux morts de Quéven et son poilu,, en kersantite, taillés par Jean Joncourt, sculpteur et marbrier de Quimperlé, fut inauguré le 9 octobre fut fêtée en grande pompe, avec messe, bénédiction, cérémonie et gueuleton[36]. Le manoir de Kerlébert en 1923 carte postale. Le moulin de Kerusseau Kerrousseau en 1929 carte postale. Quéven la Brasserie en 1929 carte postale. Le bourg de Quéven vers 1930 la rue de Lorient carte postale. Cliquez sur une vignette pour l’agrandir. Dès 1933 la Chambre de commerce de Lorient souhaite créer un terrain d'aviation ; en 1938 elle achète un terrain aux confins de Quéven et Ploemeur, mais le vend en 1939 à l'Armée de l'air. La Seconde Guerre mondiale Le monument aux morts de Quéven porte les noms de 38 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[35]. Parmi elles, Jean Even[Note 8], militant communiste, mort en déportation le 19 septembre 1942 au camp de concentration d'Auschwitz ; Émile Le Molgat[Note 9], résistant, tué au combat le 13 juillet 1944 à Monassut-Audiracq Basses-Pyrénées ; 23 personnes sont des victimes civiles de la guerre tuées à Quéven, dont Yves Diény, médecin, et René Lote, professeur, tous deux fusillés par les Allemands le 18 août 1944 au lieu-dit Kertanguy, sur la route de Pont-Scorff[37] ; les autres victimes cviles ont été tuées pour la plupart lors des bombardements ou des combats par exemple trois membres de la famille Le Gall le 21 mars 1945. Les Allemands arrivent à Quéven le 21 juin 1940. Ils reprennent le projet aérien de l'Armée de l'air française, mais l'étendent considérablement le terrain passe de 42 ha à 1 200 ha et des dizaines de fermes sont supprimées deux pistes, longues chacune de 2 km, sont construites, ainsi que 75 hangars destinés à abriter avions et infrastructures diverses de la Luftwaffe ; la base, dénommée "Kerlin Bastard" par les Allemands, entre en service en décembre 1941 ; dès 1942 elle abrite une centaine d'avions qui participent à la bataille de l'Atlantique ; elle est protégé par la batterie de Moustoir Flamm. Lors de la libération de la base qui survient tardivement en raison de la résistance allemande dans la Poche de Lorient, le 10 mai 1945, 16 000 soldats allemands y sont faits prisonniers[38]. Le 7 août 1944 des troupes alliées entrent dans Quéven, mais les combats sont intenses et une bonne partie de la population civile de la ville se réfugie dans les caves de l'andouillerie Crenne, mais les Allemands réoccupent Quéven les jours suivants et le bourg est incendié le 18 août 1944. En janvier 1945, la ville de Toulouse accepte, par le truchement de son maire, Raymond Badiou, la proposition d'adoption de la commune meurtrie, et en conséquence le parrainage proposé à cette fin, le 23 décembre 1945, par le maire de Quéven de l'époque, Louis Kermabon, et Alphonse Viros. Ultérieurement, en souvenir de cette aide, la commune de Quéven inaugure une Place de Toulouse et la ville rose, une rue de Quéven. La commune de Quéven a été décorée le 25 septembre 1949 de la Croix de guerre 1939-1945, par citation en date du 11 novembre 1948 du secrétaire d'État aux Forces Armées Max Lejeune. L'après Seconde Guerre mondiale La Marine nationale s'installa en 1946 dans la base aérienne qui avait été construite par les Allemands la base aéronautique navale est située en majeure partie sur le territoire de la commune de Quéven. Deux soldats originaires de Quéven Marcel Fichoux et Yves Le Pogam sont morts pour la France pendant la Guerre d'Indochine et neuf Roger Lahuec, Lucien Le Bihan, Aimé Le Bris, Joseph Le Moing, François Le Pogam, Joachim Mahé, Michel Mauvieux, André Mélin et Robert Le Nestour pendant la Guerre d'Algérie[35]. L'école maternelle Joliot-Curie est créée en 1971, l'école primaire Anatole-France construite en 1975 et agrandie en 1979, le collège Kerbellec ouvre en 1975. Deux clubs sportifs animent la commune le Cercle sportif quévenois [CSQ] sports collectifs ; sa section football ouvre en 1946 et l'Amicale laïque Quéven [ALQ sports individuels[39], créée en 1960[40]. Politique et administration Tendances politiques et résultats Liste des maires Liste des maires de Quéven Période Identité Étiquette Qualité 1791 1793 Jacques Loher[Note 10] 1793 1795 Jacques Le Bigot 1795 1797 Joseph Loménéhé 1797 1799 Nicolas Joseph Raoul 1799 1819 Yves Le Leslé père[Note 11] Tenancier. 1819 1851 Yves Le Leslé fils[Note 12] Officier d'infanterie. Fils du maire précédent. 1852 1878 Jean-Marie Raoul[Note 13] Cultivateur. 1878 1892 Joseph Le Léannec[Note 14] Cultivateur. 1892 1904 Auguste Roperch[Note 15] Juge de paix. 1904 1940 Julien Moëllo[Note 16] Démissionne le 30 novembre 1940 après 35 ans de mandat de maire[41]. 1940 1945 Louis Kermabon Commerçant septembre 1945 octobre 1947 Louis Kermabon Commerçant octobre 1947 août 1974démission Joseph Kerbellec[Note 17] SFIO août 1974 décembre 1980décès Pierre Quinio PS Instituteur janvier 1981 mars 2008 Jean-Yves Laurent PS Conseiller général 1988-1994. Sa liste est battue en 2008 alors qu'il briguait un 5e mandat[42]. mars 2008 mars 2014 Marc Cozilis PCF mars 2014Réélu en 2020[43] En cours Marc Boutruche DVD Conseiller en gestion de patrimoine3e vice-président de Lorient Agglomération Démographie L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[45]. En 2019, la commune comptait 8 770 habitants[Note 18], en augmentation de 1,07 % par rapport à 2013 Morbihan +2,97 %, France hors Mayotte +2,17 %. Évolution de la population [ modifier ] 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1 5831 5241 5361 5621 6641 6991 7291 8321 876 Évolution de la population [ modifier ], suite 1 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1 8982 1532 2042 0612 1232 2332 3392 3442 338 Évolution de la population [ modifier ], suite 2 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 2 3932 4132 3152 3172 3152 2532 2111 7463 313 Évolution de la population [ modifier ], suite 3 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2 9372 9544 5296 7988 4008 3148 7538 7078 798 Évolution de la population [ modifier ], suite 4 2015 2019 - - - - - - - 8 6088 770- De 1962 à 1999 population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes population municipale.Sources Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[46]. Histogramme de l'évolution démographique Cette commune est réputée pour avoir un nombre de naissance dont le prénom de l'enfant est Kévin largement supérieur à la moyenne du territoire français entre 1992 et 2010[réf. souhaitée]. Économie Une partie de l'aéroport de Lorient Bretagne Sud se trouve sur le terrain de la commune. Langue bretonne Ya d'ar brezhoneg L’adhésion à la charte Ya d’ar brezhoneg a été votée par le conseil municipal le 26 septembre 2008. La commune a reçu le label de niveau 1 de la charte le 10 décembre 2008 puis le label de niveau 2 le 20 avril 2011. Enseignement À la rentrée 2017, 51 élèves étaient scolarisés dans la filière bilingue publique[47]. Culture et patrimoine Lieux et monuments Monuments classés ou inscrits Monument Adresse Coordonnées Notice Protection Date Illustration Dolmens à couloir de Kerroc'h, dit Le trou des Chouans Kerroc'h, sur le site du golf 47° 47′ 57″ nord, 3° 24′ 59″ ouest PA00091603 » Classé 1977 Calvaire de Quéven rue du docteur Dieny au sud de l'église, à l'emplacement de l'ancien cimetière. 47° 47′ 20″ nord, 3° 24′ 59″ ouest PA00091605 » Inscrit 1937 Le tumulus de Kerroc’h, dit le Trou des chouans néolithique et âge du bronze Le calvaire attribué à Roland Doré XVIIe siècle autrefois localisé dans le cimetière de l'église paroissiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul reconstruite en 1900 par Caubert de Cléry. Il comprenait alors deux travées supportant au total seize personnages, dos à dos. Seul cinq sculptures ont été préservés. L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul conserve certains mobiliers provenant, entre autres, de la chapelle de la Trinité, dont les statues de Sainte Anne Trinitaire deuxième moitié du XVe siècle et de la Vierge à l’enfant XVIIIe siècle, mais aussi des bénitiers XVIIe siècle et de l'orfèvrerie calices et patène du XVIIe siècle au XIXe siècle. Autres bâtiments et objets historiques L'allée couverte de Kerscant, dit le dolmen du Triono néolithique. Le menhir de Kerdehoret néolithique. Dolmen christianisé de Moustoir Flamm néolithique et Moyen Âge. La stèle funéraire gauloise de Kermérien protohistoire. Les croix de chemin de Kermabon, Bihoué, le Mourillon et la Croix verte haut Moyen Âge. La chapelle Saint-Nicodème, précédemment dite Notre-Dame-de-la-Rosée 1578 et ses statues polychromes XVIIIe siècle. Partiellement de style flamboyant et de style Renaissance ouvertures en anse de panier, fenêtres à cintre brisé, meneaux flamboyants, la chapelle a été probablement construite par le seigneur de Kerrousseau, un prince de Rohan-Guémené, et a été restaurée à plusieurs reprises les siècles suivants l'autel et la clôture du chœur sont du XVIIIe siècle ; les vitraux sont du XIXe siècle ; la fontaine de dévotion a aussi été restaurée plusieurs fois. La Vierge Marie y était honorée depuis le Moyen-Âge le hameau où se trouve la chapelle se nommat alors "Locmaria" et, son nom initial le prouve, on venait l'invoquer pour lutter contre la sécheresse et provoquer la pluie, mais également pour obtenir de bonnes récoltes statue de saint Isidore. La statue de saint Nicodème XVIIIe siècle présente dans la chapelle explique le changement de nom survenu. La chapelle Saint-Nicodème vue extérieure d'ensemble. La chapelle Saint-Nicodème vue extérieure. La fontaine de dévotion près de la chapelle Saint-Nicodème. Croix monumentale près de la chapelle Saint-Nicodème. Menhir dans l'enclos de la chapelle Saint-Nicodème. Cliquez sur une vignette pour l’agrandir. La chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours reconstruite en 1954 et son mobilier XIXe siècle , dont les statues L’éducation de la Vierge, La Vierge à l’Enfant et Saint Jean-Baptiste, un tableau ex-voto représentant La Vierge secourant des marins en plein naufrage peint par Cosson-fils Vannes, 1830. La chapelle a été détruite par des bombardements alliés en 1940 et reconstruite au début de la décennie 1950. Située sur la rive droite du Scorff, dès le XVIIIe siècle les marins de la Compagnie des Indes avaient coutume d'y faire leurs dévotions, honorant la Vierge Marie et sainte Anne, patronne des marins bretons ; l'habitude fut conservée aux XIXe siècle et XXe siècle par les marins de Lorient. Un pardon s'y déroule chaque 15 août pour la fête de l'Assomption[48]. Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours flanc sud. Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours pignon. Cliquez sur une vignette pour l’agrandir. Une maison à Kercadoret 1589 ; Le manoir de Kerlébert partiellement du XVIIe siècle; La fontaine lavoir de Kerousseau XVIIIe siècle ; La fontaine Saint-Méen, située en contrebas du hameau de Bihoué ; elle a été rénovée en 1898 par l'abbé Plunian, qui y ajouta un lavoir. Les moulins à eau de Hadenec et de Sac'h Queven après le XVIIIe siècle ; Les poudrières du Scorff XIXe siècle ; Un petit bâtiment de l'ancienne gare ferroviaire XIXe siècle. La maison communale 1933. Les blockhaus 1942-1945, dont la batterie de Moustoir Flamm et le bâtiment de Kergavalan avec sa fresque.. La nouvelle chapelle de la Trinité 1960-1962, où l'on peut voir un bénitier du XVIe siècle, une croix monumentale de 1657 le croisillon date de la fin du XIXe siècle, un personnage et une inscription de 1771 scellés dans les colonnes de façade, une fontaine de dévotion et un lavoir du XIXe siècle au nord de la chapelle. Patrimoine disparu Comme dans les autres communes rurales, le remembrement est la cause de la disparition d'un certain nombre de mégalithes. Entre le 7 et le 18 août 1944, environ 85 % de la ville est dévastée par des bombardements alliés, ainsi que par les combats entre les blindés américains et les avant-postes allemands. La reddition de la poche de Lorient n'a lieu que le 10 mai 1945. Pour ces raisons, de nombreux monuments ont été détruits, comme les dolmens néolithiques de Kerloës, de Kerdual et de Mané Guen ; la chapelle de Saint-Éloi XVIe siècle ; la chapelle de Bihoué ; la chapelle de Saint-André ; le château de Kerrousseau XVIIIe siècle ; l'ancienne chapelle de la Trinité du XVIe au XIXe siècle, reconstruite entre 1960 et 1962 après sa destruction par les bombardements alliés de 1944. Monument Adresse Coordonnées Notice Protection Date Illustration Chapelle de la Trinité détruite en 1944 La Trinité 47° 46′ 57″ nord, 3° 26′ 05″ ouest PA00091604 » Inscrit 1933 Espaces verts Quéven panneau d'information touristique du "Sentier des Curiosités". Le parc de Kerzec 11 hectares ; Les vasières du Roze 20 hectares ; Le bois de Kercadoret et ses carrières. Le "sentier des curiosités" entre Pont-Scave et la chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours. Structures culturelles Salle de spectacle du Centre culturel Les Arcs ; Médiathèque Les Sources, ouverte depuis septembre 2004. Jumelages L'inauguration de l'arbre de Jumelage à Quéven. De gauche à droite Heinz Petterich maire de Burgkunstadt, Marc Cozilis maire de Quéven et Reinhard Huber Chef de la Deutsch-Französischen-Gesellschaft Obermain - AFO. Quéven est jumelée avec 5 villes [49]. Dunmanway Irlande depuis 1987, Koro Mali Mali depuis 2002, Altenkunstadt Allemagne depuis 2006, Weismain Allemagne depuis 2006, Burgkunstadt Allemagne depuis 2011. Sports Le Golf du Val Quéven ; le Parc de Kerzec, le lieu de rassemblement des jeunes pour les parties de football ; Étoile Cycliste de Quéven ECQ ; Tennis club de Quéven TCQ. Centre équestre de Kerlébert Personnalités liées à la commune Professeur René Lote 1883-1944 Docteur Yves Diény 1911-1944 Camille Jaouen 1949, poète, réside à Quéven depuis 1976 Nicolas Ouédec 1971-, footballeur né à Lorient Notes et références Notes ↑ Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3]. ↑ L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux. ↑ Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4]. ↑ Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le 14 novembre 2020 en comité interministériel des ruralités. ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en octobre 2020, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne. ↑ Gestel [Jestel], uni alors à Bévoy, devint une paroisse indépendante en 1387. ↑ Personnes en âge de communier. ↑ Jean Even, né le 22 août 1919 à Quéven, mais qui habitait à Gisors où il était manœuvre à l'usine Carbone-Lorraine. ↑ Émile Le Molgat, né le 1er novembre 1910 à Quéven. ↑ Jacques Loher, né vers 1737, décédé le 22 prairial an III 10 juin 1795 à Quéven. ↑ Yves Le Leslé, né le 13 avril 1748 à Kerbraudec en Caudan, décédé le 5 mai 1819 au Roze en Quéven. ↑ Yves Le Leslé, né le 26 novembre 1774 à Burene en Quéven, décédé le 9 octobre 1851 à Quéven. ↑ Jean-Marie Raoul, né le 15 août 1812 à Guidel, décédé le 9 avril 1888 à Quéven. ↑ Joseph Le Léannec, né le 25 mai 1834 à Lorient, décédé le 26 septembre 1899 à Quéven. ↑ Auguste Roperch, né en 1854, décédé en 1939. ↑ Julien Moëllo, né en 1860, décédé en 1946. ↑ Joseph Kerbellec, né le 26 avril 1898 à Inguiniel, décédé en 1980 à Quéven. ↑ Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique 1er janvier 2019. Références ↑ a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, 18 juin 2010 DOI lire en ligne, consulté le 16 juillet 2021 ↑ Le climat en France métropolitaine », sur 4 février 2020 consulté le 16 juillet 2021 ↑ 2021 de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021. ↑ Glossaire – Précipitation, Météo-France ↑ Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur consulté le 12 juin 2021. ↑ Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique Oracle - Bretagne », sur 2019 consulté le 16 juillet 2021 ↑ Fiche du Poste 56185001 » [PDF], sur consulté le 24 janvier 2022 ↑ Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1971-2000 », sur consulté le 16 juillet 2021 ↑ Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1981-2010 », sur consulté le 16 juillet 2021 ↑ Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1991-2020 », sur consulté le 16 juillet 2021 ↑ Quéven au fil du temps, Kerdual et Sac'h Quéven 2 villages aux portes de Lorient », sur consulté le 5 juillet 2022. ↑ le site de la CTRL ↑ Typologie urbain / rural », sur consulté le 31 mars 2021. ↑ Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee consulté le 31 mars 2021. ↑ Comprendre la grille de densité », sur consulté le 31 mars 2021. ↑ Unité urbaine 2020 de Lorient », sur consulté le 31 mars 2021. ↑ Base des unités urbaines 2020 », sur 21 octobre 2020 consulté le 31 mars 2021. ↑ Vianney Costemalle, Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, 21 octobre 2020 consulté le 31 mars 2021. ↑ Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lorient », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques consulté le 31 mars 2021. ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod Insee, En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, 21 octobre 2020 consulté le 31 mars 2021. ↑ Les communes soumises à la loi littoral. », sur 2021 consulté le 31 mars 2021. ↑ La loi littoral », sur consulté le 31 mars 2021. ↑ Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur consulté le 31 mars 2021. ↑ Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols métropole », sur CORINE Land Cover, 2018 consulté le 20 avril 2021. ↑ Dans les archives du chapitre de Vannes. ↑ a et b Revue internationale d'onomastique, Volume 2, page 50, Éditions d'Artrey, 1950 » consulté le 30 novembre 2016. ↑ a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales. ↑ Joseph-Marie Le Mené, Histoire archéologique, féodale et religieuse des paroisses du diocèse de Vannes. Quéven, Vannes, Imp. de Galles, coll. Archives départementales d'Ille-et-Vilaine. Fonds Joseph des Bouillons », 1891 ,SearchTermsQu%C3%A9ven,SortField!n,SortOrder0,TemplateParamsScenario,ScopeDefault,Size!n,Source,Support,UseCompact!f,UseSpellChecking!n lire en ligne. ↑ Quéven au fil du temps, Bihoué, berceau de Quéven », sur consulté le 5 juillet 2022. ↑ Étymologie et histoire de Quéven », sur consulté le 4 juillet 2022. ↑ Sous la direction de Catherine Tosser et Jean-Jacques Rioult, "Architecture rurale en Bretagne", Lieux-dits Éditions, 2014, ISBN 978-2-36219-099-5. ↑ "Ordonnance... portant imposition pour la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne...", 1759, consultable ↑ Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, vol. 3, Nantes, Vatar Fils Aîné, 1778 lire en ligne, page 475. ↑ A. Marteville et P. 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Jean-Yves Laurent, maire de Quéven et René Estienne, animateur du comité historique de l'assoc. pour le bicentenaire de la révolution au pays de Lorient, 1788-1795 les Quévenois à l'heure de la Révolution française, Lorient, Éd. Dalc'homp Sonj, 1989, 92 p. ISBN 2-9503379-0-2 Comité Historique de Quéven, 1850-1938 Les Quévenois à la croisée des chemins, Éd. à compte d'auteur, 1993, 352 p. ISBN 978-2-9503379-1-7 Comité Historique de Quéven préf. Jean-Yves Laurent, maire de Quéven, 1939-1960 Les Quévenois De la Guerre à la Paix, Quéven, Éd. à compte d'auteur, 1995, 336 p. ISBN 2-9503379-2-9 Comité historique de Quéven et Association histoire et patrimoine de Guidel, 1944-1945 entre Scorff et Laïta Gestel, Guidel, Quéven dans la poche de Lorient, Le Faouët, Liv'Éditions, coll. Mémoire du pays de Lorient », 2005, 155 p. ISBN 978-2-84497-073-2 Patrimoine Comité Historique de Quéven coord. Laurent Carrour, Quéven au fil du temps patrimoine archéologique, patrimoine civil, patrimoine religieux, patrimoine militaire, histoire de Quévenois, patrimoine naturel et paysager, Le Faouët, Liv'Éditions, octobre 2003, 307 p. ISBN 978-2-9503379-3-1 Articles connexes Liste des communes du Morbihan Lorient Agglomération - Pays de Lorient Liens externes Site de la mairie de Quéven Notices d'autorité Fichier d’autorité international virtuel Bibliothèque nationale de France données Bibliothèque du Congrès WorldCat Ressources relatives à la géographie Insee communes Ldh/EHESS/Cassini Ressource relative aux organisations SIREN Office de Tourisme du Pays de Lorient Résultats des élections municipales 2008 Monuments historiques, bâtiments et objets artistiques Les objets immobiliers », objets mobiliers », illustrations », d'après l'Inventaire général du patrimoine culturel du ministère de la Culture Quéven sur topic-topos d'après l'ouvrage de Flohic éd., Le patrimoine des communes du Morbihan, sous la dir. de Michèle Bourret, Charenton-le-Pont, 1996, 2 vol. Le patrimoine des communes de France, 56 ; nouv. éd. 2000 ISBN 2-84234-107-4. Quéven sur Les Mégalithes du Monde Lorient Agglomération Plus de 50 000 habitants Lorient Entre 10 000 et 50 000 habitants Guidel Hennebont Lanester Ploemeur Entre 3 500 et 10 000 habitants Caudan Inzinzac-Lochrist Languidic Larmor-Plage Locmiquélic Plouay Quéven Riantec Moins de 3 500 habitants Brandérion Bubry Calan Cléguer Gâvres Gestel Groix Inguiniel Lanvaudan Pont-Scorff Port-Louis Quistinic Portail des communes de France Portail du pays de Lorient
Bienvenue sur le site de Centre Funéraire Kerlétu situé à Lorient. Pompes funèbres Vous pouvez retrouver les coordonnées de l'entreprise, photos, plan d'accès, horaires et formulaire de contact. Ceci est une page non officiel qui concentre toutes les informations sur Centre Funéraire Kerlétu de Centre Funéraire Kerlétu Siege social r René Lote 56100 Lorient Activités Pompes funèbres Directeur Effectif 1 personnes Code Naf Siret Contact Email Internet * 2,99 €/appel. Ce numéro valable 10 minutes n'est pas le numéro du destinataire mais le numéro d'un service permettant la mise en relation avec celui-ci. Ce service édité par Pourquoi ce numero ? Horaires d'ouverture Lundi 08h00 à 19h00 Mardi 08h00 à 19h00 Mercredi 08h00 à 19h00 Jeudi 08h00 à 19h00 Vendredi 08h00 à 19h00 Samedi 08h30 à 18h30 Dimanche 10h00 - 12h0 / 14h00 - 18h00 Précision sur les horaires Les horaires d'ouverture de Centre Funéraire Kerlétu dans la ville de Lorient ont été renseignées par un internaute. Si vous connaissez les heures d'ouverture et de fermeture du lieu Modifier les heures d'ouverture Réseaux professionnel Les liens présents sous "Réseaux professionnel de Centre Funéraire Kerlétu" sont extraits d'une recherche sur Google. Pour retirer ce contenu d'internet, nous vous invitons à contacter le ou les sources. Faire un lien Cette page vous semble utile ? Faites un lien depuis votre blog ou votre portail Internet vers la page de Centre Funéraire Kerlétu à Lorient. Entreprises semblables ... Indépendants, Entreprises, Organismes ou Associations, créez portail internet et votre fiche de présentation gratuitement sur ce portail. Contactez-nous - © -
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