Dumonument divin qui n’est point achevĂ©, Homme, qui n’es au fond que l’ébauche imparfaite. Du chef-d’oeuvre que j’ai rĂȘvĂ©, A ton tour, Ă  ton heure, if faut que tu pĂ©risses. Ah ! ton orgueil a beau s’indigner et souffrir, Tu ne seras jamais dans mes mains crĂ©atrices. Que de l’argile Ă  repĂ©trir. Situ peux conserver ton courage et ta tĂȘte Au moment mĂȘme oĂč tous les autres les perdront, Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire Seront Ă  tout jamais tes esclaves soumis Et, ce qui vaut bien mieux que les Rois et la Gloire, Tu ArticlesĂ©tiquetĂ©s comme “Tu seras un homme mon fils Ă  imprimer” Tu seras un homme mon fils : texte et analyse du poĂšme de Kipling. Tu seras un homme mon fils : texte et analyse du poĂšme de Kipling . 16 fĂ©vrier 2021. 4.8/5 (5) Tu seras un homme mon fils : texte et analyse du poĂšme If de Rudyard Kipling. Tu seras un homme mon fils est Ce site vit grĂące tuseras un homme, mon fils. PubliĂ© par JEREMIKARUS le 6 dĂ©cembre 2017 15 mars 2021 Parce que je l’ai dans mes papiers d’identitĂ© depuis une bonne dizaine d’annĂ©es – merci papa – voici, pour le plaisir du partage le poĂšme de Rudyard KIPLING , Ă©crit en 1910. Uneinvitation pour ce moment de partage de ce magnifique poĂšme. tuseras un homme, mon fils explication de texte. charbon vĂ©gĂ©tal cancerigene. 0. remorque moto occasion; l'ensorcelĂ©e barbey d'aurevilly rĂ©sumĂ© par chapitre; Menu. salaire vendeuse zara suisse; recette moussaka sans bĂ©chamel; tu seras un homme, mon fils explication de texte. priĂšre pour avoir l'intelligence et la sagesse / le complĂ©ment de lieu exercices 2UJg. Rudyard Kipling NĂ© Ă  Bombay, Rudyard Kipling sera toute sa vie tiraillĂ© entre deux identitĂ©s celle de son enfance indienne et celle de son douloureux dĂ©part pour l'Angleterre. Cette nostalgie sera pourtant ... [+] Si tu peux voir dĂ©truit l’ouvrage de ta vie Et sans dire un seul mot te mettre Ă  rebĂątir, Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties Sans un geste et sans un soupir ;Si tu peux ĂȘtre amant sans ĂȘtre fou d’amour, Si tu peux ĂȘtre fort sans cesser d’ĂȘtre tendre, Et, te sentant haĂŻ, sans haĂŻr Ă  ton tour, Pourtant lutter et te dĂ©fendre ;Si tu peux supporter d’entendre tes paroles Travesties par des gueux pour exciter des sots, Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles Sans mentir toi-mĂȘme d’un mot ;Si tu peux rester digne en Ă©tant populaire, Si tu peux rester peuple en conseillant les rois, Et si tu peux aimer tous tes amis en frĂšre, Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ;Si tu sais mĂ©diter, observer et connaĂźtre, Sans jamais devenir sceptique ou destructeur, RĂȘver, mais sans laisser ton rĂȘve ĂȘtre ton maĂźtre, Penser sans n’ĂȘtre qu’un penseur ;Si tu peux ĂȘtre dur sans jamais ĂȘtre en rage, Si tu peux ĂȘtre brave et jamais imprudent, Si tu sais ĂȘtre bon, si tu sais ĂȘtre sage, Sans ĂȘtre moral ni pĂ©dant ;Si tu peux rencontrer Triomphe aprĂšs DĂ©faite Et recevoir ces deux menteurs d’un mĂȘme front, Si tu peux conserver ton courage et ta tĂȘte Quand tous les autres les perdront,Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire Seront Ă  tous jamais tes esclaves soumis, Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire Tu seras un homme, mon fils. Ce poĂšme est cĂ©lĂšbre, ne serait-ce que par son titre.“Tu seras un Homme, mon fils”, bien qu’é­crit en 1910 par Rudyard Kipling, reste d’ac­tua­li­ sou­haite le par­ta­ger avec pas Ă  Ă©crire dans les com­men­taires, ce qu’il t’inspire. Tu seras un Homme, mon fils – Rudyard Kipling Si tu peux voir dĂ©truit l’ou­vrage de ta vie Et sans dire un seul mot te mettre Ă  rebù­tir, Ou, perdre d’un seul coup le gain de cent par­ties Sans un geste et sans un soupir ; Si tu peux ĂȘtre amant sans ĂȘtre fou d’a­mour, Si tu peux ĂȘtre fort sans ces­ser d’ĂȘtre tendre Et, te sen­tant haĂŻ sans haĂŻr Ă  ton tour, Pour­tant lut­ter et te dĂ©fendre ; Si tu peux sup­por­ter d’en­tendre tes paroles Tra­ves­ties par des gueux pour exci­ter des sots, Et d’en­tendre men­tir sur toi leur bouche folle, Sans men­tir toi-mĂȘme d’un seul mot ; Si tu peux res­ter digne en Ă©tant popu­laire, Si tu peux res­ter peuple en conseillant les rois Et si tu peux aimer tous tes amis en frĂšre Sans qu’au­cun d’eux soit tout pour toi ; Si tu sais mĂ©di­ter, obser­ver et connaĂźtre Sans jamais deve­nir scep­tique ou des­truc­teur ; RĂȘver, mais sans lais­ser ton rĂȘve ĂȘtre ton maĂźtre, Pen­ser sans n’ĂȘtre qu’un penseur ; Si tu peux ĂȘtre dur sans jamais ĂȘtre en rage, Si tu peux ĂȘtre brave et jamais impru­dent, Si tu sais ĂȘtre bon, si tu sais ĂȘtre sage Sans ĂȘtre moral ni pĂ©dant ; Si tu peux ren­con­trer Triomphe aprĂšs DĂ©faite Et rece­voir ces deux men­teurs d’un mĂȘme front, Si tu peux conser­ver ton cou­rage et ta tĂȘte Quand tous les autres les perdront, Alors, les Rois, les Dieux, la Chance et la Vic­toire Seront Ă  tout jamais tes esclaves sou­mis Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire, Tu seras un Homme, mon fils ! TLa laĂŻcitĂ© devrait ĂȘtre le terreau de la quand celui-ci ne laisse plus que ruines et nos perspectives, l’état raquette, ou l’état de dĂ©liquescence, combines et l’avenir, se restreint Ă  leur tĂ©lĂ© rĂ©alitĂ©,Vous rĂ©duisant Ă  ces pires jeux de votre rĂȘve Internet, dĂ©fie les consciences,Et, impose le virtuel au-delĂ  du temps de devenir sans avenir,Celui des lendemains vos certitudes oppriment les votre CAC 40 nous transforme en tout votre argent roi, aux dĂ©pens des la terre appauvrie ne nourrit plus son vos usines Ă  bestiaux, dĂ©nient au temps son l’eau des mers et des riviĂšres coule,Bayer ; Nitrate, pesticides et la jeunesse crie son que le rĂȘve se shoot, cannabis d’ que caricature, la rĂ©bellion se termine, vous prĂ©tendez la hauteur, en rabaissant les que vos banques se servent,et viennent vider nos pocheAlors que nous, on trime, sue ; CrĂšve dĂ©filent rejet, potion magique PĂŽle pourtant mĂȘme les Ă©lus filent mauvais plus fort, les Ă©coles distillent l’ ne sĂšment jeune pousse, qu’incomprĂ©hensions,Quand vos mĂ©dias, neutralisent l’ en plus soumission. Paroles de nos cerveaux sont vidĂ©s, nos idĂ©es vos dieux pognon, imposeront leurs on bĂ©tonne, on bitume les en faisant pousser l’herbe sur les des prĂȘcheurs disposeront de que tu ne seras pas Ă©duquĂ©, conquĂ©rant et ne seras pas un homme mon B . Ceci est un pastiche du cĂ©lĂšbre poĂšme de Rudyard kipli Tu seras un homme mon fils. » 477 poĂšmes <6781011PhonĂ©tique Cliquez pour la liste complĂšte caca cacao cacaos cacaotĂ© cacas cagot cahot cahotĂ© caĂŻd caĂŻeu caĂŻque caĂŻques cake cakes caoua caouas caqua caquai caquais caquait caquas caquĂąt caque caquĂ© caquĂ©e caquĂ©es caques caquĂ©s caquet ... Eh bien ! reprends-le donc ce peu de fange obscure Qui pour quelques instants s'anima sous ta main ; Dans ton dĂ©dain superbe, implacable Nature, Brise Ă  jamais le moule humain. De ces tristes dĂ©bris quand tu verrais, ravie, D'autres crĂ©ations Ă©clore Ă  grands essaims, Ton IdĂ©e Ă©clater en des formes de vie Plus dociles Ă  tes desseins, Est-ce Ă  dire que Lui, ton espoir, ta chimĂšre, Parce qu'il fut rĂȘvĂ©, puisse un jour exister ? Tu crois avoir conçu, tu voudrais ĂȘtre mĂšre ; A l'Ɠuvre ! il s'agit d'enfanter. Change en rĂ©alitĂ© ton attente sublime. Mais quoi ! pour les franchir, malgrĂ© tous tes Ă©lans, La distance est trop grande et trop profond l'abĂźme Entre ta pensĂ©e et tes flancs. La mort est le seul fruit qu'en tes crises futures Il te sera donnĂ© d'atteindre et de cueillir ; Toujours nouveaux dĂ©bris, toujours des crĂ©atures Que tu devras ensevelir. Car sur ta route en vain l'Ăąge Ă  l'Ăąge succĂšde ; Les tombes, les berceaux ont beau s'accumuler, L'IdĂ©al qui te fuit, l'Ideal qui t'obsĂšde, A l'infini pour reculer. L'objet de ta poursuite Ă©ternelle et sans trĂȘve Demeure un but trompeur Ă  ton vol impuissant Et, sous le nimbe ardent du dĂ©sir et du rĂȘve, N'est qu'un fantĂŽme Ă©blouissant. Il resplendit de loin, mais reste inaccessible. Prodigue de travaux, de luttes, de trĂ©pas, Ta main me sacrifie Ă  ce fils impossible ; Je meurs, et Lui ne naĂźtra pas. Pourtant je suis ton fils aussi ; rĂ©el, vivace, Je sortis de tes bras des les siĂšcles lointains ; Je porte dans mon cƓur, je porte sur ma face, Le signe empreint des hauts destins. Un avenir sans fin s'ouvrait ; dans la carriĂšre Le ProgrĂšs sur ses pas me pressait d'avancer ; Tu n'aurais mĂȘme encor qu'Ă  lever la barriĂšre Je suis lĂ , prĂȘt Ă  m'Ă©lancer. Je serais ton sillon ou ton foyer intense ; Tu peux selon ton grĂ© m'ouvrir ou m'allumer. Une unique Ă©tincelle, ĂŽ mĂšre ! une semence ! Tout s'enflamme ou tout va germer. Ne suis-je point encor seul Ă  te trouver belle ? J'ai comptĂ© tes trĂ©sors, j'atteste ton pouvoir, Et mon intelligence, ĂŽ Nature Ă©ternelle ! T'a tendu ton premier miroir. En retour je n'obtiens que dĂ©dain et qu'offense. Oui, toujours au pĂ©ril et dans les vains combats ! Éperdu sur ton sein, sans recours ni dĂ©fense, Je m'exaspĂšre et me dĂ©bats. Ah ! si du moins ma force eĂ»t Ă©galĂ© ma rage, Je l'aurais dĂ©chirĂ© ce sein dur et muet Se rendant aux assauts de mon ardeur sauvage, Il m'aurait livrĂ© son secret. C'en est fait, je succombe, et quand tu dis J'aspire ! » Je te rĂ©ponds Je souffre ! » infirme, ensanglantĂ© ; Et par tout ce qui naĂźt , par tout ce qui respire, Ce cri terrible est rĂ©pĂ©tĂ©. Oui, je souffre ! et c'est toi, mĂšre, qui m'extermines, TantĂŽt frappant mes flancs, tantĂŽt blessant mon cƓur ; Mon ĂȘtre tout entier, par toutes ses racines, Plonge sans fond dans la douleur. J'offre sous le soleil un lugubre spectacle. Ne naissant, ne vivant que pour agoniser. L'abĂźme s'ouvre ici, lĂ  se dresse l'obstacle Ou m'engloutir, ou me briser ! Mais, jusque sous le coup du dĂ©sastre suprĂȘme, Moi, l'homme, je t'accuse Ă  la face des cieux. CrĂ©atrice, en plein front reçois donc l'anathĂšme De cet atome audacieux. Sois maudite, ĂŽ marĂątre ! en tes Ɠuvres immenses, Oui, maudite Ă  ta source et dans tes Ă©lĂ©ments, Pour tous tes abandons, tes oublis, tes dĂ©mences, Aussi pour tes avortements ! Que la Force en ton sein s'Ă©puise perte Ă  perte ! Que la MatiĂšre, Ă  bout de nerf et de ressort, Reste sans mouvement, et se refuse, inerte, A te suivre dans ton essor ! Qu'envahissant les cieux, I'ImmobilitĂ© morne Sous un voile funĂšbre Ă©teigne tout flambeau, Puisque d'un univers magnifique et sans borne Tu n'as su faire qu'un tombeau !L’Homme Ă  la Nature PoĂšmes de Louise Ackermann Citations de Louise AckermannPlus sur ce poĂšme Commenter le poĂšme Imprimer le poĂšme Envoyer Ă  un ami Voter pour ce poĂšme 854 votesEndymion s'endort sur le mont solitaire, Lui que PhƓbĂ© la nuit visite avec mystĂšre, Qu'elle adore en secret, un enfant, un pasteur. Il est timide et fier, il est discret comme elle ; Un charme grave au choix d'une amante immortelle A dĂ©signĂ© son front rĂȘveur. C'est lui qu'elle cherchait sur la vaste bruyĂšre Quand, sortant du nuage oĂč tremblait sa lumiĂšre, Elle jetait au loin un regard calme et pur, Quand elle abandonnait jusqu'Ă  son dernier voile, Tandis qu'Ă  ses cĂŽtĂ©s une pensive Ă©toile Scintillait dans l'Ă©ther obscur. Ô PhƓbĂ© ! le vallon, les bois et la colline Dorment enveloppĂ©s dans ta pĂąleur divine ; À peine au pied des monts flotte un lĂ©ger brouillard. Si l'air a des soupirs, ils ne sont point sensibles ; Le lac dans le lointain berce ses eaux paisibles Qui s'argentent sous ton regard. Non, ton amour n'a pas cette ardeur qui consume. Si quelquefois, le soir, quand ton flambeau s'allume, Ton amant te contemple avant de s'endormir, Nul Ă©clat qui l'aveugle, aucun feu qui l'embrase ; Rien ne trouble sa paix ni son heureuse extase ; Tu l'Ă©claires sans l'Ă©blouir. Tu n'as pour le baiser que ton rayon timide, Qui vers lui mollement glisse dans l'air humide, Et sur sa lĂšvre pĂąle expire sans tĂ©moin. Jamais le beau pasteur, objet de ta tendresse, Ne te rendra, PhƓbĂ©, ta furtive caresse, Qu'il reçoit, mais qu'il ne sent point. Il va dormir ainsi sous la voĂ»te Ă©toilĂ©e Jusqu'Ă  l'heure oĂč la nuit, frissonnante et voilĂ©e, DisparaĂźtra des cieux t'entraĂźnant sur ses pas. Peut-ĂȘtre en s'Ă©veillant te verra-t-il encore Qui, t'effaçant devant les rougeurs de l'aurore, Dans ta fuite lui souriras. Endymion PoĂšmes de Louise AckermannCitations de Louise AckermannPlus sur ce poĂšme Voter pour ce poĂšme 187 votes<6781011Les poĂšmes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y ZLes poĂštes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z Parce que je l’ai dans mes papiers d’identitĂ© depuis une bonne dizaine d’annĂ©es – merci papa – voici, pour le plaisir du partage le poĂšme de Rudyard KIPLING, Ă©crit en 1910. Si tu peux voir dĂ©truit l’ouvrage de ta vie Et sans dire un seul mot te mettre Ă  rebĂątir, Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties Sans un geste et sans un soupir ; Si tu peux ĂȘtre amant sans ĂȘtre fou d’amour, Si tu peux ĂȘtre fort sans cesser d’ĂȘtre tendre, Et, te sentant haĂŻ, sans haĂŻr Ă  ton tour, Pourtant lutter et te dĂ©fendre ; Si tu peux supporter d’entendre tes paroles Travesties par des gueux pour exciter des sots, Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles Sans mentir toi-mĂȘme d’un mot ; Si tu peux rester digne en Ă©tant populaire, Si tu peux rester peuple en conseillant les rois, Et si tu peux aimer tous tes amis en frĂšre, Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ; Si tu sais mĂ©diter, observer et connaitre, Sans jamais devenir sceptique ou destructeur, RĂȘver, mais sans laisser ton rĂȘve ĂȘtre ton maitre, Penser sans n’ĂȘtre qu’un penseur ; Si tu peux ĂȘtre dur sans jamais ĂȘtre en rage, Si tu peux ĂȘtre brave et jamais imprudent, Si tu sais ĂȘtre bon, si tu sais ĂȘtre sage, Sans ĂȘtre moral ni pĂ©dant ; Si tu peux rencontrer Triomphe aprĂšs DĂ©faite Et recevoir ces deux menteurs d’un mĂȘme front, Si tu peux conserver ton courage et ta tĂȘte Quand tous les autres les perdront, Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire Seront Ă  tout jamais tes esclaves soumis, Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire Tu seras un homme, mon fils. ∎ A chaque lecture, ma mĂȘme Ă©motion, le mĂȘme intĂ©rĂȘt, le mĂȘme voyage dans le passĂ© et futur. Lisez, relisez, il y a au moins une strophe qui vous appelle maintenant. Partagez lĂ  en commentaire. Prenez soin de vous, JĂ©rĂ©mie Source avec d’autres traductions Illustration et le texte original en anglais NB Lisez une belle adaptation, d’un autre genre » de ce poĂšme TU SERAS UNE FEMME, MA FILLE.

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